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LES AFFINITES ENTRE MARXISTES ET LIBERTAIRES

par Nemo3637

Publie le jeudi 2 octobre 2014 par Nemo3637 - Open-Publishing
38 commentaires

Notes de lecture.

AFFINITES REVOLUTIONNAIRES - Nos étoiles noires et rouges - De Olivier BESANCENOT et Michael LÖWY - Editions Mille une Nuits.

Par Nemo3637.

En plein mois d’août 2014 est sorti ce petit ouvrage qui évoque les relations entre anarchistes et marxistes. D’emblée le lecteur est averti que c’est avant tout ce qui rassemble qui sera mis en avant. Sur des sujets qui font encore controverses comme la Commune de Paris, l’Ukraine anarchiste, Cronstadt...les deux versions libertaire et marxiste, sont énoncées. On y ajoute parfois un troisième regard qui prend l’aspect d’une synthèse.

On trouve des personnages qui représentent des ponts entre les deux courants tels Victor Serge ou Pierre Monatte. Cet historique est intéressant même si les lecteurs les plus informés ont déjà lu Daniel Guérin (1). Mais, bien sûr, on a hâte d’en arriver à notre vécu présent, à ce que peut représenter aujourd’hui concrètement les "affinités révolutionnaires" entre marxistes et anarchistes.

Tout d’abord il conviendrait de cerner qui représente chacun de ces courants. Les marxistes, dès l’origine, veulent s’emparer des leviers de l’Etat pour que celui-ci, qui tendrait alors vers son extinction, agisse en faveur du peuple. Mais les héritiers les plus directs des premiers marxistes, de ceux-là mêmes qui côtoyaient Marx et Engels en personne, ne sont-ils pas les sociaux-démocrates actuels ? Même s’ils ne sont plus des révolutionnaires, ils se proclament encore, du moins en France, héritiers du marxisme.

Il y a aussi d’autres courants marxistes que les auteurs de ce livre ne peuvent évoquer. Un courant marxiste-léniniste qui parfois, inspiré de maoïsme, prit une allure libertaire, comme VLR (2) au début des années 1970. Des groupes et petites organisations à l’idéologie marxiste-patriotiques ressurgissent glorifiant Krasucki (3), Thorez et même Staline avec lesquels les anarchistes ne devraient donc rencontrer aucune affinité.

Alors qui sont les marxistes avec lesquels les anarchistes devraient trouver lesdites affinités ? Vous l’aviez deviné à la lecture des noms des auteurs du livres : ne serait-ce pas avec une mouvance issue du trotskysme, ayant entamé une critique du Prophète ? Le NPA par exemple ? Bravo, vous avez trouvé. Et du côté des libertaires, encore plus difficiles à cerner, la préférence irait bien sûr vers certains groupes historiquement proches du trotskysme. Là je ne cite personne mais, perspicace comme vous l’êtes, vous allez sûrement deviner de qui il s’agit.

Pour part, je dois quand même dire que, sur le terrain, mes camarades et moi-même, avons eu maille à partir avec des trotkystes qui se comportaient en abominables bureaucrates (4). Mais bien sûr suivant la ligne de nos auteurs, je n’en parlerai pas ici.

La perspective ainsi dégagée par nos auteurs, laissant la porte ouverte à l’électoralisme, remplira d’espoir un certain nombre d’intellectuels. Mais sur le terrain, parmi les "masses" lors d’un conflit social, que se passe t-il ? Aujourd’hui comme hier, quand il s’agit d’une sérieuse confrontation de classes, ce sont les assemblées générales qui constituent l’organisme premier sur lequel va reposer la volonté et l’action des salariés. Et le fonctionnement, si l’on veut une unité dans l’action et une réelle dynamique, ne peut se faire que par la démocratie directe. Et c’est là que se retrouve les anarchistes, dans des principes d’action très anciens qui font partie de la nature humaine et de la tradition de lutte des exploités. Et dans ces luttes, ces dernières années, s’est-on soucié des affinités entre marxistes et anarchistes ? Sur le terrain, dans le combat, nous étions évidemment tous unis. Mais, compte tenu de l’expérience acquise, on surveille aussi avec attention tous ceux, qu’ils soient anarchistes ou marxistes qui prétendent parler, ou même signer des accords, sans que les décisions ne passent par la base. Encore une fois j’évoque ici des luttes "sérieuses".

Mettons tout le monde à l’aise. Dans le syndicalisme, dans les organisations libertaires, parmi les anarchistes, il y a eu des bureaucrates. Bien des cénétistes ou ex-cénétistes vous en parleraient. L’idéologie ne fait pas le moine. Ce qui ne dévalorise en rien la ou les CNT et les organisations anarchistes, et surtout pas les principes qu’elles défendent.
Si l’on avait réellement cherché une unité entre anarchistes et marxistes pourquoi ces derniers ne se sont-ils jamais prononcés, par exemple, pour un appui à ladite CNT ? Aux Etats-Unis l’IWW réunit depuis longtemps trotskystes et anarchistes. Mais c’est à ma connaissance, dans le monde, la seule organisation où coexistent ouvertement les partisans des deux courants.
Du point de vue idéologique, il est vrai aussi que le trotskysme, comme l’avait prédit Daniel Bensaîd, semble sur le déclin. Pour l’anarchisme, divisé en nombre de groupes, c’est un peu différent car ses principes, comme le disent les auteurs de ce livre, se retrouvent dès qu’une lutte prolétarienne d’importance surgit, comme par exemple en Afrique du nord. Ce qui ne veut pourtant pas dire que les acteurs de ces luttes, basées sur la démocratie directe, se réclament ouvertement de l’anarchisme.

A travers la crise que traverse ou qu’ont traversé certains groupes et organisations, le petit ouvrage de Besancenot et Lôwy, qui en lui-même n’annonce rien de nouveau sinon une volonté de rapprochement avec les libertaires, nous montre néanmoins une nécessité de sortir des chemins battus, de quitter les ornières en mettant en avant des principes et des modes d’action libertaires.

(1) Daniel Guérin sait être acrobate, présentant par exemple, Nestor Makhno en aimable Robin des Bois et Trotsky en leader révolutionnaire incontestable – in « Ni Dieu ni maître », Paris, 1970, tome III, p. 134 et tome IV pp.5-6 et p.53.

