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Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon
Publie le lundi 4 janvier 2016 par Open-Publishing5 commentaires
Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon.
Plusieurs dizaines de personnes armées se sont emparées samedi des locaux du Malheur National Wildlife Refuge, aux Etats-Unis, et menacent d’y rester des années.
Un peu allumés les copains mais avec des armes, c’est déjà plus convainquant.
Messages
1. Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon , 4 janvier 2016, 20:25, par jean 1
Wath else ?
Après le figaro voila l’express
On avance , on avance.
2. Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon , 4 janvier 2016, 21:51
Qui va jouer les Cow-Boys ? Qui va jouer les Indiens ?
3. Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon , 5 janvier 2016, 04:39
L’Amérique c’est le chaos .
4. Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon , 5 janvier 2016, 10:05
Pas sûr du tout que ce soit des copains...
1. Une milice armée occupe un parc dans l’Oregon , 6 janvier 2016, 12:41
En fait, ce qui est réellement "regrettable" c’est que ça ne soient pas des "copains".
Parce que vu ce qui se passe réellement aux USA, (Et bientôt chez nous), on peut se poser la question de ce que les "copains", les nôtres, les "vrais", branlent réellement pour au moins tenter de changer quelque chose à l’état de fait actuel.
Alors, disons que si je n’ai aucune admiration pour les mecs en question, ni pour les buts et la philosophie qu’ils affichent, les causes fondamentales qui font qu’ils commencent à se bouger le c.. me semblent quand même devoir être prises en considération.
A moins qu’on ne considère que l’"évolution" de la situation politique et économique aux USA relève d’un progrès certain par rapport à la situation qui existait il y a 15 ans.
Et dans ce cas tout est pour le mieux dans le Meilleur des Mondes et faut arrêter de pleurer.
Reste donc à savoir si ceux qui sont, eux, nos "copains" aux States vont décider, ou non, eux aussi, que ça ne peut plus durer... Qu’ils sont eux aussi en danger réel.
Et qu’ils vont eux aussi réagir d’une manière alternative, ou d’une autre.
Ou s’ils ont définitivement décidé de re-devenir indéfiniment des esclaves sans lever le petit doigt.
C’est aussi une solution.
Comme disait quelqu’un, je crois que c’est Thomas Paynes :
"Il n’est pas de meilleur esclave que l’esclave qui se pense libre".
Et je ne voudrait absolument pas interférer dans leur bonheur au risque de le détruire. ((- :
G.L.