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Mise en location du Colonel Fabien : les anticommunistes jubilent

Publie le mercredi 27 août 2008 par Open-Publishing
14 commentaires

Pour les anticommunistes : l’occasion est trop belle !

L’annonce officielle de la mise en location d’un étage du siège du PCF, place du Colonel Fabien et d’une partie des locaux historiques de la Fédération de Paris donne aux media une occasion en or pour attaquer notre parti et ce qu’il représente.

Le Parisien ex-Libéré et son avatar régional « Aujourd’hui en France » ont ainsi consacré la moitié de leur une du 26 août à ce non événement ainsi que pratiquement toutes les pages 2 et 3. Leur anticommunisme historique est connu et n’a d’égal que leur complaisance à l’égard des puissances d’argent (et des Maires de Paris). Le message qu’ils veulent faire passer est facile à comprendre : le PCF serait un parti du passé, aujourd’hui en perdition. Le Parisien pousse l’indécence, écoeurante, jusqu’à établir un parallèle avec le FN. Quel contraste par ailleurs avec la complaisance médiatique qui entoure ces derniers jours « l’université d’été » d’une formation (la LCR) qui justement est en train de renoncer à toute référence communiste !

L’anticommunisme souligne en négatif l’actualité du communisme !

L’acharnement à vouloir enterrer le PCF, les moyens déployés, ne peuvent que nous confirmer dans notre engagement. Notre parti est bien le seul qui a pu et su, par sa théorie et son organisation révolutionnaire de masse, par l’action résolue de ses militants, porter une contestation réelle et efficace à la domination capitaliste en France.

En cette fin août, les journaux se gardent bien d’évoquer l’action des militants communistes pour préparer la rentrée des luttes, s’opposer à la guerre en Afghanistan…

En ce qui concerne la réduction des moyens du parti, la vente ou la location de locaux mais aussi la suppression de postes, ils s’intègrent dans les éléments, préoccupants, de la réflexion des communistes pour leur prochain congrès de décembre. Ils font partie du bilan de la stratégie conduite ces dernières années. Fallait-il par exemple consacrer 4 millions d’euros non remboursés, à une campagne présidentielle de la « gauche populaire antilibérale » politiquement floue ? Avec le résultat, prévisible, que l’on sait !

Nous faisons partie des communistes qui entendent redonner au PCF toute sa raison d’être dans la lutte des classes, contre la politique défendue avec zèle par Le Parisien et l’immense majorité des media au service de l’idéologie dominante qui le craignent.

 http://pcf-paris15.over-blog.com/

Messages

  • PCF 15..Il faut changer la direction actuelle du parti comme en Italie car elle est incapable de redonner du tonus aux militants communistes.Cette direction ne fait rien et laisse la LCR occuper l’espace communiste avec l’aide des médias .Rompre avec le PS redonnera de la clarté à notre politique révolutionn aire en unissant tous les courants communistes et révolutionnaires du pays sans aucun ostrascisme.Le Choix de Fabien en son temps n’était pas de se coucher devant des "locataires" mutualistes ou capitalistes,c’était de combattre le capitalisme sous sa forme la plus hideuse le Nazisme .Alors l’anecdote de la location du siège de l’ex-comité central,payé par la souscription militante en son temps,peut paraître dérisoire mais significatif d’un échec stratégique d’une politique de soumission aux sociaux-démocrates .

    Une direction n’a pas besoin de siège central mais plutôt d’un ancrage profond dans la population exploitée par le capital.Ce côté institutionnel au sein de la pseudo-démocratie bourgeoise a un côté collabo et n’encourage pas l’esprit révolutionnaire des masses populaires.Alors,camarades,raisonnons autrement pour refaire revivre un PCF bien soudé aux gens du peuple partout dans les quartiers et les entreprises.Faire vivre une Nomenklatura interne par fraternité de combat ou d’estime c’est loin de nos objectifs auto-gestionnaire et sans délégation de pouvoir.Le bourgeois doit avoir en face de lui des centaines de milliers de secrètaires nationaux issus des milieux populaires et intellectuels,il faut donner le tourni aux médias qui n’acceptent de voir qu’une ou deux têtes.Il faut boycotter les médias bourgeois et créer nos propres réseaux de communication .La résistance au système n’a pas besoin de l’espace Niemeyer,même si l’architecte est de génie.Alors nous seron peut-être plus créatifs dans le combat révolutionnaire...Je crois qu’il est plus que temps .......

