Sarkozy, mais en mieux.

On prête à Nicolas Sarkozy cette confession : « Macron, c’est moi mais en mieux ».

Si ce n’est pas une véritable phrase prononcée par lui, il faut admettre que c’est bien trouvé.

Il y a quand même des décennies que pour un citoyen venant d’un pays pauvre, c’est un casse tête administratif impossible à résoudre pour entrer en France d’une manière légale ?

Donc que vient faire ici cette histoire de Quota ?

Le sous-entendu serait donc que notre frontière est ouverte, alors même que tout a été fait pour des quotas zéro pour les étrangers indésirables.
Mais le R.N. Fera mieux : Il décrétera des lois rétroactives pour annuler la nationalité française à des populations non blanches et surtout non friquées.
Macron n’est pas vulgaire.
Il est grossièrement cynique, et pathologiquement narcissique.
Il sait à qui il ne plaît pas du tout, alors il en fait des tonnes pour que les gens du 7eme racistes mais correctement éduqués soient tout énamourés de lui.

– Ne pas mélanger torchons et serviettes.
– Séparer le bon grain de l’ivraie.
– Être bien né.
– Ne pas être blanc bleu.
– Ne pas être très catholique.
– Être blanc comme neige.

Tous ces lieux communs propres à la droite, nettoyeuse par atavisme, sont traduits en euphémismes comme « protection », « tolérance zéro », « lutte contre les abus ».
600 flics pour virer 1200 humains, qui vont être parqués on ne sait où.
C’est juste honteux.

Mais ils appellent cela courage politique.
Le courage des lâches.

Le discours des petits monarques bien éloignés de la populace.
Les gens ordinaires ne sont pourtant pas bien exigeants.
Un petit appartement pour ne pas être dehors en hivers, un petit travail pour ne pas crever de faim, une petite voiture pour aller au travail.
Or, qu’entendent-ils ? : que des quotas à l’immigration vont être crées pour des secteurs où la main d’œuvre manque.

C’est à dire que 5 millions de personnes refusent ou n’ont pas accès à un travail de merde, et donc la solution serait de réintroduire l’esclavage, mais l’esclavage libéral, le travailleur esclave volontaire.
Il soutient un discours absolument dégueulasse, mais il est tellement charmant, n’est-il pas ?

Avec ses petits yeux malicieux, il plaît tellement aux vielles dames.

Mais tout cela ne change rien au fait que la guerre aux pauvres est gagnée d’avance, et c’est toujours une victoire à la Pyrrhus.

Cela ne donnera qu’une satisfaction passagères aux habitants friqués des beaux quartiers de se savoir protéger de la proximité des gueux.

Car ils sont de plus en plus nombreux, et maintenant de plus en plus blancs, alors seule une petite partie des gens modestes blancs continuent à croire dans la fable de l’envahisseur de l’étranger qui pillent le français de souche.
Il n’y a que les résidents de la république qui ont une retraite assurée à vie.

Monsieur Macron, bientôt ce ne sont plus des barrières de métal qui vous faudra pour sortir en public, c’est des sacs de sables et des barbelés.