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Souffrance au travail : VII. Conclusion

par Alain Astouric

Publie le jeudi 23 mai 2013 par Alain Astouric - Open-Publishing

Extraits de Encadrer une équipe :

Au fil des articles précédents nous avons vu pourquoi et comment les techniques managériales de mutation organisationnelle permanente, de réingénierie, d’empowerment et de rémunération variable ont conduit les hommes vers de plus en plus de souffrance dans leur travail. Alors que faire en ces temps du triomphe de l’individualisme ?

Articles précédents : I. Le surstress n’est pas une fatalité ; II. La religion de la mobilité ; III. La fabrique à stress ; IV. La réingénierie ; V. L’empowerment ; VI. La rémunération variable individuelle.

Etant donné qu’on ne peut pas revenir en arrière, il est urgent de reconstruire l’entreprise. Non pas par nostalgie du passé mais parce que l’on tient là l’unique façon de réussir l’avenir.

La conduite des hommes dans une période de mutations,
Chronique Social

Il s’agit, pour l’essentiel : de systématiser vraiment l’accompagnement des changements ; d’instaurer un délai minimum de stabilité après chaque changement de poste et de prévoir une étude d’impact social avant toute restructuration significative.

Parallèlement à ces trois mesures structurelles, il est plus que temps de donner enfin à la maîtrise et aux cadres non seulement une réelle et suffisante marge de manœuvre mais aussi une formation sérieuse, complète et concrète, d’abord aux problématiques de la santé et du bien-être au travail, ensuite aux dix techniques qui fondent (depuis presque toujours) le management efficace d’une équipe au travail.

C’est précisément ce que propose l’étude intitulée Encadrer une équipe

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