    Bernard SARTON,section d’Aubagne

  • Y’a un moment où faut quand même arrêter de se la raconter les camarades. Moi aussi j’aimerais bien croire tout ça. Mais est ce raisonnable ?

    Bien sûr que le PCF c’est fini ou au moins, condamné, à court terme - encore un ou deux Congrès, et hop - regardez nous, les opposants ou déclarés tels, à sa liquidation , quels qu’ils soient, nous ne sommes pas même pas foutus de nous unir sur une motion d’avenir, intelligente, claire, constructive !

    Le 15è ne représente pas grand-monde - malgré votre activisme sur le web ( je le dis sans méchanceté) - , on ne sait pas trop sur qui s’appuie le courant N Marchand, A. Gérin ne veut pas bosser avec vous, ni avec les Rouges Vifs, vous ne voulez pas bosser avec le PRCF ni avec la Riposte , qui ne veut pas bosser avec le courant "reconstructeur" de Dimicoli, qui ne veut pas bosser avec Gérin, qui ne veut pas bosser avec Gauche Co, qui ne veut pas bosser avec Gremetz, qui ne veut pas bosser avec les Assises, "et Lycée de Versailles", les uns méritant souvent les autres !...

    Et tout ça va finir gentiment, en petites trahisons d’appareil, et atterrir directement dans les bras de MG Buffet et cie avec des contraintes de majorité impossibles à tenir...

    AU SECOURS !!!!

    Tiens, les camarades ,j’ai un projet pour vous :

    se battre tous ensemble à ce Congrès pour proposer dès maintenant, avant le 1er septembre UNE SEULE ET UNIQUE motion de Refondation Communiste (casser le cercle vicieux conserver/liquider), transformer le PCF en Rassemblement des communistes en France, avec une charte de principes intangibles, d’inspiration marxiste, et de nouveaux statuts, qui ouvrent ENFIN une ère de démocratie prolétarienne au sein d’un mouvement communiste...

    J’ai d’autres suggestions sous le coude si ça vous branche, et j’ai même des projets de textes....

    La Louve...

  • Je suis interloqué par le ton blasé et défaitiste de "La louve".
    Ainsi donc, l’existence du PCF serait un obstacle à l’union des communistes ?
    Le PCF ayant achevé son rôle historique il ne lui resterait plus qu’à préparer son dépassement dans un improbable "Rassemblement de tous les communistes" ?

    La bonne blague !
    Ce serait un bon coup de main à donner aux liquidateurs et aux anticommunistes de tout poil.
    Un contre sens intégral par rapport aux milliers de communistes qui se sont exprimés lors de l’Assemblée extraordinaire contre l’ordre du jour de recomposition/disparition !

    S’il y a bien un lieu de rassemblement des communistes, c’est le PCF ! Si une organisation représente un repère pour le monde du travail, c’est certainement le PCF et pas l’un de ces innombrables groupes qui n’ont souvent d’existence que par internet (riposte, rouge vif, pcrf...).

    Quant à la proposition d’une "refondation communiste" : de Juquin à Bertinotti, en passant par Fizbin et Fiterman, on sait où ça mène !

    Le 34ème congrès ne sera pas le dernier ni "celui de la dernière chance".
    Ceux qui appellent à déserter le PCF se font les alliés d’une direction disqualifiée en bout de course.

    Fraternellement

    PS : Je préfère suivre l’appel de Jules Molina à reprendre sa carte au Parti

    • Ah ah ah tu es bon, camarade ....

      Pardon mais où as tu lu que j’écrivais que le PCF serait un obstacle ?