(2) VLR – Vive La Révolution – fut un groupe d’origine maoïste né en 1969 et qui finit par s’auto dissoudre en 1972.

(3) Voir des groupes comme le PCRF – Parti communiste Révolutionnaire de France - dont une des icones est Henri Krasucki, grand résistant, trahissant néanmoins les travailleurs en mai-juin 1968 en négociant secrètement avec un émissaire du gouvernement d’alors, un certain Jacques Chirac…

(4) Voir « Tchôk », Editions Armaguedon, Lutte972 GP6 orange.fr .8 euros, les chapitres sur les luttes sociales en Martinique.

Messages

  • Mouaif - on pourrait effectivement dire que léninistes et anarchistes en sont majoritairement arrivés à un même niveau d’absence critique et de moral-politique ("il n’y a pas de contradiction dans les idéaux sociaux, c’est juste la faute aux méchants si ça tourne pas bien"). L’ont-ils jamais quitté les uns comme les autres, d’ailleurs ?

    N’empêche, c’est dommage - il y avait tout de même de bonnes intuitions. Mais l’époque ne semble pas favoriser l’examen des fondamentaux. Il n’y aurait pourtant rien de plus urgent. Nous sommes en train de nous exterminer avec ces "outils" (qu’on croit !).

  • Voici une extrait de la critique du livre, par Manuel Cervera-Marzal
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/26/a-crise-politique-seule-solution-revolution-254414

    « Dans ce paysage mouvementé de la rentrée politique, un événement risque de passer inaperçu, alors qu’il est pourtant crucial pour le salut de la gauche et, plus encore, pour notre avenir à tous. Je pense à la parution, le 20 août, d’un ouvrage cosigné par Olivier Besancenot et Michael Löwy, intitulé : « Affinités révolutionnaires. Pour une solidarité entre marxistes et libertaires » (éd. Mille et une nuits).

    Le message est parfaitement résumé dans le titre. Pour l’ancien candidat du NPA aux présidentielles et pour son camarade chercheur au CNRS, la question qui compte aujourd’hui à gauche n’est pas : comment mon gouvernement pourrait-il satisfaire encore mieux les exigences du Medef ? Elle n’est pas non plus : comment remporter l’élection présidentielle dans trois ans ? Mais, de manière bien plus féconde : comment les classes populaires peuvent-elles se réapproprier l’exercice de la politique et la gestion de l’économie ? Comment le pouvoir des politiciens peut-il revenir dans les mains des simples citoyens et comment les travailleurs peuvent-ils reconquérir le pouvoir que les financiers ont sur eux ?

    Marxistes et anarchistes main dans la main

    Les auteurs se gardent d’apporter une solution miracle. Simplement indiquent-ils qu’une véritable démocratie politique et sociale ne pourra surgir que d’un soulèvement populaire, c’est-à-dire d’une transformation révolutionnaire de la société, au cours de laquelle marxistes et libertaires, plutôt que de s’entredéchirer, avanceront main dans la main.

    Ce livre ne cherche pas à ressusciter les fantômes de Marx et Bakounine, mais à montrer comment la convergence du marxisme et de l’anarchisme porte en germe la réponse à des défis politiques éminemment actuels.
    •Comment faire la révolution sans s’emparer du pouvoir d’Etat ? Car, l’Histoire l’a montré, ceux qui croient prendre ce pouvoir sont surtout pris par lui.
    •Comment concilier solidarité collective et épanouissement individuel ? De sorte que la lutte contre l’atomisation néolibérale ne conduise pas à un nouvel écrasement des individus par leur communauté d’appartenance.
    •Comment inventer une économie guidée par la satisfaction des besoins sociaux et le respect des équilibres environnementaux plutôt que par la maximisation des profits privés ?
    •Comment remédier au déficit démocratique des régimes politiques représentatifs sans nourrir l’illusion d’un monde débarrassé des conflits politiques ?
    •Comment mener le combat écologique sans en confier les rênes à une clique de technocrates ?

    Telles sont quelques unes des interrogations auxquelles le rapprochement des idées marxistes et anarchistes nous invite à réfléchir.

    Mais en quoi ce rapprochement théorique apporte-t-il de nouvelles réponses aux interrogations susmentionnées ? Sur l’aliénation individuelle, par exemple, l’analyse marxiste enseigne que le système capitaliste fait naître de nouveaux besoins personnels (en termes d’accès à la culture, à la connaissance, aux voyages) que, paradoxalement, il ne peut satisfaire que pour une minorité de privilégiés alors qu’il suscite ces aspirations auprès du plus grand nombre.

    Mais, comme le rappelle le souci anarchiste de la singularité, la solution à cette contradiction n’est pas du côté d’un socialisme formaté pour un troupeau de moutons. L’épanouissement individuel n’est pas plus soluble dans le conformisme généralisé que dans le consumérisme néolibéral. Aussi la lutte pour l’égalité est-elle inséparable de celle pour la diversité.

    Usines argentines et zapatistes mexicains

    Comment sortir de la course au profit sans retomber dans le règne d’une bureaucratie omnipotente ? Autrement dit, comment mettre en œuvre une économie planifiée qui ne cède pas aux tentations autoritaires bien illustrées par la tragique expérience stalinienne ?

    Coincé dans l’alternative entre libre marché et capitalisme d’Etat, le monde contemporain semble n’offrir aucune solution à ce problème. Pourtant, le marxisme libertaire attire notre attention sur des expériences méconnues et occultées, comme les usines argentines autogérées après la crise de 2001 ou encore la riche épopée des zapatistes mexicains. Ces exemples prouvent par la pratique qu’il est possible de concilier le souci marxiste d’une économie organisée rationnellement et le souci anarchiste d’une économie organisée démocratiquement.

