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Le Capital de Karl Marx en Bande dessinée Manga, préfacée par Olivier Besancenot

Publie le mardi 25 janvier 2011 par Open-Publishing
11 commentaires

Messages

  • Moi je le verrai bien se retirer sur l’île de Ré.

    Les idées anticapitalistes des militants NPA c’est interréssant.

    Les peoples, leurs états d’âme, les critiques faciles, y en a marre.

  • moi,j’aime le sens qu’il évoque pour la tunisie : le peuple veut déraçiner l’arbre , ils ne veulent pas "on prend les mêmes et on r’commence. pour moi, qu’importe et même tant mieux qu’il y est des différences, pensez, s’il vous plaît,davantage à ce que l’on a de commun,plutôt que de vous dire que vous ne venez pas du même coin ; continuez donc à faire le jeu pour qui en profite ! assez de cloches qui teintent la raison !!!

    • c’est effectivement très bien pour la TUNISIE , mais pourquoi pas la même attitude en FRANCE ?

    • Palao,

      On t’a déjà dit qu’on n’a pas privatisé France télécom ensemble.

      Ta hargne anti-besancenot ne nous fera rien oublier.

    • le NPA a la même attitude en France et en Tunisie, on ne peux lui reprocher cela...

      pour l’unité en indépendance de la bourgeoisie et ses institutions.

      On ne peux reprocher au NPA non plus de demander l’unité dans le combat depuis des années.

      C’est le FdG qui est à géométrie variable

      Perso, je pense qu’ils sont trop gentils , mais...

      par contre c’est bien qu’il aide à populariser une vulgarisation du Capital.

      des choses à reprocher là dessus ?

    • Rien de neuf, j’ai un exemplaire du "Capital en bande dessinées" de Marx, illustré et commenté par K.Ploeckinger et G. Wolfram présentation de Lucio Colleti de 1976.

    • "Le peuple tunisien a montré que la révolution est possible", selon Besancenot
      mercredi 26 janvier 2011

      AFP TUNIS — Le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA, extrême gauche française), Olivier Besancenot, a apporté mercredi à Tunis son "soutien au peuple tunisien", qui a démontré que "la Révolution est possible", après la chute du président Zine El Abidine Ben Ali.
      "On est venus apporter notre soutien à la Révolution tunisienne, on a essayé d’expliquer dans les rencontres qu’on a eues qu’il ne faut pas croire que le peuple français est à l’unisson derrière son gouvernement, au contraire", a expliqué Olivier Besancenot à des journalistes dans le centre de Tunis.

      "Cela prouve qu’une révolution est possible. J’appartiens à une génération qui militait jusque-là dans un monde où il n’y avait pas de révolution en cours. Et bien là, il y en a une, cela prouve que la révolution est crédible", a poursuivi Olivier Besancenot.

      Accompagné d’une délégation du NPA et du responsable du Parti socialiste des travailleurs d’Algérie Chawki Salhi, Olivier Besancenot a rencontré mardi et mercredi syndicalistes, étudiants et militants de partis politiques de l’opposition au régime du président déchu Ben Ali, qui a fui la Tunisie le 14 janvier, chassé par la "révolution de jasmin".

      "J’ai un message personnel pour la classe politique française, qui dit qu’il y a un risque de vide politique en Tunisie. Je n’ai jamais vu un vide aussi plein à craquer : il y a des meetings partout, les gens parlent politique au bon sens du terme. Quand on voit le vide de la classe politique française, on devrait avoir un peu d’humilité", a souligné Olivier Besancenot.

      "Si on pouvait avoir une place de la Kasbah pleine à craquer devant l’Elysée de Sarkozy, j’en serai jour et nuit !", a-t-il ajouté en souriant, en référence aux milliers de manifestants qui campent depuis trois jours sous les fenêtres des bureaux du Premier ministre tunisien de transition, demandant la démission de son gouvernement, dominé par des caciques du régime de Ben Ali.

      "Cela redonne beaucoup d’énergie en France pour ceux qui suivent le même combat contre la dictature, on n’a pas Ben Ali, mais on a la dictature de la finance et du capitalisme", a estimé Olivier Besancenot.

    • QUENTIN , qu’est ce que c’est que cette connerie sur la privatisation de FRANCE TELECOM que l’on n’aurait pas fait ensemble ?

      Quand cette privatisation a eu lieu j’étais dans la rue avec mes camarades de la CGT des PTT de même que j’étais dans la rue et en grève contre les attaques menées contre l’institution dans laquelle je travaillais : la sécurité sociale ...CAR JE SUIS CONTRE LE DEMENTELLEMENT DE TOUS LES SERVICES PUBLICS

      Il n y a pas de hargneBESANCENOT ni contre une autre personnalité politique de gauche de ma part , mais pas de dévotion non plus , le culte de la personnalité ça rend con et aveugle , alors je critique et me questionne lorsque l’attitude de telle ou telle personnalité me semble contradictoire avec ce que par exemple il dit en FRANCE et ce qu’il dit à l’étranger : EN TUNISIE , BESANCENOT célèbre l’ addition des différences qui ont permis la révolution alors qu’en RANCE il refuse ces différences trouvant toujours que les autres ne sont pas assez révolutionnaires , il me fait penser à MELANCHON qui a du CHAVEZ et CASTRO plein la bouche mais joue le jeu des institutions bourgeoise en FRANCE ,

  • Marx en Manga, pourquoi pas, de quoi faire étouffer les réac. ceux qui ne peuvent entendre le mot "Communisme", propriété collective, égalité, et même féminisme ; n’est-ce pas messieurs Zemour et Ménard ?
    Oui, c’est la Tunisie aujourd’hui qui nous montre ce qu’est la force d’un peuple, sa volonté, sa dignité quand il veut plus de justice et d’égalité et de dignité. Quand il dénonce une dictature et un pouvoir de classes dominantes qui les écrasent.
    En France, 70% de la population qui soutenaient le mouvement populaire contre le projet du gouvernement, 70% qui voulaient le maintien de la retraite à 60 ans, ont vu les députés,sénateurs, membres du gouvernement, et Mr Sarkozy ne pas en tenir compte.

    Ce qui se passe en Tunisie, pourrait bien avoir des prolongements en France...
    Ce qu’espèrent toutes et tous celles et ceux qui furent dans la rue, de + de 3 millions à même 4 millions.

    Je n’ai pas l’habitude de lire des Mangas, je vais celle-ci.