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Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers
par arnold
Publie le mercredi 1er juillet 2015 par arnold - Open-Publishing8 commentaires
Intox ou pas ? Je n’en sais rien mais la presse mainstream diffuse l’info :
Une lettre de deux pages a été envoyée mardi à la Commission européenne, la BCE et le FMI et obtenu mercredi par le Financial Times.
Le Premier ministre a dit qu’il accepterait toutes les conditions proposées, à l’exception d’une mesure. Il se dit être d’accord sur les changements du système de TVA, mais a demandé de garder un rabais spécial de 30% pour les îles grecques.
Tsipras a aussi demandé que le changement de l’âge de la retraire à 67 ans soit repoussé à octobre 2022, alors que les créanciers veulent l’appliquer immédiatement. Il a également demandé de supprimer l’« allocation de solidarité » à destination des retraités pauvres d’ici 2019 plus lentement que les créanciers ne l’exigent.
Cette nouvelle intervient avant une téléconférence entre les ministres de l’UE prévue à 15h30 ce 1er juillet.
Messages
1. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 13:57, par arnold
L’AFP : Grèce : Tsipras va s’adresser à la Nation "dans peu de temps"
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras va s’adresser à la Nation "dans peu de temps", a indiqué mercredi l’agence de presse grecque (Ana, semi-officielle) en citant des sources gouvernementales.
"Selon des sources gouvernementales, une déclaration d’Alexis Tsipras est attendue sous peu", a indiqué l’Ana, une heure après la publication de nouvelles propositions de la Grèce à l’UE, la BCE et le FMI. Ces propositions comprennent "une série d’amendements" à la dernière offre d’accord des créanciers mais aussi des concessions sur la plupart de leurs exigences ainsi qu’une requête au Mécanisme européen de stabilité (MES) en vue d’un prêt de 30 milliards d’euros d’ici 2017.
Reuters : Alexis Tsipras accepte le projet de sauvetage sous condition
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a écrit à ses créanciers internationaux pour leur dire que la Grèce était susceptible d’accepter leur offre de renflouement publiée le dimanche 28 juin, sous réserve que plusieurs modifications y soient apportées.
Alexis Tsipras doit s’exprimer sous peu en public, a par la suite indiqué un responsable du gouvernement.
En échange de son acceptation, Athènes dit vouloir un prêt de 29 milliards d’euros pour couvrir le service de sa dette concernant les échéances des deux prochaines années.
Dans sa lettre, que Reuters a pu consulter, Alexis Tsipras demande notamment le maintien d’un taux de TVA plus bas pour les îles grecques et un délai pour la suppression de l’allocation de solidarité aux retraités les plus modestes.
« Comme vous le noterez, nos amendements sont concrets et ils respectent totalement la solidité et la crédibilité de l’architecture du programme d’ensemble », écrit le chef du gouvernement de la gauche radicale.
L’Obs : La Grèce "prête à accepter" les réformes de ses créanciers, sous conditions
Libération : Alexis Tsípras est prêt à accepter la plupart des demandes des créanciers
Le Monde : Grèce : Tsipras prêt à accepter les réformes des créanciers pour un nouveau plan d’aide
Le Figaro : Alexis Tsipras serait prêt à accepter les demandes de ses créanciers
Les Échos : La Grèce « prête à accepter » les réformes, mais sous conditions
La Tribune : La Grèce « prête à accepter » les réformes, mais sous conditions
1. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 14:45
Attention à l’intox, Tsipras a convoqué un référendum sur l’austérité, pas sur la sortie de l’€. IL est donc normal qu’il réponde à toutes les offres de négociation, voire qu’il les provoque, ce qui, indirectement montre que, contrairement à ce que répandent les "merdias" du capital, il reste partisan de l’€. Tout en confirmant que le référendum tourne bien autour de l’austérité et pas de l’€ !
2. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 17:48
Tout à fait et il vient d’annoncer le maintien du referendum et appelle à voter non.
Il a choisi la voie démocratique en donnant la parole au peuple et cela déplait à certains , même à gauche , quia imeraient décider à la place du peuple grec et dire ce qui serait bon pour lui
Tsipras
2. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 14:00, par nazairien
Tsipras souffle t il le chaud et le froid, ou est il en train de duper le peuple Grec sous la houlette de Juncker ?