    D’aucuns verront dans ce plaidoyer en faveur d’un « marxisme libertaire » une idéologie périmée, une dangereuse soif de vengeance ou, tout simplement, une impossible tentative de réconcilier deux traditions (marxistes et anarchistes) que tout oppose. Les autres, que la mascarade gouvernementale et les arrangements politiciens ont fini par lasser, ouvriront par curiosité ce précieux petit livre dédié à la mémoire du militant antifasciste Clément Méric. Ils y trouveront matière à débattre des meilleures étoiles (rouges et noires ?) susceptibles d’orienter notre lutte pour un monde plus humain. »

  • OUFF
    Un article sans le rappel que les ouvriers auraint du pendre Krasu , cela eut été la preuve d’un lâche abandon de 90 ans de combat contre l’ennmi
    "Les staliniens pourris " qui ont crapuleusement empéché CHE CON-Bandit et ses guerilleros de porter la parole Rrrrévolutionnaire" ..à Billancourt !

    Henri Krasucki, grand résistant, trahissant néanmoins les travailleurs en mai-juin 1968 en négociant secrètement avec un émissaire du gouvernement d’alors, un certain Jacques Chirac…

    Je respire, la chasse aux "stals" encore vivants reste ouverte.

    Tant que l’on n’aura pas deterré Thorez, Krasu, Marchais pour orgnaiser un grand feu anarchiste., la Revolution sera impossible !

    Etpourtant tout observateur vous le confirmera :

    Les AG se multiplient, par milliers, à l’appel de la Grande CNT, pour qu’on se bouge un peu le cul...

    Vu qu’après avoir éliminé les "stals" on passera à la lutte contre..les patrons !

    "Faut il pleurer

    Faut il en rire"

    ..chantait FERRAT..
    Qu’on m’excuse de la grossiéreté con-desendante

    Cette simple note puante en basd e cet ’aricle...me fait transformer ce"papier" par ailleurs fait d’approximations sur le"marxisme" assez rigolotes-..en papier,..heu... comment dire ?

    Pour abréger je mets des initiales :
    En P.Q..

    AC

    pour pas qu’on penser que c’est ton pseudo qui me "braque" je rappelle qu’on peut télécharger le jeu
    RPG Anarchy..

     :)

    ici
    http://mob-core.com/fr/asus-memo-pad-8/android_games/2157-anarchy-rpg.html

    et que ;(je cite)
    L’application est compatible avec l’appareil sélectionné ASUS Memo Pad 8

    • "" Voir des groupes comme le PCRF – Parti communiste Révolutionnaire de France - dont une des icones est Henri Krasucki, grand résistant, trahissant néanmoins les travailleurs en mai-juin 1968 en négociant secrètement avec un émissaire du gouvernement d’alors, un certain Jacques Chirac…""

      Personne n’appelle à pendre Krasu ,grand résistant est il aussi dit.
      c ’est un juste rappel de fait ,que quiconque veut comprendre l’affaissement du pcf doit avoir en tête.
      Doit on toujours taire les critiques ?


    • Taire les"critiques" ?

      Tu es sérieux quand tu dis :
       :)

      "

      Personne n’appelle à pendre Krasu
      u ,

       ?

      Alors que certes on ne v a pas jusquà oser s’en prendre au "jeune Krasu" qui a risqué sa peauu pour que depseudos anarss l’insultent aujourd’hui encore !

      Mais on le calomnie en écrivant


      trahissant
      néanmoins les travailleurs en mai-juin 1968 en négociant secrètement avec un émissaire du gouvernement d’alors, un certain Jacques Chirac

      Il est de notoriété publique que Chirac (armé, avouera-til) rencontra Krasu pour que s’organise Grenelle(1)

      Un sommet qui vit la négociation se concluant par un "constat dediscussions" et non pas un "accord" comme le rabache certains-notamment ceux qui transforment l’expresion "anarchiste allemand" qui vise Con-Bandit dans s l’HUmadu 3 mai en "Juif allemenand" jamis écrit jamais prononcé par Marchais ou un communiste !(2)

      La vérité est toujours révolutionnaire a écrit Trotski..

      Les expressions de"Révolution trahie", " de traitres CGT", il faut laisser ça aux ex gamins en boutons de la bourgeoisie qui confondaient le mouvement profond de mai 68 avec un petit matin du..." Grand Soir",

      Qui"bandaient" de voir quelques vedettes médiatiséesparce qu ’"anticocos") considérées dans quelques secteurs MINORITAIRES de ceux qui ont particpé àcette lUTTE DESZ CLSSES,...comme les nouveaux Marx du vingtièeme et.. siècle, les Lénine du 16°....arrondissement

      Il n’y a qu’en s’extrayant de cette galéjade d’un Mai 68 trahi par Krasu, qu’on peut effectivement porter un regard critique, sans complaisance sur les faits toujours"tétus"

      OUI, la direction du PCF , prisonnière de son "programmatisme unitaire" , passa à côté d’une analyse marxiste sur ce que de contradictoirement positif charriait la colère de lajeunesse

      OUi "nous" avons été de gros cons de couvrir de nos sonos le slogan "Une seule solution la REVOLUTION" par ce mot d’ordre dont nous avons payé le prix.. "Un seul chemin , le Programme commun"

      Henri Krasucki a été le derrnier "grand" dirigeant dont la CGT peut être fière !

      Avant qu’en duo de complicité avec HUE , un Louis Viannet , suivi des Thibault et lePaon, ne fassent , de ce qui fut objectivement -et au sens léniniste du terme" la"courroie de transmission" du PCF, le simple relais des compromissions sociaux démocrates , des actuels locataires de la PLace du Colonel Fabien.

      Cordialement

      A.C

      NB

      J’ai particpé comme certains ici à cet affrontement de classes sans précédent , y compris aux décisions prises en accord complet avec Seguy-Krasu , visant à tenter de faire poursuivre des occupations malgré des cahiers revendicatifs que des patrons avaient paraphé, la trouille aux ventres.

      Nous pensions CONNEMENT que cela conduirait à la phase dite de "démocratie avancée" c’est à dire à la formation de ce qui était devenu le mot d’ordre du PC et de la CGT...la troisième semaine de conflit, "Gouvernement populaire"..

      Certes le drapeau rouge n’ a pas flotté sur l’Elysée..

      Nuus avons fait "avec  :

       " un rapport de forces-K/travail que notre stratégie ne renforçait pas !- ,

       avec des travailleurs décidant AG par AG de la conduite dela lutte

       ,avec un Pouvoir prêt à TOUT pour garder les rênes del’ETAT bourgeois,

       avec une soc dem (Miterrand- Mendès) cherchant une relève du"gaullisme" en alliance avec des secteurs politiciens de droite ,..et une partie de la direction étudiante et cé-èfdétitse, particpant objectivement (Cf CHARLETTY) à cette volonte de mettre hors jeu de toute alternance , laclasse ouvrière et les orgas qu’elles s’était donnée comme les plus représentatives(ô combien) :PCF et CGT.