      Je tire une conclusion qui me semble logique, irréfutable, indéniable, et je ne suis pas défaitiste pour autant. Et au contraire, j’en appelle à notre esprit révolutionnaire pour ne pas laisser le monopole de la transformation (nécessaire et inévitable) à des Martelli Zarka et cie !

      Tu me parles de Bertinotti et de Refondation ? EXCELLENT EXEMPLE OUI - allez donc voir là bas comment on s’unit pour faire échec aux liquidateurs PRO PGE et on en reparlera - à moins que tu refasses l’histoire et que tu viennes m’expliquer que si le PCI est mort c’est de la faute du PRC ??? là ça me ferait hurler de rire.

      MAIS BIEN SUR que le PCF a achevé son rôle historique enfin ! Mais pas le communisme, ni les partis communistes.

      Mais bon bref, il y a trop de camarades qui pensent comme toi, à conserver uniquement à conserver, et c’est pour ça qu’au lieu de servir de terreau fertile, d’engrais pour l’avenir du communisme en FRance, le PCF va mourir asphyxié et sans enfant. Je connais trop les camarades comme toi qui préfère mourir avec le parti plutôt que de vivre sans le parti. Ca ça me rend pessimiste et triste même oui, quand je vois comment certains flippent à l’évocation du changement, du mouvement, de l’évolution et y associent systématiquement des connotations négatives.

      D’un point de vue communiste, permets moi de te dire que je pense que c’est une totale aberration.

      On ne peut pas "être" et "avoir été".

      Et ce que je constate moi, c’est qu’à la veille de la clôture du dépôt des motions, il n’y a pas l’ombre d’une unité des anti-liquidateurs, pas une motion unique, ni même le projet de le faire. Ca me désole grandement, mais pour moi c’est plus que mauvais signe....

      Enfin bon, l’espoir fait vivre, paraît-il.

      Ca ne m’empêche pas de rester au PCf, de payer mes cotiz, de voter PCF - je ne vois pas où je pourrais aller d’autre, sauf si j’abandonnais le militantisme ce dont je n’ai pas envie...Mais tu as ici exactement ce que je pense et tu n’y pourras rien, c’est comme cela que ça va se finir, hélas, alors que ça pourrait se terminer avec un peu plus de panache , de brio, et surtout, plus de profit pour le mouvement communiste... Bref....

      LL

    • Le problème, camarade Stéphane, c’est que le PCF seul lieu de rassemblement des communistes, les petits apparatchiks qui le squattent et magouillent pour monnayer leurs sièges d’élus dans les fédés, avec le PS, nous en ont depuis longtemps guéris.

      OUI : GUERIS !!

      Dégoûtés ! Ecoeurés !

      Et ce n’est pas d’aujourd’hui .

      Alors, revenir et se faire éternellement rouler dans la farine par ces liquidateurs qui tiennent la boutique parce qu’ils en vivent, très peu pour moi.

      En se couchant devant le parti saucélectoraliste qui nous a coulés, ces "communistes" permettent au ps de survivre sous perfusion : il y a des gens en qui je n’aurai plus JAMAIS confiance. Et pas seulement clémentine hautain

    • Je partage ton avis MAIS je pense que la période actuelle est propice aux débats même les plus vifs.

  • "Notre parti est bien le seul qui a pu et su, par sa théorie et son organisation révolutionnaire de masse, par l’action résolue de ses militants, porter une contestation réelle et efficace à la domination capitaliste en France."

    Oh là les camarades, faudrait pas se mettre à la fumette pour raconter des trucs pareils,... ce n’est certainement pas avec ce genre d’affirmation que vous allez vous redresser.

    RC31

    • et pourtant c’est une vérité qui dérange les gauchistes qui ont une belle gueule à l’écran, mais qui n’ont jamais RIEN FAIT pour ceux qu’ils déclarent défendre.

