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Pour la convergence des luttes, toutes et tous dans la rue le 9 mars !

par lo beret liure

Publie le jeudi 25 février 2016 par lo beret liure - Open-Publishing
14 commentaires

Fr

Pour la convergence des luttes des salariés, des chômeurs, des retraités, des jeunes, des précaires, des paysans pauvres, des intermittents, contre la loi Gattaz-Hollande-Valls-Macron-El Khomri et toutes les régressions sociales, avec ou sans les directions syndicales, le 9 mars (jour de présentation de la loi en conseil des ministres français) on ira défendre notre peau. Le 10 on remet ça (avec les retraités qui ont déjà prévu de manifester) et les jours suivants jusqu’au retrait total de ce projet de loi !

NB : cet appel n’est pas à l’initiative d’une organisation. C’est un appel militant.

Òc

Per la convergéncia de las luchas dels salariats, dels caumaires, dels retirats, dels joves, dels precaris, dels paísans paures, dels intermitents, contre la lei Gattaz-Hollande-Valls-Macron-El Khomri e totas las regressions socialas, amb o sens las direccions sindicalas, lo 9 de març (jorn de presentacion de la lei en conselh dels ministres francés) anarèm defendre la pèl nòstra. Lo 10, tornam (amb los retirats qu’an ja previst de manifestar) e los jorns seguents fins al la retirada totala d’aquel projècte de lei !

NB : aquela crida es pas de l’iniciativa d’una organizacion. Es una crida militanta.

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Messages

  • C’est quoi cette farce un appel anonyme on aura tt vu .....

    La CGT elle appelle a la mobilisation la plus large et fera des propositions d’action a l’intersyndicale de Mardi après midi en ce sens
    Voir site confédéral

    • Ben non c’est pas anonyme, c’est un appel qui tourne, et c’est pas parce qu’il n’est pas signé de la CGT, qu’on doit le foutre à la poubelle, même si çà peut déplaire à certains qui pensent que la boutique est plus importante que le but... D’autant qu’il n’y a aucune raison d’attendre que les appareils se mettent en branle. S’ils le font tant mieux, de toute façon, la répression sociale et policière est telle que je pense que maintenant les gens ont besoin de se bouger, encadrés ou pas. Et en plus, les bureaucrates, on voit où ils nous on menaient. La Base, la base, la base (en bas à gauche) !

    • 86.***.118.*** : les gens qui cherchent à tout récupérer sont méprisables. D’autant plus ridiculement pour queqlue chose en devenir.
      En se faisant le porte-étendard d’une orga, la CGT, qui devrait plutôt se poser des questions sur ses responsabilités dans la situation du rapport de force actuel, c’est ternir un blason déjà pas très reluisant.
      J’ose espèrer qu’au contraire, humblement, en coulisses, elle oeuvre pour que la peur change de camp.
      Merci le beret liure pour cette publication.

    • Jusqu’a preuve du contraire ce sont les militants de la CGT qui prennent la répression en pleine gueule licenciements ,condamnations a de la prison arrestation garde à vu (encore lundi dernier en Alsace)

      Bavez bavez .. mais l’adversaire de classe lui ne se trompe pas il frappe la d’ou vient le danger pour lui

      Le MEDEF et les sociaux libéraux frappent la CGT et ses militants pas les couards anonymes ....

    • Et les autres (chômeurs, retraités, jeunes, précaires, paysans pauvres, intermittents, etc...), s’ils n’ont pas la carte, ils peuvent crever alors ? Ça commence à bien faire, certains n’ont tiré aucune leçon des accords pourris de Grenelle et des bureaucrates qu’ont pourri la lutte... Et c’est pas parce que c’est pas signé d’une orga qu’on ne serait pas solidaires des salariés syndiqués criminalisés !
      La base, c’est les exploités et les exploitées, salariés pauvres, chômeurs, retraités, jeunes, précaires, paysans pauvres, intermittents, etc...

