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Pour que nul n’en ignore dans la Communauté Internationale (lisez "capitaliste")

par JO

Publie le lundi 17 mars 2014 par JO - Open-Publishing

Communauté internationale : Jargon des grands médias parce que TABOU est le mot capitaliste ! Le terrorisme d’Etat il connait pas !

17 mars 2014
Venezuela : LE CARACTERE SUBVERSIF DES PROTESTATIONS JOUIT DU SOUTIEN INTERNATIONAL

Caracas, 16 mars AVN – Le journaliste José Vicennale Rangel a assuré ce dimanche que les événements perpétrés par l’extrême droite vénézuélienne qui ont commencé le 12 février ne sont pas spontanés, « leur prolongation dans le temps le confirme et conduit à la conclusion suivante : Derrière de tels faits, il y a un appareil économique, des ressources et des entraînements qui garantissent l’agitation encouragée à travers ce qu’on appelle « la guerrilla prétexte ».

L’objectif, a indiqué Rangel, lors de son programme dominical transmis par Televen, est de prétendre renverser le président Nicolas Maduro et instaurer un « gouvernement d’urgence nationale » pour lequel ils font une campagne contre le Venezuela jamais vue auparavant.

Il a souligné que bien que la rhétorique de parti de l’opposition attribue aux protestations des raisons économiques comme les pénuries, la vie chère, les devises, leur principale motivation est politique : « Cela a à voir avec l’occasion que l’opposition a entrevu de conquérir le Gouvernement à cause de la mort du président Chavez et de la réalisation des élections présidentielles » dont a été vainqueur Nicolas Maduro.

Rangel a signalé que cet acte n’a pas été vu par l’opposition comme l’expression d’un acte démocratique et juridique établi dans la Constitution. « Ils ont surestimé leur force électorale et se sont préparés à une victoire et jamais à une déroute. C’est pour cela que le résultat des urnes, favorable à Maduro de plus de 300 000 voix les a déstabilisés et ils ont déclenché la violence, réaction caractéristique de ce secteur chaque fois que surgissent des situations critiques. »

Il a rappelé qu’à partir de là, l’opposition a placé dans les rues le slogan : « Maduro, va-t’en maintenant », avec un caractère subversif affirmé.

Rangel a déclaré que la conjoncture introduit un changement dans la politique nationale parce que l’offensive contre l’actuel gouvernement « dépasse la pratique que constitue une formule de lutte née de l’application d’un modèle qui est utilisé aujourd’hui au niveau mondial avec les résultats que l’on sait, comparables par ses effets mortels à ceux qui ont été mis en place en Amérique Latine dans les années 60 et 70. »

« La mondialisation du conflit a été la réponse. Maintenant, le fonctionnement du format comprend des ressources sophistiquées et essaie des pratiques inédites dans notre milieu, dont les antécédents se trouvent dans les tentatives de coups d’Etat manqués de 2002 et le sabotage pétrolier de 2002 et 2003, les « guarimbas », le terrorisme, et certainement les échecs, pendant 12 ans, de ces secteurs, les mêmes que maintenant, ont été analysés pour les adapter à la réalité vénézuélienne actuelle », a-t-il soutenu.

Il a souligné que ces facteurs sont prêts à tout, « à ne pas rater l’occasion d’atteindre leurs objectifs, le sang leur importe peu et le défi pour les Vénézuéliens est colossal. »

AVN 16/03/2014

(source CUBA SI)