Alexis Tsipras accepte le projet de sauvetage sous condition
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/alexis-tsipras-accepte-le-projet-sauvetage-sous-condition-111139276.html
ATHENES/BRUXELLES (Reuters) - Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a écrit à ses créanciers internationaux pour leur dire que la Grèce était susceptible d’accepter leur offre de renflouement publiée le dimanche 28 juin, sous réserve que plusieurs modifications y soient apportées.
Alexis Tsipras doit s’exprimer sous peu en public, a par la suite indiqué un responsable du gouvernement.
En échange de son acceptation, Athènes dit vouloir un prêt de 29 milliards d’euros pour couvrir le service de sa dette concernant les échéances des deux prochaines années.
Dans sa lettre, que Reuters a pu consulter, Alexis Tsipras demande notamment le maintien d’un taux de TVA plus bas pour les îles grecques et un délai pour la suppression de l’allocation de solidarité aux retraités les plus modestes.
"Comme vous le noterez, nos amendements sont concrets et ils respectent totalement la solidité et la crédibilité de l’architecture du programme d’ensemble", écrit le chef du gouvernement de la gauche radicale.
Les ministres des Finances de la zone euro doivent discuter de la demande grecque lors d’une téléconférence à 15h30 GMT, mais, selon de premières réactions, la missive vient trop tard et contient des éléments difficiles à accepter pour les membres de l’Eurogroupe.
Bien que la lettre soit datée du 30 juin, elle est arrivée après la fin de la téléconférence des 19 ministres des Finances de l’Eurogroupe mardi soir et l’expiration du plan de sauvetage international mardi à minuit, moment également où la Grèce n’a pu rembourser 1,6 milliard d’euros dus au Fonds monétaire international.
"La République hellénique est prête à accepter cet (...) accord en fonction des amendements, additions et clarifications suivantes, dans le cadre d’une extension du programme FESF en cours d’expiration et du nouvel accord de prêt MES pour lequel une demande a été présentée ce jour", écrit Tsipras dans sa lettre révélée par le Financial Times.
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a indiqué que la lettre venait trop tard et qu’elle n’avait pas apporté de clarification supplémentaire. Ce n’est pas une base pour des négociations sérieuses pour le moment, a-t-il indiqué.
Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, s’est refusé pour sa part à commenter la lettre, tout en ajoutant être en "contact permanent" avec Athènes et les autres autorités.
3. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 15:30, par nazairien
Le "Neuneu" de l’Elysée harcèle la Grèce
Hollande sur la Grèce : "Il faut être clair, l’accord, c’est tout de suite !"
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/hollande-grèce-faut-être-clair-laccord-cest-suite-124737176--finance.html
Le président François Hollande a exhorté mercredi Athènes et ses partenaires européens à parvenir "tout de suite" à un accord sur le renflouement financier de la Grèce, à son arrivée à Lyon où il devait participer à un congrès sur le climat.
"Il faut être clair, l’accord, c’est tout de suite ! Il ne pourra pas être différé. Ça fait tellement de temps qu’on parle de cet accord, il faut qu’il vienne", a lancé le chef de l ?État devant la presse, laissant poindre son agacement devant les nouvelles péripéties des négociations.
"Comme Européen, je ne veux pas la dislocation de la zone euro", a-t-il encore martelé, soulignant que les "discussions qui se prolongent doivent être menées jusqu’au bout".
À quatre jours du référendum qui doit se tenir en Grèce sur le plan de sauvetage européen, le président Hollande a relevé qu’"il ne tient qu’à (la Grèce) de le confirmer ou de le retirer".
"Si cet accord peut être trouvé avant le référendum, ça ne donnera plus grand sens à cette consultation", a-t-il cependant noté.
4. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 15:41, par nazairien
Merkel, par ses propos, reconnaît que l’Europe n’est pas une "Démocratie" et contrairement à l’info, je vois plus de convergence, que de divergences entre Merkel et Hollande, qui tout deux, sont pour la continuation de la "Dictature Européenne"
EN DIRECT Grèce - Merkel : "Un bon Européen ne recherche pas le compromis à tout prix"
https://fr.finance.yahoo.com/actualites/direct-grèce-merkel-bon-européen-ne-recherche-compromis-131800347.html
François Hollande et la chancelière allemande semblent avoir des vues de plus en plus opposées alors qu’Athènes tente de renouer le dialogue.