      LE PCF fait suer les bourgeois, la LCR(OU NPA) les fait sourire...car avec le NPA, c’est la mort des luttes sociales déterminantes : les "traîne-savates" savent de quoi ces professionnels de la prose révolutionnaire et de la langue de bois sont capable : RIEN si ce n’est brasser de l’air.

  • Je partage la ligne de fond qui pose en prérequis :
    la FIN des luttes de chapelle.

    QUE TOUS CEUX QUI VEULENT QUE LE PCF REVIVE, LE REJOIGNENT MAINTENANT ET S’INVESTISSENT DANS SA REORGANISATION partout où il s’est éteint ou mis en sommeil.

    J’ai pendant de nombreuses années partagé les positions de MORONI, puis celles du PRCF , puis celles de rouge vifs...pour arriver au constat que tous ces gens bien intentionnés ne voulaient plus militer politiquement mais préféraient plutôt adopter une posture contestataire certes confortable mais aussi de plus en plus groupusculaire et fragmentée.

    Le seul lieu pour changer le parti, c’ est à l’intérieur de celui-ci.

    Après 14 années de réserve, j’ai choisi de rejoindre à nouveau mon parti et me battre pour qu’il redevienne ce parti qui fait suer la bourgeoisie.

    Proser sur Internet ou dans des bulletins confidentiels ne fera RIEN avancer. Comme le suggérait George HAGE, unissons nos forces, BON SANG !

    Qu’on juge les camarades sur leur engagement militant, sur leur capacité à rallier à eux les travailleurs dans le combat politique au jour le jour.

    je pense que l’heure est grave, il n’est pas encore trop tard pour rebondir.

    Fraternellement à tous.

    Communiste, par ce que la classe ouvrière (comme la cheville, celle qui "oeuvre") le VAUT BIEN.

    • Pour avoir largué les amarres du PCF moi aussi, pendant quelques années, et avoir, moi aussi, suivi Moroni, je suis arrivé aux mêmes conclusions que toi :

      QUE TOUS CEUX QUI VEULENT QUE LE PCF REVIVE, LE REJOIGNENT MAINTENANT ET S’INVESTISSENT DANS SA REORGANISATION partout où il s’est éteint ou mis en sommeil !

      .
      L’expérience de groupes comme le groupe Moroni ou la Coordination Communiste (que j’ai fréquentés) n’a amené qu’à un émiettement des militants communistes les plus "déçus". Cela n’est pas forcément dû à la mauvaise volonté des uns et des autres mais c’est la réalité ! Il y a de plus en plus de groupes, dans et à l’extérieur du PCF, qui se veulent pour l’unité des communistes : on se croirait dans la nébuleuse trotskyste ("A deux c’est une tendance, à trois c’est une scission,...") !
      D’où mon réinvestissement récent au sein du Parti où, malgré tout, la base reste obstinément communiste.
      Malgré les tentatives de verrouillage de l’appareil, les opportunités existent de porter une véritable analyse communiste au sein des cellules et des sections (là où elles existent) et de prendre des responsabilités au moins localement : le PCF manque cruellement de militants prêts à s’investir sur le terrain (et pour cause !) ! Reprenons les rênes à la base !

      Eric, Evreux.

      PS : le camarade qui a écrit ne serait-il pas alsacien ?

    • Comme je suis d’accord avec toi la louve ! d’un bout à l’autre. C’est clair et limpide.

      Il faut tout revoir, tout réexaminer, de notre manière de réfléchir aux structures d’organisation en passant par les pratiques étonnamment "conservatrices" de responsables permanents qui pour une grande part cumulent avec des mandats d’élus et de députés et se complaisent à adopter les pratiques manipulatrices de la démocratie bourgeoise qui dévitalisent organisation et militants.

      Quant à l’immeuble du Colonel Fabien qui m’a toujours semblé une dépense vaniteuse, imprudente et démesurée, on s’en sortira mieux si on le vend, à condition de bien utiliser l’argent. Et puis comme tu dis, s’accrocher à ses possessions n’est pas une attitude communiste. Un communiste met son énergie à ETRE pas à AVOIR, pas à posséder.

