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Une nouvelle de j.i. Denisky : Mode d’emploi du barbule

Publie le dimanche 1er mai 2011 par Open-Publishing
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PREFACE.

Dans le cadre politique raciste et ultra capitaliste actuellement imposé par un futur ex-président devenu le seul capitaine d’un radeau déjà sous l’eau, il est réconfortant de rencontrer des écrivains débutant comme Juan Ibes DENISKY.

Depuis son espagne natale, il a eu l’élégance de m’envoyer son texte par fax (son vieux micro ordinateur ZX81 n’est plus compatible avec les nouvelles normes internet) pour que je le diffuse.

Je ne me permettrai pas de commentaire sur le contenu de l’oeuvre.
On ne critique pas un géant.

Je me contenterai donc d’une courte présentation de ce génie absolu de la littérature ibérique moderne.

La mort tragique de ji Denisky.

Depuis plusieurs années, il était de notoriété publique que le célèbre auteur n’était plus que l’ombre de lui-même du fait de l’abus chronique de certaines substances toxiques à long terme.

Sa mort survint le 27 avril de cette année vers 3h07 du matin, et comme à son habitude Juan avait scrupuleusement mis en scène son suicide.
Ceci afin de plonger les forces de l’ordre dans la plus intense stupéfaction.

En effet, assis dans la position du lotus, jambes croisées, son cou étranglé par un cable de téléphone modèle PTT.
La longueur du cable ayant été calculé pour être suspendu à exactement à un 7 millimètres du solfixé au plafond à un candélabre hongrois modèle 1947, il n’avait aucune chance d’en sortir sans blessure.

Inutile de préciser qu’il s’était entouré d’un cercle d’un diamètre de 7 metres en disposant tous les 12 centimetre une bouteille de vodka vide qui prises deux à 2 faisant par rapport au centre du cercle un angle d’environ 51 degré.

Lorsque la police de proximité perigourdine a réussi à enfoncer la mini barricade qu’il avait formé avec des ustensiles ménagers divers, celle-ci a constaté sa mort clinique, dont le médecin légiste estima qu’il survint 7 minutes avant l’arrivée des flics.
Dans une des bouteilles, ils trouvèrent un post-il avec cette inscription
intriguante : Fuck the police.

Juan aurait eu 27 ans le 27 juin prochain.
Il nous laisse ce dernier roman, nouvelle preuve de son invraisemblable talent.

Adieu l’ami, je te laisse à ton publique.

Voici pour vous la nouvelle intitulée : Mode d’emploi du barbule.