La Grèce est revenue à la table des négociations mardi et mercredi. Alexis Tsipras a envoyé deux lettres séparées à ses créanciers. Dans la première, le Premier ministre de la gauche radicale grecque demande un troisième plan d’aide de 30 milliards d’euros sur deux ans, accompagné d’une restructuration de l’énorme dette du pays (plus de 175 % du PIB). Dans la seconde, il endosse les dernières demandes de réformes de ses créanciers formulées au moment de son annonce de référendum, avec quelques réserves, notamment sur la TVA et les retraites. À 17 h 30, les ministres des Finances de la zone euro tiennent une téléconférence pour décider de la conduite à tenir. Suivez les derniers développements sur Le Point.fr.
14 h 52. Le futur référendum du 5 juillet ne correspond pas aux "standards" européens, avertit le Conseil de l’Europe. La question du référendum est en effet très technique et porte sur une proposition modifiée ensuite par les Européens, puis retirée après l’expiration du plan d’aide.
14 h 36. François Hollande s’oppose à Angela Merkel (voir plus bas). "Il faut être clair : l’accord, c’est tout de suite !" lâche le président français, selon des propos rapportés par l’Agence France-Presse à son arrivée à Lyon, où il doit assister à un congrès de collectivités mobilisées pour lutter contre le réchauffement climatique. "Je ne veux pas de dislocation de la zone euro", martèle-t-il.
Nicolas Sarkozy intervient dans le débat. L’ancien chef de l’État affirme dans une interview au Monde que "la question la plus urgente" est de "protéger la zone euro, au-delà du seul cas de la Grèce", alors que la Grèce n’a pas remboursé le FMI. Mais il en (...) Lire la suite sur LePoint.fr
5. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 18:17, par arnold
Manifestation de soutien au peuple grec, jeudi 2 juillet 18h30 Place de la Bastille
Les Unions régionales CGT - FO - FSU et Solidaires appellent à participer à la manifestation de soutien au peuple grec et au respect de sa souveraineté le jeudi 2 juillet à 18h30.
La Grèce est aujourd’hui dans une situation catastrophique, parce qu’elle a été un des laboratoires de l’application des politiques d’austérité imposées par le FMI, la Commission Européenne et la Banque centrale.
Vendredi dernier, ces mêmes institutions sont restées intransigeantes dans les négociations : application des politiques néolibérales ou rien. Le gouvernement grec ayant décidé de soumettre le projet d’accord au vote,
l’Eurogroupe a réagi immédiatement en coupant les vivres le 30 juin, qualifiant le référendum grec de " coup de force " et en excluant le ministre grec des finances de la réunion !
Les masques sont tombés. Les dirigeants européens sont prêts à tout, y compris au mépris de l’expression populaire, pour empêcher la mise en place d’autres politiques que celle de l’austérité.
Les forces syndicales qui mènent la lutte contre l’instauration de politiques libérales qui remettent en cause les droits sociaux, détricotent les droits du travail et privilégient la finance au détriment des salarié-es et des privé-es d’emploi, ne peuvent rester passives.
Déjà le 9 avril, lors de la manifestation unitaire CGT- FO-FSU-Solidaires, nous avions installé un calicot géant " d’Athènes à Paris, dans toute l’Europe, non aux politiques d’austérité "
Manifester notre soutien au peuple grec qui s’est clairement prononcé le 25 janvier dernier pour refuser l’étranglement des politiques d’austérité, c’est refuser un nouveau déni de démocratie en Europe après ceux rejetant le vote contre le projet de traité constitutionnel européen en France en Irlande et aux Pays Bas.
Mais c’est aussi vital pour le mouvement syndical qui se bat pour couper le cou aux matraquages idéologiques, sans fondements, laissant entendre qu’il n’y a pas d’autres choix possibles, en France comme partout en Europe.
Respect des choix démocratiques des peuples et refus des politiques d’austérité sont deux mots d’ordre que portent les unions régionales d’Ile de France, CGT -FO - FSU- Solidaires. Elles appellent à participer massivement à cette manifestation.
Paris, le 29 juin 2015
source : https://solidaritefrancogrecque.files.wordpress.com/2015/06/manif20715.pdf
6. Tsipras serait prêt à répondre à l’essentiel des exigences des créanciers, 1er juillet 2015, 18:18, par arnold
Manifestation des retraités en Grèce : « notre argent pour nos petits-enfants, pas pour les banques »
https://www.youtube.com/watch?v=9pDlyksMK30