    • Tu devrais apprendre l’histoire et ne pas prendre pour argent comptant les âneries que raconte la bourgeoisie et ses supplétifs

      Il n’y a JAMAIS eut D’accord a grenellle en 1968

      La tu nous récites l’histoire revue et corrigé dispensée par le MEDEF et les sociaux libéraux

      N’oublie pas d’aller chercher ta prime au ministère de l’intérieur
      Et comme dit jean Ferrat Hou hou méfions nous les flics sont partout

      Pour le reste je te laisse a tes délires de ... base, basiste ,voir inconséquents

      En attendant c’est que ça te plaisent ou non la CGT et ses militants qui sont attaqué embastillé condamné insulté pôur cause de défense pied a pied et sans compromis des salariés en activité retraités chômeurs vieux ou jeunes femmes ou homme ..

      Ça c’est le réel garçon

      Bon vent "camarade"...

    • "N’oublie pas d’aller chercher ta prime au ministère de l’intérieur
      Et comme dit jean Ferrat Hou hou méfions nous les flics sont partout", facile derrière un clavier de faire de mariol musclé et de traiter les autres de flics. Tu m’appelles "garçon" (?), ça fait rire, car toi qui reproches le manque de signe (ou de signature), toi qui parle de la CGT (si ça trouve tu y est même pas adhérent), tu ne donnes pas ton blase. En tout cas, jeune ou vieux, t’as toutes les caractéristiques du vieux con !

    • Et a bout d’argument comme tous les supplétifs du MEDEF et des sociaux libéraux arrive l’arme ultime ...... : l’insulte ....

      Mais comme dit l’autre

      Les chiens aboient la caravane passent

      Bien le bonjour a tes chefs Gattaz et Vals

    • """Il n’y a JAMAIS eut D’accord a grenelle en 1968"""


      ha bon ??
      sur Wiki :"""""
      Les accords de Grenelle ont été négociés les 25 et 26 mai, en pleine crise de mai 1968, par les représentants du gouvernement Pompidou, des syndicats et des organisations patronales. Parmi les négociateurs figuraient notamment pour le gouvernement le Premier ministre Georges Pompidou, le ministre des Affaires sociales Jean-Marcel Jeanneney, le secrétaire d’État aux Affaires sociales Jacques Chirac, et pour les syndicats :
      CGT : Georges Séguy, André Berteloot, René Buhl, Henri Krasucki et Jean-Louis Moynot1 (et le premier jour, comme le montre le doc INA balisé ci-après, Benoît Frachon conduisait la délégation) ;
      CFDT : Eugène Descamps, René Bonnety et Albert Detraz2 ;
      Force ouvrière : André Bergeron, Roger Louet, Pierre Tribié, membres du bureau confédéral, ainsi que Robert Degris (cheminots) et Antoine Laval (métallurgie) ;
      CFTC : délégation conduite par Gaston Tessier ;
      CGC : délégation conduite par André Malterre, président de la CGC ;
      FEN : James Marangé (secrétaire général), Georges Aulong, Jean Gouzy et Jean Simon.

      Ils furent rejetés par la base.

      D’autre part,oui le medef a comme ennemi premier la CGT,c ’est exact.
      car c ’est encore l’orga la plus lutte de classe "en théorie" ,et c ’est encore là que se trouvent les équipes le plus combatives.
      MAIS ça ne signifie nullement que la direction n’a pas abandonné les repéres de classe.
      Que la CGT soit encore à la CES ne peut que réjouir le MEDEF.
      Que la cgt ait saboté la gréve sur les retraites en 2010 aussi.
      Le Duigou ne dîne t il pas avec le MEDEF au_ Siecle ?
      bien sur que oui,et ça fait bien rire le patronat,même s’il casse de la cgt sur le terrain !!
      on peut très bien attaquer totalement la cgt des équipes de base et sur ce que représente encore la cgt dans le salariat ET avoir compris comme le MEDEF que celle ci est bien passé sur une ligne de collaboration de classe,il n’y a là aucun paradoxe.

    • Merci de trouver la SIGNATURE de la CGT sur ces pseudos accords ...
      Mais tu vas avoir du mal ..

