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VENEZUELA : APRES LE COMPLOT UN AUTRE COMPLOT.....!
par JO
Publie le mardi 8 avril 2014 par JO - Open-Publishing1 commentaire
LES 10 POINTS DE BATAILLE D’Obama CONTRE LE Venezuela
Par Arlequin Aguillon/Journal Chavez Vive 04/04/2014
La conspiration de l’empire yankee continue.
4 avril 2014 – Barack Obama a activé 10 diaboliques points de bataille pour créer le chaos au Venezuela et justifier l’invasion du pays.`Òbama prétend voler le pétrole vénézuélien à son profit, c’est pourquoi il a financé plus de 16 mille attaques dans le pays depuis le 12 février dernier, quand on a commencé la tentative téméraire de coup d’Etat.
Plus de 300 organisations terroristes, au Venezuela, ont reçu un financement d’Obama par l’intermédiaire de l’organisme officiel pour le développement USAID et du Bureau d’Initiatives de Transition. Entre 2004 et 2006, l’USAID a donné quelques 15 millions de dollars à ces organisations et leur a offert un soutien technique et de formation à travers son Bureau d’Initiatives de Transition (OTI). Pour 2011 et 2012, le chiffre est multiplié par 6 pour atteindre 90 millions de dollars par an.
A la suite, les 10 points de bataille qu’Obama a activés dans l’intention de faire plier le Venezuela.
Le Département d’Etat : Barack Obama a dévoilé son attiude d’ingérence. S’il n’y a pas de mouvement, s’il n’y a pas de possibilité de dialogue, s’il n’y a pas d’espace démocratique pour l’opposition, il est clair que nous devons penser à cela (imposer des sanctions) et nous pensons à cela, a dit la sous-secrétaire d’Etat pour l’Hémisphère Occidental, Roberta Jacobson. Le Département d’Etat est l’instance de planification de tout le plan de coup d’Etat au Venezuela. De là vient l’argent pour financer les mercenaires déployés dans le pays. Là est le cerveau du plan pour envahir le Venezuela.
2. Amnesty International. L’ONG a décrit le Gouvernement de Maduro comme répressif et violateur des Droits de l’Homme. Cette version a été diffusée dans le monde entier comme tactique pour rendre légitimes les terroristes. Elle cherche à créer la matrice d’opinion qu’au Venezuela, les Droits de l’Homme sont violés, ce qui sera l’excuse pour l’envahir.
3. L’Union Européenne. Elle a été attaquée à plusieurs occasions depuis que la tentative téméraire de coup d’Etat a commencé. Dans son communiqué le plus récent, elle emploie le même fil discursif qu’Amnesty International. Le mensonge est uniforme et systématique.
4.Les narco-paramilitaires. Alvaro Uribe Velez finance et dirige un réseau de paramilitaires avec l’argent des trafiquants de drogue. Ce réseau a entraîné des terroristes en Amérique Centrale et les amène au Venezuela pour diriger les attaques des institutions du pays.
5. Hiérarchie ecclésiastique. Profitant du rôle qu’elle joue dans la société, la hiérarchie ecclésiastique obéit à Obama et avalise toutes ses attaques. Les terroristes intensifient leurs attaques au Venezuela et, immédiatement, certains évêques rotent pour les protéger.
6. Le Congrès des Etats-Unis. Mario Diaz-Balart et Ilena Ros-Lehtinen sont deux pions constamment employés par la CIA contre le Venezuela au congrès des Etats-Unis. A ceux-ci s’ajoute Mario Rubio. Il exite desliens directs entre les congressistes et des mafias d’opposition.
7. Le Panama. Il s’est transformé en un pion de Barack Obama qui l’utilise comme arme d’attaque au niveau international. Ils demandent ouvertement l’invasion du Venezuela. Ils ont nommé la terroriste vénézuélienne Maria Machado Ambassaseur Alternatif devant l’OEA.
8. Maria Machado. C’est le pion choisi par Obama pour diriger les actes terroristes et le pantin principal pour commander et payer chacune des attaques de mercenaires. Elle est liée aux oligarques de la région. Elle a un rôle international en Colombie, au Pérou, au Panama, en Espagne et au Brésil.
9. CNN. L’entreprise d’opérations psychologiques a dirigé le bombardement médiatique contre le pays. Ses programmes sont ajustés avec les intérêts d’Obama. Elle rend légitimes face au monde tous les mensonges qu’on diffuse contre le Gouvernement de Nicolas Maduro.
10. La cyber-guerre. Contre le Venezuela, ils ont monté un immense déploiement d’armes, y compris avec l’utilisation des nouvelles technologies. Dans la vision d’Obma, c’est l’infrastructure critique de la Nation : le Système Electrique National, les installations pétrolières, le cerveau de PDVSA, les entreprises de Base de l’Etat, les quais et les voies de communication. Les Etats-Unis ont une composante militaire dans la cyber-guerre. Obama engage son arsenal contre le pays.
(source Assoc. CUBA SI)
Messages
1. VENEZUELA : APRES LE COMPLOT UN AUTRE COMPLOT.....!, 9 avril 2014, 11:38, par JO
6 avril 2014
Venezuela "LES CHAVISTES SONT LA, NOUS ALLONS LES TUER !"
