« Nuit Debout » , la panique d’ un (salopard) énarque du monde patronal !

Dès le début du mouvement « Nuit Debout » ,les medias du capital ne cherchaient qu’ à fabriquer des leaders et recherchaient désespérément des têtes du mouvement. !

Après chaque manif contre la loi Hollande- MEDEF , les chiens de garde du système, ne voient que des signes d’essoufflement des mobilisations, la lassitude des manifestants ! On infantilise la jeunesse, on multiplie les propagandes libérales.
Pourtant les chiens du système sont si nerveux. !

Les voilà si agacés qu’ils trahissent leur mépris et leur profonde incompréhension en constatant qu’il ya encore des formes de résistance à ce qu’ils ne cessaient de décrire comme une fatalité divine du marché capitaliste !

En mettant en lumière la logique de cette guerre idéologique menée par la bourgeoisie & la classe dominante, contre ceux qui résistent c.-à-d. les ouvriers et les salariés , qu’on pourra mettre en évidence et expliquer cette lutte des classes .

Sous le titre : « Nuit Debout : le crépuscule des bobos », l’énarque Éric Verhaeghe peste ainsi dans le Figaro :

Le tour de force de la Nuit Debout est de babiller sans lassitude apparente sur le sexe des anges solidaires, de gauche, révolutionnaires, progressistes et autres adjectifs bisounours, dans un entre-soi très bien huilé. Ici, on est bien, on est tranquille, on est humaniste, mais on est d’abord des quartiers centraux de Paris. On adore dénoncer la précarité et la discrimination, mais selon l’étiquette bobo en vigueur, qui accorde une place nulle aux « minorités visibles », manifestement peu intéressées par les sujets qui se traitent.

Et ce n’est pas le moindre des paradoxes que de contempler cette jeunesse auto-proclamée humaniste, dissertant sur tout et rien, et complètement abandonnée par les vrais problèmes sociaux du pays.

En sillonnant la Nuit Debout, on croise donc toute la galerie habituelle des névroses qui hantent la gauche bobo : les végétariens, les obsédés de la pureté morale, les Savonarole, les partisans du bien-être, de la décroissance, de Pierre Rahbi, les auditeurs de Patrick Cohen et les inconditionnels de France Culture. Que de mines blafardes, mal nourries, inquiètes, manifestement torturées !

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Depuis longtemps, les indignés français sont noyautés par un petit groupe d’intellectuels auto-centrés qui n’ont nulle envie de se mélanger à d’horribles petits bourgeois qui procréent, qui s’occupent de leurs moutards et qui cultivent les relations familiales. Ceux-là sont des catholiques intégristes en puissance qu’il faut écarter.

De là le caractère extraordinairement hétérogène du mouvement. Fait par les Blancs pour les Blancs, fait par les bourgeois pour les bourgeois, fait par les bobos pour les bobos, il ne devrait pas tarder à mourir de sa belle mort, à moins qu’une mutation du virus ne conduisent à une radicalisation et une popularisation inattendue.

Voila ,stupeur et la panique de la bourgeoisie, de ses chiens de garde . Éric Verhaeghe , ivre de haine de classe et obsédé par les prolétaires qu’il recherche désespérément ( pour les descendre ) !

Dérangés dans leur morgue, confrontée à l’incohérence de leurs arguments reactionaires et d’un autre temps , contrariés par la mobilisation et la résistance, c’est ainsi que les chiens de garde de la bourgeoisie pestent désespérément contre ceux qui résistent au capital !

Le jour où la classe ouvrière commence à chercher des solutions, lorsque les salariés, les sans emplois , les jeunes, retrouveront l’envie d’agir, le jour ou les exploités montrent leur force , Non seulement sur la loi travail, mais sur tous les combats qu’on mène contre le système capitaliste, on pourra ni seulement faire reculer le capital mais on pourra aller au bout, c’est-à-dire jusqu’au renversement du pouvoir de la bourgeoisie !

Aspaar

10 Avril 2016