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Le petit Nicolas et la grande Ingrid... Magouilles inquiétantes...

Publie le mercredi 19 mars 2008 par Open-Publishing
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http://www.aporrea.org/ddhh/n111022.html

Après avoir dit qu’il irait, s’il le faut, dans la jungle (Ben, quoi, c’est pas bien la jungle ? Faut être guerillero pour VOULOIR y habiter ?) pour aller chercher Ingrid, lui-même en personne, après être demeuré relativement coit durant le massacre qui a empêché la libération d’Ingrid (Sans doute un tres profond désarroi, tres intime, même pas effleurable par la presse-people, le rendait-il silencieux sur ce sujet qui lui tient tant à coeur), Nicolas a reçu à Paris hier mardi l’un des otages dernièrement libéré, l’ex-sénateur Eladio Pérez, compagnon de détention d’Ingrid Bétancourt.

Eladio Pérez a déclaré qu’il était optimiste sur un "changement de mentalité" des FARC, du fait qu’elles demandent un statut politique. Ce à quoi notre Trésor National au Grand Coeur a répondu que, si les FARC montraient qu’elles n’étaient pas prêtes à commettre des actes terroristes, il pourrait projeter qu’elles soient retirées de la fameuse liste des organisations terroristes de l’UE, copiée évidemment sur celle des USA, évidemment pour les mêmes motifs : bombarder.

Il a présenté, non pas à la France, mais à son président, un "plan" qu’il souhaite garder secret, mais qui ne comportait pas cette question de "la-liste-magique-qui-pemet-de-tuer-impunément".

Pendant ce temps...

Ce même mardi, Juan Carlos Lecompte, mari d’Ingrid Bétancourt, rencontrait Michèle Bachelet, présidente du Chili (pays possédant de nombreuses bases militaires US), demandait et obtenait une plus grande coopération de sa part (hum... dans quel domaine ???) en lui expliquant qu’il fallait tenir à l’écart le président Hugo Chavez de ce jeu d’échec compliqué.

Il était en effet venu lui présenter "le plan"

Pendant ce temps...

Toujours ce même mardi, Clara Rojas, ex-otage libérée en Janvier, passe son deuxième jour en Argentine, où elle a rencontré lundi Cristina Fernandez, présidente d’Argentine. L’article ne dit pas pourquoi, ni si elles ont parlé chiffons.

Le Chili et l’Argentine, encore très libéraux parmi les pays d’Amérique Latine, sont moins engagés dans le "socialisme du XXI° siècle" que le Vénezuela dont il est question de tenir le président à l’écart. Par ailleurs, le conseiller de notre guide à tous dans cette affaire est un argentin tueur (http://www.bellaciao.org/fr/spip.ph....

Tous annoncent une prochaine libération d’Ingrid Bétancourt mais ne parlent pas de massacres. Piedad cordoba, sénatrice colombienne qui a accompagné Hugo Chavez dans la mediation qui a permis la libéraion des otages, ne croit pas à cette libération, si elle doit être unilatérale.

Pendant ce temps...

Ce même mardi, 14 fonctionnaires de la "Justice" colombienne, magistrats, ont donné leur démission. En raison de fuites concernant une enquête sur des liens à un haut niveau avec... les paramiltaires.

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