      Voilà pourquoi, je ne laisse pas passer ce que je considère comme une infamie : Traiter Krasu et àtravers lui mes compagnons de Lutte, de "traitres".
      Et si tu me lis , tu sais que celui qui signe est vomi par les usurpateurs de"communisme" englués dans leur FDG , ou certains des dirigeants de la CGT dele Paon and C°

      Cordialement

      A.C

      Notes

      (1)
      -Un livre sans complaisance sur Henri K., écrit par Christian LANGEOIS
      "Henri Krasucki
      1924-2003"

      -Dans son livre « Le jour ou de Gaulle est parti : 27 avril 1969 » (Nicolas Eybalin Editions), le journaliste et écrivain Guy Konopnicki raconte de façon amusante la rencontre entre Jacques Chirac et Henri Krasucki, numéro 2 de la CGT à l\’époque :

      « Le futur président de la République était arrivé dans un état de fébrilité et d\’angoisse au lieu de rendez-vous, le cabinet d\’un avocat communiste (.). Henri Krasucki avait dû le calmer avant de pouvoir énoncer les bases sur lesquelles la CGT entendait négocier. Chirac faisait des bonds à chaque revendication : revalorisation du Smig, retour aux 40 heures, quatrième semaine de congés payés...Mais ce n\’était rien encore : Henri Krasucki demandait la reconnaissance du syndicat dans toutes les entreprises, le droit de réunion, et le statut de salarié protégé pour les délégués syndicaux. .. Il riait longtemps après en décrivant les tremblements de Chirac

      (2)

      http://www.arte.tv/fr/le-slogan-nous-sommes-tous-des-juifs-allemands/1929636,CmC=1929644.html
      .

      Le 3 mai, Georges Marchais, secrétaire du parti communiste, dénonce dans l’Humanité : "ces groupuscules dirigés par l’anarchiste allemand Cohn-Bendit". Aussitôt, en signe de solidarité avec Cohn-Bendit, les étudiants scandent dans les rues de Paris : "Nous sommes tous des juifs allemands". Plus tard, Cohn-Bendit dira : "Georges Marchais qui m’avait traité d’anarchiste allemand faisait jouer la phobie antiboche : les étudiants à Nanterre ont crié ce qu’il n’avait pas osé dire : "juif allemand"

    • """OUI, la direction du PCF , prisonnière de son "programmatisme unitaire" , passa à côté d’une analyse marxiste sur ce que de contradictoirement positif charriait la colère de lajeunesse

      OUi "nous" avons été de gros cons de couvrir de nos sonos le slogan "Une seule solution la REVOLUTION" par ce mot d’ordre dont nous avons payé le prix.. "Un seul chemin , le Programme commun"
      ""

      oui enfin, merci de la dire franchement,mais cette "erreur" d’analyse conduisit bien en fait et en acte à trahir une possibilté révolutionnaire ,ce ne fut pas seulement une analyse hors sol ,elle eut des repercussions militantes .

    • oui enfin,

      heu..

      Tu débarques ?

       :)
      On n’ a pas attendu les crachats "anarcho-gauchisants", mon ami..

      Un jour avant de mourir..j’espère lire quelques autocritiques de certains "anarchistes"....
      Qui reconnaitront qu’en Espagne violer trois nonnes avant de livrer Madrid à Franco, se draper du drapeau noir pour hurler"CGT-SS" quand trois voyous prétendant que casser rois abris bus en fin de manif, c’était une preuve de certificat"revolutionnaire".se faisaient "fermement" éjecter d’une manif,
      .....,jouer les jusqu’au boutistes du verbe dans une ou deux AG , complètement inaudibles,
      ............................... ;c’était pigeonner les travailleurs. avec masturbation du verbe..!!

      Débat clos.

      A.C

    • ""
      oui enfin,

      heu..

      Tu débarques ?
      ""

      effectivement le enfin est une erreur j’ai oublié de l’enlever,je sais bien que tu es resté très tard au pcf mais que tu en es sorti (mais que tu y étais encore de 81 à 83 )
      Je connais mal l’histoire des anarchistes en Espagne et je ne suis pas anarchiste,je suis communiste et en 68 j’ai bien vécu en immersion total dans le pcf sa politique et quoique jeune et de famille militante pcf,il m’était déjà évident que DES le départ le pcf freinait des 4 fers(ce que j’approuvai à l’époque) PAS une seule réunion de cellule sans que le refus de l’aventurisme gauchiste ne soit dénoncé et cela evidemment avait des répercussions dans les AG .
      SAns jamais une quelconque hypothése plus hardie car toute position était un simple copier/coller des positions de la direction.
      L’évaluation du rapport de force prolétariat/ bourgeoisie n’était pas à ce point aussi défavorable à notre classe comme le répéte depuis des décennies le pcf ;non c ’est d’abord une position politique a prévalu :
      pas d’affrontement total,la solution sera l’union de la gauche ET les élections (au sens large pas celle d’apres juin)Et c ’est pour justifier cette stratégie que la théorie du prolétariat pas prêt a été elaborer pour ruiner toute tentative de sortie plus révolutionnaire.
      Juste en passant je me demande bien si certains,n’oserons JAMAIS faire une tentative de révolution en se servant justement du prétexte du rapport toujours en défaveur du prolétariat.

    • Ce que je reproche à PCF-CGT en mai68, ce n’est pas de n’avoir pas fait "la REVOLUTION"... Leur évaluation du rapport des forces et leur connaissance des aspirations réelles des salariés étaient plus sérieuses que les délires millénaristes des 4 partis maoïstes, des 6 partis trotskystes, des 25 groupuscules anarchistes, des bordiguistes et autres conseillistes, sans oublier les indispensables situationnistes (ouf ! je suis sûr d’avoir oublié 12 ou 13 mouvements...).

      Je reproche par-contre au PCF-CGT d’avoir enfermé les salariés dans les entreprises et de ne pas avoir repris certaines exigences... Par-exemple l’avortement libre et remboursé aurait dû être acquis dès juin68 !