      Maguy

    • Alors comme ça l’immeuble du Colonel Fabien serait une dépense "vaniteuse, imprudente et démésurée" ? Je suis toujours étonné de la facilité avec laquelle certains adhérents récents au Parti se permettent de donner des leçons sans même prendre la peine de s’informer un peu avant de parler.

      Savez vous que des centaines de milliers de militants se sont donnés à fonds pour recolter les fonds qui ont servi à le payer ? Que des centaines de militants de la région parisienne se sont relayés pendant des années, jour et nuit, bénévolement, pour en assurer la sécurité ? Que la construction de Fabien fut pour les communistes un motif de fierté, que ça nous a donné le sentiment d’avoir contribué à réaliser une oeuvre d’art, et qu’en même temps cette oeuvre d’art était une maison du peuple ? Moi-même, j’ai passé des nuits entières à Fabien pour faire la sécurité. On le faisait avec plaisir, avec fierté, parce que c’était notre palais, construit avec nos efforts. Et un symbole de ce que nous voulions pour notre peuple : ce qu’il y a de mieux. Et tout ça pour m’entendre dire trente ans après que c’était une dépense "vaniteuse, imprudente et démesurée"... chienne de vie.

      Alors, avant d’expliquer aux militants blanchis sous le harnois ce que serait une "attitude communiste", souvenez vous que ce sont des êtres humains et qu’ils ont laissé dans le Parti leurs tripes. Pour vous, vendre Fabien est une simple opération de réduction des dépenses "vaniteuses, imprudentes et demesurées". Pour nous... c’est beaucoup plus que ça.

    • La Louve, dans ton texte je retrouve toutesles idées que j’ai pu exprimer depuis 30 ans, d’abord dans le parti, puis de l’ectérieur à mes camarades qui y étaient restés et avaient résisté à la pression.

      Une bonne partie de ce que tu dis, sur la nécessité d’engager les finances du Parti non pas dans des opérations de prestige, mais dans la lutte immédiate pour redonner une vraie entité communiste aux travailleurs, un vrai outil, cela a été analysé mainte et maintes fois, discutés dans les asemblées, de section, fédérales, etc... et mis par écrit, mais systématiquement torpillé.

      Tu parles ici de Fabien : Vu que j’ai milité environ 40 ans dans les Orgas de jeunesse, puis le Parti, je sais que le Siège du PCF a été financé par un élan que seuls ceux qui l’ont vécu peuvent comprendre. Et à l’époque ça nous semblait normal.

      Mais malgré la nostalgie il faut comprendre que ce joyau est devenu le boulet avec lequel la bourgeoisie nous attache. Pas qu’avec lui d’ailleurs, mais il y a aussi des Fédés départementales dont on se demande comment elles peuvent continuer à financer leurs locaux.

      J’ai vu détruire de l’intérieur non seulement les structures locales, mais aussi notre presse, (Financée aussi par le souscription des militants), ainsi que les cellules et sections locales des quartiers et des villages. (C’est pas du roman, en 1980 il y avait une cellule de 80, (Quatre-vingt), communistes militants payant des cotisations dans mon village de 2500 habitants à l’époque, (Bien des sections voudraient en avoir autant aujourd’hui).

      Après le passage de l’ouragan réformiste il en reste 2. Et même si certains sont decédés ça n’explique pas tout. Aussi malgré qu’on n’ai plus la carte on est plusieurs anciens à les aider car on sait ce qu’ils valent. On ne peut pas en dire autant des dirigeants fédéraux ou nationaux.

      Alors si y a quelque chose qui change après le Congrès dans le sens que tu décris, ou si une nouvelle structure arrive à la vie, (Une vraie structure communiste), je pense que il risque d’y avoir une nouvelle donne et un essor certain.

      Au fait, sans vouloir jouer au prof : "Bolchévik" ça veut dire "Majoritaire, pas "Minoritaire". De "Balchoyïè", "Grand". Minoritaire c’est "Menchevik".

      Bises.

      G.L.