      Et pour cause la CGT CONFÉDÉRALE n’a jamais signé d’accord au niveau national en 1968 et certainement pas a grenelle ou fut juste établi un BILAN d’état des négo

      Pas étonnantes tes lacunes en histoire sociale WILKI comme référence !!!!
      Pkoi le figaro ou le MEDEF ....

      Bon vent le faussaire

    • et mon cul c’est du poulet !

      Bourse du Travail de Paris : http://www.boursedutravail-paris.fr...

      1968 : Les accords de Grenelle

      27 Mai

      Afin de protester contre la répression menée par le régime contre les manifestations étudiantes de mai 1968, les syndicats décrètent la grève générale le 13 mai. Au fil des jours, la grève prend de l’ampleur. On compte bientôt 7 millions de grévistes. La crise sociale est sans précédent.

      C’est dans ce contexte que Georges Pompidou, alors Premier ministre du Général de Gaulle, convoque une réunion tripartite (gouvernement, syndicat, patronat) au ministère des Affaires sociales, situé rue de Grenelle à Paris.

      Les négociations débutent le 25 mai, sous la présidence de Georges Pompidou. Elles rassemblent les représentants de l’ensemble des organisations syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC, FEN participent aux négociations) et du patronat. Jean-Marcel Jeanneney, ministre des Affaires sociales, Jacques Chirac, secrétaire d’Etat à l’Emploi et Edouard Balladur, conseiller économique à Matignon, représentent le gouvernement. Le 27 mai, les participants s’entendent sur un texte, que l’histoire retiendra sous le nom d’ « accords de Grenelle ».

      Le texte prévoit le relèvement du SMIG de 2,22 à 3 francs de l’heure (soit une hausse de 35%), une augmentation des salaires de 7% au premier juin, puis de 3% en octobre, un élargissement du droit syndical dans les entreprises (concrétisé par la loi du 27 décembre 1968 instituant des sections syndicales d’entreprise et des délégués syndicaux dans les entreprises de plus de 50 salariés), la récupération des journées de grève (permettant donc leur rémunération), la réduction du temps de travail hebdomadaire à 43 heures, l’aménagement des allocations familiales et l’augmentation des prestations minimales versées aux retraités.

      En outre, le ticket modérateur passe de 30 à 25%. Les avancées obtenues ne satisfont cependant pas les ouvriers. Les accords sont présentés dans la journée du 27 mai par les leaders CGT et CFDT aux salariés en grève, qui les trouvent insuffisants et décident de ne pas reprendre le travail.

      La crise devient politique, et trouve son aboutissement lorsque le général de Gaulle, assuré du soutien de l’armée après son retour de Baden-Baden le 30 mai, décide la dissolution de l’assemblée nationale et l’organisation d’élections législatives. La victoire de l’UDR gaulliste lors de ces élections met un terme à la crise politique.

      Les avancées obtenues lors des accords de Grenelle entreront en application dans les mois qui suivent. De nombreuses conventions collectives sont révisées, et la négociation s’impose dans les entreprises jusqu’aux chocs pétroliers et ses conséquences économiques pendant la seconde moitié des années 1970, qui bouleversent à nouveau les rapports de forces avant l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981.

    • Rire .....
      Produit photocopie de tes pseudos accords avec la signature de Séguy, Frachon krasu ou tout autre dirigeants de la CGT m’sieur le Faussaire

      Se vouloir historien impose de la rigueur et de fournir des sources fiables et non de propager de la propagande MENSONGÈRE patronale et sociale libérale ...

      C’est simple comme demande m’sieur le Faussaire .... non ????

      Bien le Bonjour a tes chefs ,Gattaz et Vals

    • Au putain, t’as raison, même l’INA a fait un faux documentaire (en fait y en a plein !) sur les accords de Grenelle !

      https://youtu.be/3WhItWQMX9o

      Bon j’vais chercher mes chèques chez Gattaz et Valls (avec 2 L à Valls)...