    • "Je reproche par-contre au PCF-CGT d’avoir enfermé les salariés dans les entreprises et de ne pas avoir repris certaines exigences... Par-exemple l’avortement libre et remboursé aurait dû être acquis dès juin68 !"

      C’est le moins qu’on puisse dire car le PCf était contre l’avortement .

    • Ce que ne supportaient pas en mai 68 les gauchistes , les socialistes et ses alliés de la CFDT ; c est que c’étaient la CGT et le PCF qui étaient à la pointe des luttes et avaient une position dominante dans la classe ouvrière et quand ils ont cru qu’il était peut-être possible de prendre le pouvoir ils ont tout fait pour casser la dynamique de l’action et le meeting de CHARLETY est à ce titre très significatif :

      dans son livre " LE MAI DE LA CGT " GEORGES SEGUY raconte qu’ alors que l’unité d’action fonctionnait qu’il avait une nouvelle fois rencontré EUGENE DECAMPS leader de la CFDT pour organiser de nouvelles manifestations de masse et préparer une nouvelle réunion avec le patronat et le pouvoir en position de faiblesse , il a appris que la CFDT ,les socialistes le PSU et les groupuscules gauchistes avaient convoqué une manifestattion commune à CHARLETY d’ou étaient exclus la PCF et la CGT , au cours de cette manifestation l’essentiel des discours consistaient non pas à défendre les revendications ; exprimer des exigences sur les necessaires changement de société mais étaient dirigés contre le PCF et la CGT accusé de trahir les travailleurs , ce qui avait fortement réjouit POMPIDOU qui avait compris que l’anticommunisme venait de sauver son gouvernenemt...

      Le but était de casser l’unité d’action et en cas de vacances du pouvoir d’empêcher le PCF d ’avoir une position dominante , le PCF prisonnier de sa stratégie d’union de la gauche à néanmoins perçu que le risque était la prise du pouvoir par la sociale démocratie ce qui conduirait à l’arrêt du mouvement à un enterrement de première classe des acquis obtenus par la lutte et simultanémént à la mise en place d’un pouvoir encore plus pro-américain et donc plus anti-soviétique que le pouvoir gaulliste .

      Face à cette trahison de la sociale démocratie le PCF et la CGT ont fait de la satisfaction des revendications et la conquête de droits nouveaux leur priorité , repoussant à plus tard la question du pouvoir .

      la trahison de la classe ouvrière contrairement à ce que continue de déclamer ceux qui n ’avaient aucune influence sur elle , n ’était donc pas du côté de la CGT et du PCF , mais comme à chaque fois , du côté de la sociale démocratie dont le rôle historique , dans l’opposition ou au pouvoir est de servir de roue de secours du capitalisme .

      De même il faut afficher un certains mépris pour la classe ouvrière pour continuer d’affirmer que c’est la CGT qui a cassé la grève et ordonné la reprise du travail , comme si les travailleurs étaient des marionnettes qui pour certains après plus de 20 jours de grève se laissaient dicter leur conduite .

      les négociations de GRENELLE ont abouti à un relevé de négociations qui a été soumis au vote des travailleurs dans les entreprises et ces travailleurs se sont largement exprimés en majorité pour la reprise du travail , estimant que ce relevé de négociations reprenait l’essentiel de leurs revendications , ce n ’est qu’après cette consultation démocratique que la CGT et les autres syndicats y compris la CFDT qui avait joué le double jeu ont signé les ACCORDS DE GRENELLE .

      Il n ya donc que ceux qui n’ont pas vécu mai 68 et qui répètent comme des perroquets les mensonges des maoistes recyclés , ou ceux qui ont vu leur manoeuvre pour s’emparer du pouvoir déjouée par la classe ouvrière , qui persistent à accuser la CGT et le PCF de trahison alors que ce sont eux qui ont objectivement maintenu la droite au pouvoir en cassant l’unité par anticommunisme .
      A la réflexion , je me dis que cette énième trahison de la sociale démocratie à peut-être été un moindre mal , car à quoi aurait servi un gouvernement d’union de la gauche , maintenant que nous savons à quoi cela à abouti en 1981 ... MAIS CHUTT on ne va pas tarder à m ’accuser de préférer la droite au pouvoir que la " gauche" ... alors qu’ avec HOLLANDE on voit la différence !!!

    • "la trahison de la classe ouvrière contrairement à ce que continue de déclamer ceux qui n ’avaient aucune influence sur elle , n ’était donc pas du côté de la CGT et du PCF , mais comme à chaque fois , du côté de la sociale démocratie dont le rôle historique , dans l’opposition ou au pouvoir est de servir de roue de secours du capitalisme ."
      il y a eu une différence de degré certes,mais la trahison (ou autre mot mais on comprend mieux avec celui ci) était des deux cotés.

    • "Il n ya donc que ceux qui n’ont pas vécu mai 68 et qui répètent comme des perroquets les mensonges des maoistes recyclés , ou ceux qui ont vu leur manoeuvre pour s’emparer du pouvoir déjouée par la classe ouvrière , qui persistent à accuser la CGT et le PCF de trahison alors que ce sont eux qui ont objectivement maintenu la droite au pouvoir en cassant l’unité par anticommunisme . ""

      FAUX c ’est des militants pcf et cgt avec responsabilité qui ont vécu à fond et totalement mai et juin 1968 ,toutes ces journées a agir et discuter dans les cellules et section du pcf ,qui étaient quasiment en réunion permanente au niveau fédéral qui apres coup et devant la trahison supérieure si on peut dire du pcf en 1981 /83 et 1997/2002 se rendent compte de la continuité de cette trahison en 68.
      OUI des militants obéissants en 68 et qui maintenant admettent que le pcf était sur une ligne réformiste anti révolutionnaire.

    • Tu m’ as mal lu , j’ai écrit que le PCF était prisonnier de sa stratégie de l union de la gauche avec le PS ce qui induit qu’il était sur une ligne réformiste , de ce point de vue on peut estimer que le PCF était dans l’erreur , mais parler de trahison en exonérant ceux qui ont brisé l’unité par anticommunisme et empêcher que le mouvement aille plus loin est une contre vérrité par rapport au contexte , au rapport de force et à la chronologie des évènements , mAis une fois de plus je répète que c’est prendre les travailleurs pour des imbéciles , car ces derniers n ’étaient pas dupes de la partie d’échec qui se jouait entre le PCF d un coté et l’alliance objective , soicaliste , gauchiste , gaulliste pour couper le PCF des travailleurs .

