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Les ravages du syndrome Tsipras à gauche, plus à gauche encore...
par Antoine (Montpellier)
Publie le mardi 29 septembre 2015 par Antoine (Montpellier) - Open-Publishing2 commentaires
La "gauche radicale" au révélateur grec !

ÉDITO de la Lettre d’Information hebdomadaire du NPA 34
Le 27 septembre 2015
Tsipras a donc gagné son pari, celui d’être reconduit au gouvernement malgré le revirement politique total auquel il a procédé en signant l’accord du 13 juillet par lequel il se propose d’appliquer la politique de la Troïka, plus connue sous le triste nom de mémorandum, autrement dit un mode d’austérité particulièrement sauvage. Le pire, au demeurant, que la Grèce aura connu ! Du côté des médias dominants, sans étonnement, l’affaire est entendue : gagner les élections vaut quitus politique pour la trahison du programme initial de Syriza mais aussi du formidable non à l’austérité du référendum de l’été. On trouvera dans notre page Infos Grèce en continu de quoi nourrir des contrefeux à ce déferlement médiatique-politique pro-austérité.
Mais face à ce renforcement du dispositif de domination du capital européen, au détriment d’un peuple déjà dramatiquement martyrisé et profondément désorienté par le cours tsiprien des choses, face aussi au message siglé TINA (There is no alternative) qu’il fait porter en direction des autres peuples par l’emblème même de la gauche radicale, la réponse de larges pans de cette gauche radicale européenne est d’une faiblesse insigne. Faiblesse qui démultiplie désastreusement l’effet TINA tsipriote ! Cliquer ici
Messages
1. Les ravages du syndrome Tsipras à gauche, plus à gauche encore... , 29 septembre 2015, 09:10, par Aspaar
L’étau libéral s’est serré au fil des années, en Grèce. Ainsi l’accès à l’éducation, aux services de santé, ou même à certaine nourriture comme la viande et des meilleurs fruits de mer, est de plus en plus réservé aux riches. La misère humaine qui gangrène les îles avec une explosion de la prostitution qui seul permet à beaucoup de… familles de survivre !
La privatisation de l’économie promise par le capital sera donc appliquée par Syriza , Tsipras et son gvt social libéral . Elle réduira encore davantage la subsistance du peuple et va accroitre encore la misère et la pauvreté en Grèce.
1. Les ravages du syndrome Tsipras à gauche, plus à gauche encore... , 29 septembre 2015, 09:50
qui paie la dette du capital, ben c’est toi non ?
qui prete les sous pour augmenter ton pécule, c’est toi aussi