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Robert Eringer : le rebut de la presse à scandale
par systemhunter
Publie le mardi 20 août 2013 par systemhunter - Open-Publishing1 commentaire
Le blogueur américain Robert Eringer a été remis à sa place une énième fois par la justice, cet été, pour ses propos diffamatoires et ses attaques sans preuves. Retour sur le parcours d’un homme qui symbolise à lui seul les dérives de la presse à scandale et des tabloïds anglo-saxons.

La Cour d’appel fédérale des Etats-Unis a rejeté la plainte de Robert Eringer à l’encontre de la Principauté monégasque à laquelle il réclamait un salaire impayé.
Embauché par Monaco en 2002 comme consultant, Robert Eringer avait été licencié par le Prince Albert, à cause de son comportement incontrôlable et de sa mythomanie. Depuis, celui qui a fait ses armes comme rédacteur dans la presse à scandale a lancé un blog d’informations pathétiques.
Ainsi, depuis qu’il ne travaille plus à Monaco, il est devenu le spécialiste de la désinformation et des ragots sans preuves et a déjà été condamné près de 30 fois par différents tribunaux français pour diffamation et injure publiques, atteinte à la vie privée et à l’image d’Albert de Monaco ou de ses proches.
Il avait notamment perdu un procès en diffamation contre le célèbre policier monégasque, décédé dans des circonstances dramatiques cet été, André Muhlberger.
Appât du gain, volonté de nuire, chantage, règlements de comptes, invention de faux scoops pour attirer du trafic sur son site, Robert Eringer illustre à merveille l’état nauséabond du « journalisme » citoyen.
Messages
1. Robert Eringer : le rebut de la presse à scandale, 21 août 2013, 08:07
Bofff !!
Règlements de comptes entre faisans et leurs employeurs, on n’en a rien à battre.
Y en a bien d’autres qui diffament, et attaquent réellement ceux qui combattent le Système et qui ne seront jamais inquiétés par celui ci et sa justice de classe...
Et bien souvent ils sont financés pour ça par les Pouvoirs en place.
Y en même des assassins à qui on refile des Prix Nobel par avance et procuration.
Ce blaireau s’est tout simplement trompé de cible.
G.L.