      Tu fais part de tes états de service , très bien et je ne mets pas eb doute ton engagement et ta sincérité , mais à 21 ans j ’étais membre du comité de grève de mon département , j’étais entousiaste et je faisais partie de ceux qui voulait poursuivre l ’action , mais je peux témoigner que ce sont les travailleurs eux-même et pas la CGT ni le PCF qui ont voté l’arrêt des luttes et la reprise du travail . Avec le recul je me rends compte que j’étais un jeune crétin et que ces travailleurs ont fait preuve de sagesse et de lucidité : le réformisme est un ennemi de classe au même titre que la droite il n ’était donc pas question de confier le pouvoir à ceux qui avaient brisé l’unité pour protéger le capitalisme .

      Deux mois plus tard , la gauche était battue à plate couture aux législatives anticipées et la droite obtenait une majorité absolue à l’ assemblée nationale , avec qui les révolutionnaires de salon voulait-ils prendre le pouvoir qui selon eux était à ramasser ?

    •  ?""Deux mois plus tard , la gauche était battue à plate couture aux législatives anticipées et la droite obtenait une majorité absolue à l’ assemblée nationale , avec qui les révolutionnaires de salon voulait-ils prendre le pouvoir qui selon eux était à ramasser ?
      ""

      oui la défaite révolutionnaire a eu comme corollaire la défaite dans les urnes.
      Il y a l’instant ou tout est possible(pas certain hein !!) et passé ce moment il y a recul.
      et se saisir de ce reflux pour justifier à postériori l’echec c ’est ne pas comprndre justement cette irruption très forte et très courte de l’instant révolutionnaire.
      Si personne n’avait crié "à la bastille " le 14 juillet qu’en serait il devenu de la révolution de 1789,car là aussi c’est une infime minorité du peuple de Paris qui s’y rendit !!

    • Il y a l’instant ou tout est possible(pas certain hein !!) et passé ce moment il y a recul.
      et se saisir de ce reflux pour justifier à postériori l’echec c ’est ne pas comprndre justement cette irruption très forte et très courte de l’instant révolutionnaire.

      Je partage tout à fait cette vision.

  • Je vois que mon petit article n’a pas laissé indifférent.
    L’époque est celle de tensions y compris dans le camp des salariés désunis.
    Merci pour toutes vos réactions "constructives".
    Je trouve Besancenot et son petit ouvrage plutôt sympa.

    • Je vois que mon petit article n’a pas laissé indifférent.

      moi je vois surtout qu’après avoir balancé ton révisioniisme de petit bourge que j’ai été un des premiers à cingler, sur la trahison de Krasu, tu t’es bien gardé d’intervenir..!

      je ne peux donc pas te remercier pour taréaction..!

      "Qui ne Némo consent.."

       :)

      Il est vrai que tu dois être tellement révolutionnaire que tu as fait tienne l’expression de mon grandPère

      " A bas la réaction"..

      Salut d’un traitre cégétiste, , gardien de goulag marchaisien, kollabo du K et de ce fait "milicien" du CNPF en 68..

      A.C

    • Je vois que je ne suis pas le seul à le penser et c’est le portrait saisissant d’un réactionnaire :"Salut d’un traitre cégétiste, , gardien de goulag marchaisien, kollabo du K et de ce fait "milicien" du CNPF en 68.."

      A.C

    • tu peux expliquer ?

      si cela signifie qu’effectivement mon auto portait humoristique de vieux stal" correspond à ce que tu penses de mon apport aux débats ici..et ailleurs

      ..ou si effectivementc’est notre ami NEMO qui te semble"réactionnaire"

      Vu ta présentaion de commentaire, on saisit pas.!

      Si c’est la première hypothèse, t’inquiéte surtout pas !

      T’es pas tout seul..

      Des tas de patrons, de socialos, de "dirigeants (?)du P.C(?) F , de bureaucrates de la CGT social démocarisée par les équipes mutantes, quelques ex soixante huitard, re-cons-vertis dans les cabinets ministériels et les canards à la LIbé, une palanquée de mecs de la CFDT, partagent cette opinion..

      Dont effectivement je me contre-branle

       :)

      Vu que lalutte révolutionnaire, contrairement à Facebook, nevise pas à battre le record"amis"..

      Bonne fin de soirée...
       :)

      A.C

      Au fait sur le sujet, t’as une opinion ou tu commentes les commentaires ?

  • Votre article est plutôt documenté mais je ne suis pas sur que l’analyse soit de première qualité . Par contre au vu des réactions suscitées, on comprend mieux dans quelle impasse se trouve la gauche et la gauche de la gauche . Le K ( comme nommé par beaucoup ) n’a vraiment aucun souci à se faire !!! Il a de beaux jours devant lui .

    • transmis au PS,actuel gestionnaire des affaires du K...

      car je partage ton rejet de cette "gauche" de toutes confessions

       :)

      A.C

    • Je n’ai pas lu de "rejet" de la part de François, mais le constat d’une impasse pour la gauche de la gauche, constat que je partage.

      Cette appréciation de "rejet" est symptomatique de son auteur qui a le mérite de faire son autocritique :
      Salut d’un traitre cégétiste, , gardien de goulag marchaisien, kollabo du K et de ce fait "milicien" du CNPF en 68..

      transmis au PS,actuel gestionnaire des affaires du K... au pouvoir grâce aux report de voix de ses rabatteurs officieux habituels qui ne trompent plus grand monde, et c’est tant mieux !

      Pour en revenir au sujet, les affinités entre marxistes et anarchistes, il y en eut par le passé, lors de la Révolution Sociale de 1936-37, en Espagne, avec les brigades du P.O.U.M et de la F.A.I. luttant contre Franco. Mais, comme on sait, celles-ci furent liquidées par les staliniens.

