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PARISOT déplore "le coût économique de la grève" !!

Publie le mercredi 18 mars 2009 par Open-Publishing
9 commentaires

HALLUCINANT !!!

Mais elle ne peut avoir le raisonnement de penser que ce sont bien travailleurs qui ont le pouvoir de la valeur de leur travail,par leur travail !!!!!

APRES LA DIABOLISATION DE SUD PAR LE NABOT ,VOILA LE TOUR DE LA CGT ATTAQUEE PAR LE MEDEF

SYMPA !!ILS NOUS FONT UNE INTER SYNDICALE !!!!

Le patronat français a déploré mardi le coût économique de la journée de mobilisation sociale de jeudi, attaquant la CGT qu’elle accuse de démagogie.

Un peu d’huile sur le feu avant la grande journée de mobilisation jeudi. Lors de son point de presse mensuel, Laurence Parisot, le patron de patrons, a déploré mardi le coût économique de la journée de mobilisation sociale du 19 mars. Pour elle, les chefs d’entreprise peuvent "aussi" dire leur inquiétude face à la crise mais "la question c’est, est-ce que c’est vraiment utile pour faire face à la situation de le dire ainsi" par des grèves et des manifestations.

"La journée de jeudi c’est une facilité, je ne crois pas que ce soit une réponse, a-t-elle ajouté, s’en prenant à la CGT coupable à ses yeux de "démagogie et d’illusions créées. On reproche beaucoup de choses en ce moment aux chefs d’entreprise. Je comprends vraiment la tragédie que ressentent certaines familles dans les enteprises très touchées qui sont obligées de faire des licenciements mais je voudrais aussi qu’on parle de la responsabilité de la CGT."
Quel coût ?

Parisot a notamment évoqué "la disparition de certaines entreprises" et dénoncé la main de la centrale syndicale dans certaines destructions d’emplois, notamment dans le cas de l’Union Naval Marseille (UNM). "Je crois qu’on peut dire ’merci la CGT !."

Plus globalement, a souligné Laurence Parisot, "je voudrais qu’on se pose la question du coût pour l’économie d’une telle journée. (...) Le coût direct, c’est une journée sans travail, a-t-elle dit en ajoutant qu’il y avait un coût indirect. C’est encore plus dur pour nous de présenter une France attractive pour les investissements."

Elle est vraiment irrécupérable !!!!!!!!

IL VAUT MIEUX ENTENDRE CA, PLUTÖT QU’ETRE SOURD

Mais attendez,c’est pas fini !!!!

Hier après midi des ouvriers de l’usine du père parisot parlaient :

mardi 17 mars 2009
Madame la MEDEF : une histoire de famille

Parisot-Siège de France : c’est une société, dans la Somme, qui appartenait au père et aux oncles de Laurence Parisot. La pire boîte du coin, de réputation, avec des dépressions en série, un code du travail « à eux », un délégué syndical licencié quatre fois en quatre ans…

La chef du MEDEF se vante d’avoir « grandi dans l’usine » : l’entreprise familiale lui a-t-elle inspiré un modèle social ?

un reportage de François Ruffin

si quelqu’un pouvait extraire le lien audio du site de france inter,je n’y arrive pas.merci

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