Yenifer Heras, secrétaire générale du Centre des Etudiant de l’Ecole de Sociologie, a raconté à l’Agence Vénézuélienne de Presse (AVN) ce qui s’est produit hier dans l’enceinte de l’université.
« Hier, nous, un groupe de camarades de l’Université Centrale de Sociologie du Venezuela, nous nous disposions à nous réunir à l’Ecole de Travail Social, puisque nous avions un programme de radio itinérant à l’université, programme de dénonciation de l’inefficacité de la recteure Cecilia Garcia Arocha. Nous étions là, décidant s’il sortait ou ne sortait pas, étant donné la violence que ces groupes provoquaient à partir de la porte Tamanaco sur la place du Venezuela, quand tout à coup, s’approchèrent d’une camarade, Johana Valecillo, deux filles et un homme clairement identifiés avec des casquettes et des T-shirts de Volonté Populaire.
Ils se sont approchés en voyant qu’elle était là, discutant avec nous. La présidente du Centre des Etudiants de l’Ecole de Travail Social, Sairam Rivas, leur fit signe et dit : « Ils sont chavistes ». Une des filles avec le T-shirt de Volonté Populaire tenta d’arracher son cartable à la camarade Johana, elle s’est défendue, nous sommes intervenus et nous sommes interposés pour arrêter ça et la fille a crié : « Les chavistes sont là. Nous allons les tuer ! »
Nous, nous étions environ 30 personnes et quand nous nous sommes retournés, nous avons vu que, de la porte Tamanaco, arrivaient entre 300 et 400 personnes avec des bâtons, des bouteilles, des barres de métal, chinas avec des écrous, des pierres, metras. Nous avons couru pour nous sauver. Quelques camarades sont allés à la Faculté des Sciences Economiques et Sociales et nous autres, nous nous sommes mis à l’abri au Centre de Recherches Rodolfo Quintero qui se trouve à côté de l’Ecole de Travail Social.
Après que nous soyons entrés là, ils ont cassé les vitres, ils criaient, ils nous disaient : « Nous allons vous violer, maudites. Sortez de là, chavistes ! » Le camarade William Muñoz se disposait à déjeuner dans la salle à manger du Centre de Travail Social. Ils sont venus, ils l’ont identifié et lui ont dit : « ah, tu es un des chavistes. Nous allons te tuer. » ils ont attaché le camarade à un des courts de tennis, ils l’ont frappé avec bâtons, des pierres, l’ont laissé presque inconscient, lui ont arraché les vêtements et l’ont menacé de le brûler. Ce n’est que par les pompiers qui sont arrivés à ce moment précis que nous savons ce qui s’est passé.
Il a plusieurs côtes fracturées, une contusion assez forte de la tête, le visage complètement défiguré par les coups qu’ils lui ont donnés, la cloison détruite et on va l’opérer aujourd’hui, dans la matinée. Il a dit qu’il y a des groupes qu’il reconnaît de l’Université Centrale du Venezuela et que certains ont l’accent gaucho, ce pourquoi nous pouvons présumer qu’il y a des groupes paramilitaires qui travaillent ici.
Nous dénonçons le fait que la recteure Cecilia Garcia Arocha, la seule chose qu’elle fait, par principe, est de rejeter les violences. Elle-même prête l’enceinte universitaire pour que ses faits se produisent et nos savons que, dans l’Université Centrale du Venezuela, des groupes fascistes qu’elle dirige ainsi que Juan Requesens, président de la Fédération des Centres Universitaires. Tammu Suarez aussi, parce que c’est une de celles qui apparaissent sur la vidéo.
Hier, un des camarades de Zurka Konducta l’a montrée (dans une vidéo) disant : « Il faut le tuer parce que c’est un chaviste. Nous allons te tuer à coup de pelles (en référence à Muñoz). Nous, nous sommes restés à l’abri ici de midi à environ 15 heures, recevant des pierres, des bombes lacrymogènes mais nous avons réussi à entrer en contact avec une équipe de sécurité de l’Université Centrale du Venezuela, ils sont venus nous sauver et nous ont aidé à sortir.
Sur la Place du Venezuela se trouvait un cordon de sécurité empêchant que ces personnes commettent des destructions. Quand elles virent qu’elles ne pourraient pas commettre des destructions là, elles firent volte face et l’agression contre notre camarade eut lieu. Ils voulaient créer un foyer de violence pour avoir une excuse pour continuer le chômage technique que cette recteure met en œuvre.
Les corps de sécurité, évidemment, ne purent entrer dans l’enceinte universitaire mais protéger les environs, oui. Nous, nous avons pu sortir par la sortie des Sciences et nous nous sommes trouvés à la UBV (Université Bolivarienne du Venezuela) et nous avons pu raconter ce qui s’est passé.
Nous rejetons ces actes de violence et savons que cela fait partie du jeu de la rectore qui est politiquement du côté de la droite. C’est une recteure fasciste, illégitime. Il y a plus de 2 ans qu’il n’y a pas eu d’élections à l’université.
Nous sommes ici (au bureau du Procureur) pour prendre les mesures judiciaires pertinentes. C’est une plainte officielle contre elle et contre tous ceux dont nous savons qu’ils sont impliqués dans ces violences à l’Université Centrale. Nous avons confiance en nos institutions pour que justice soit faite.