      J’en profite pour enfoncer le clou bien profond et si possible là où ça fait mal, en citant un extrait du tome 3 de La Révolution Inconnue de Voline.
      "[...] Sous Teruel, une brigade "communiste" assurait le front contre Franco, à côté d’une brigade anarchiste de 1500 hommes environ. Afin de permettre l’anéantissement de celle-ci, les "communistes" se replièrent volontairement et secrètement au cours de la nuit. Le lendemain matin, les fascistes se ruèrent dans la brèche et encerclèrent la brigade anarchiste. Sur les 1500 hommes, 500 seulement purent s’échapper, se frayant un passage à la grenade et au revolver. Les 1000 autres combattants furent massacrés. Dès le lendemain, les "communistes" accusèrent les anarchistes d’avoir trahi et d’avoir ouvert le front à Franco."

      Mais bon, les auteurs nous préviennent : D’emblée le lecteur est averti que c’est avant tout ce qui rassemble qui sera mis en avant.
      Vaste chantier les affinités entre marxistes et anarchistes...
      Je vais tâcher de lire cet essai, sait-on jamais ;-)

    • "Je n’ai pas lu de "rejet" de la part de François, mais le constat d’une impasse pour la gauche de la gauche, constat que je partage."

      effectivement la réponse révolutionnaire à la crise n’est que très faiblement défendu par la population,les luttes sont faibles et jamais étendues sauf quelques rares exceptions.
      Cela ne signifie pas que cette réponse n’est pas la bonne,et que ceux qui la proposent se trompent d’analyse.
      de plus il y a bien rejet si on se fie au nombre d’abstentionniste de plus en plus nombreux.
      Nous avons du pain sur la planche mais je ne vois pas d’autre stratégie,et certainement pas une enieme tentative d’"union de la gauche" ou gauche plurielle .
      ça oui c ’est une impasse

    • L’analyse de l’article est-il de "première qualité" ? Evidemment ça se discute mais ça me fait quand même plaisir de susciter le délire et la rage des "rouges-bruns".
      C’est vrai que cela donne un triste tableau de l’extrème-gauche !
      Un article va plus au fond à propos du bouquin (publié par "zones dangereuses") analysant cette extrème-gauche comme la gauche du capital.
      Et je suis plutôt d’accord avec ladite analyse.
      Mais concrètement, sur le terrain, pour défendre notre croûte, on a bien du en passer par le syndicalisme, même si nous savions qu’à un moment donné les directions syndicales nous trahiraient toujours en fin de compte.
      Facile d’être un radical en chambre. Je laisse la morale de la "pureté" et de "l’honnêteté" aux bourgeois.

  • Ouf, règlement de compte à OK corral !!
    Revenons à l’article. Intéressant mais, sectaire. Il se limite aux rapports anar-trotskystes.
    Rien de consistant sur les ML qui, pourtant, font également partie de la grande famille communiste ; non ??
    Il y a encore du chemin à faire pour la construction du nécessaire parti de la révolution.
    La parenthèse est fermée, vous pouvez continuer à vous étriper (je rigole ...).

  • ON va mettre un terme à ces relais d’attaques..

    a 90.*.8.***

    Tu écris :

    Pour en revenir au sujet, les affinités entre marxistes et anarchistes, il y en eut par le passé, lors de la Révolution Sociale de 1936-37, en Espagne, avec les brigades du P.O.U.M et de la F.A.I. luttant contre Franco. Mais, comme on sait, celles-ci furent liquidées par les staliniens.

    Passons sur la FAI,CNT et ce que contient l’expression de communisme libertaire".

    Tu te crois malin de balancer

    J’en profite pour enfoncer le clou bien profond et si possible là où ça fait mal,

    TU aurais du éviter de saisir ce marteau de fossile..pour enfoncer ton clou , vu que tu ajoutes, pour me donner l’occasion de te fesser, ceci :

    Dès le lendemain, les "communistes" accusèrent les anarchistes d’avoir trahi et d’avoir ouvert le front à Franco."

    Ouvrir le front à Franco ?

    Effectivement si ce fut la cas..ce n’était de la part des anars qu’une simple répétition de la façon quej’ai maintes fois rappelée.., dont les braves anars se joignirent aux socilaistes de Csado et à quelques fripouilles espérant sauver leur peau, qui offrirent au franquistes les"clés" de MADRID..
    Afin que, malgré l’héroïque résistance deprès de 2000 militants la plupartduPCE, massacrés parles fascistes, la ville héroîque tombe aux mains desbarbares..

    le 8 février 2003 notamment, j’ai signé un long rappel de cette affaire qu’on n’apprend pasdans les manuels "anars "(?),anticommunistes.

    https://bellaciao.org/fr/spip.php?article133173

    Cipriano Méra toujours calomnié 73 ans après...
    3 février 2013 - 12h40 - Posté par A.C

    Pas plus que dans ceux du POUM..on ne se vante de dire que Trotski avait condamné ce parti et lui avait intimé l’ordre denepas se référer au"trotskisme" !!

     Pas plus que les écoles du PC n’apprenaient que Staline avait décidé de faire la peau aux éléments (anars et poumistes notamment) qu’il considérait à la fois comme "irresponsables" (certains l’ont été) mais surtout porteurs d’une stratégie révolutionnaire contraire à celle de la 3° Internationale, et mettant en "danger" ce que Staline entendait maintenircomme statu quo "social" au sein de l’Europe..

    Ceci dit et vu le niveau..concluons :

    UN :

    -Je te laisse , toi, et d’autres àvos attaques ad hominem me concernant..

    Aquitain ,je te renvoie à ce Cyrano de Bergerac balançait à certains, puisque mon humour autocritique vous est totalement inaccessible..

    Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
    Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
    Me servir toutes ces folles plaisanteries,
    Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
    De la moitié du commencement d’une, car
    Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
    Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve
    .

     :)
    Surtout quand cen’est m^me pas un brin "finot"..

    -
    DEUX/

     Tous ceux qui viennet nous gonfler avec leur "gauche," leur"gauche de la gauche" leur"gauche qui vire à droite" leur"rassemblement detoute la gauche" etc etc..,
    ................. j’ai décidé que leur causer use inutilement mon clavier..

    Qu’ils fassent trempette dans leur petites baignoires, qu’ils se rencontrent, pondent du comunniqué , ou qu’ils partouzent ensemble , ceux qui sont sous le feu du K n’en ont rien à cirer !

    TROIS :

    juste un petit mot pour Pierre P qui"rigole"

    Non, Camarade on ne s’étripe pas.!

    Je ne passerai à cette extrémité que lorsqu’en face demoi j’aurai des types qui ONT des TRIPES..de classe

    Pas simplement des roquets antiPC, pas des révisionnistes del’ histoire complexe et contradictoire du mouvement ouvrier

    Pas des pantins à qui je dis "ciao" ..pour paraphraser le film qui valut un Cesar à Coluche.

    CONCLUSION ET FIN :...puisqu’en fait ce papier ne sert qu’à vérifier quelques"affinités" entre anticommunistes..

    J’’ai compris depuis longtemps que certains n’ont rien à foutre de l’Histoire , du débat fut il sans concessions, qui aide à comprendre le passé, pour analyser le présent etconstruire le FUTUR.

    Avec des vieux flingues des années1900-1950, et pour cetains leurs cheveux blancs de septua ,octo ,voire nonagénaires, (c’est à dire comme moi, des"vieux ") ils partent à la chasse ux "cocos" comme d’autres traquent le faisan..

    Ces échanges avec certains à partir de cet article , ceux avec un ou deux rigolos qui refont le mai 68 de leurs fantasmes, trop de mails anonymes d’insultes, me font penser qu’effectivement, lavie es trop courte pour perdre du temps avec ceux qui confondent le "Communisme "et la" masturbation anti-PC""..
    Je prends acte, sans parano,pour ce que sera mon passage ici,depuis 2011 que des garçons comme par exemple, Nocturne ou Richard sont moins "repoussoirs" que ma pomme ! Moins "chiants" .Ils défendent un point devue que je partage et sont engagés avec moi et tant d’autres dans l’aventure exhaltante que porte l’Appel "(RE) Construire

    Puisqu’il parait que c’est ma grande gueuele qui fait"fuir", place aux silencieux pour qu’ils viennent enrichir le débat.

    Nous sommes fort heureusement plusieurs milliers hors de ces inutiles joutes qui entendons mouiller le maillot autrement qu’avec les petits crachats de petits d’obsédés , tristes à en crever.

    FERRAT, notre Jeannot , a vu juste !

    C’est un autre avenir qu’il faut qu’on réinvente
    Sans idole ou modèle pas à pas humblement
    Sans vérité tracée sans lendemains qui chantent
    Un bonheur inventé définitivement
    Un avenir naissant d’un peu moins de souffrance
    Avec nos yeux ouverts et grands sur le réel
    Un avenir conduit par notre vigilance
    Envers tous les pouvoirs de la terre et du ciel

    Au nom de l’idéal qui nous faisait combattre
    Et qui nous pousse encore à nous battre aujourd’hui

    Quand c’est à pas de géants qu’il faudrait s’atteler à la Marche vers le BONHEUR, les crocs en jambes des nains sont à éviter ..sans y accorder la moindre importance.

    Sur ce , RTT chancognarde

     :)

    et à bientôt.

    Sans rancune mais un peu de"fatigue" à avoir à répéter des"faits tétus"...
     :)

    A.C
    Sans que ce soit pour faire de la pub, je pense que la seule chose que devrait m’emprunter certains c’est la citation de Gramsci qui accompagne mes "papiers" sur mon Bistro Forum

    http://nepasbaisserlesbras.forumactif.com/forum

    "Il faut avoir une parfaite conscience de ses propres limites, surtout si on veut les élargir.

    Pour ceux qui, par ailleurs veulent échanger sans attaques, et sans avoir besoin de courir sur gmail ou la poste.net pour se cacher dans les mails à insultes, mon adresse mail est connue et figure sur X appels

    alainchancogne@aol.com

  • Demande expresse d’explication au contributeur NEMO3637

    Monsieur,

    (car je ne sais pas encore si vous méritez le nom de"Camarade" et seule votre réponse me le dira)

    Votre article adonné lieu à certains échanges qui souvent(et je ne nie pas ma responsabilité) ont tourné à l’affrontement relativement"violent"


    je dis "relativement car qui a lu certaines correspondances entre Rosa L et Lenine, Trotski et quelquesun deses camarades ..trouvera nos paroles un brin" bisounours"

    Vous osez, sans aucune précision quant à votre jugement sur les intervenats, sans le début d’une citation de l’un d’entre nous, écrire

    ES AFFINITES ENTRE MARXISTES ET LIBERTAIRES
    7 octobre 2014 - 23h18 - Posté par Nemo3637 - 109.***.23.***
    L’analyse de l’article est-il de "première qualité" ? Evidemment ça se discute mais ça me fait quand même plaisir de susciter le délire et la rage des "rouges-bruns".

    De deux choses l’une :

     Ou vous ignioriez hier à 23h 18 que vous insultiez de façon GRÂVE, l’un ou plusieurs d’entre nous
    Dans ce cas vous allez vous en excuser, personne n’est censé connaitre le poids des mots..

    Soit vous allez très vite étayer votre accusation INSUPPORTABLE sur ce site militant.

    A vous lire, Monsieur

    A.C
    qui ne supporte aucune saloperie qui le viserait( ce qui serait devotre part un sujet de rigolade) ou qui vise ceux avec lesquels je débats, même quand c’est sans "prendre de gants"

    Pour en rester à une définition de ROUGE-BRUN je livre celle cide Wikipedia

    Le terme rouge-brun désigne une personne, ou une mouvance politique, susceptible de prôner des valeurs hybrides résultant d’un mélange entre celles de l’extrême-droite nationaliste (le brun) et l’extrême-gauche communiste (le rouge).

    .
    Ce terme est employé souvent pour dénoncer des alliances entre plusieurs mouvances qui auraient a-priori tendance à s’opposer.
    Exemples[
    Alain Soral, Dieudonné et Serge Ayoub selon Frédéric Haziza 1
    Robert Ménard
    Farida Belghoul

    Lequel, lesquels d’entre nous ,visez vous ?

    Contributeurs par ordre d’entrée en "scène

    l

    ouis - 186.*.88.***
    jean 1 - 81.***.132.**
    A.C - 84.***.158.**
    82.***.133.***

    82.***.89.**
    quelqu’un quelque part - 2.*.15.**
    84.**.232.***
    PL35 - 92.**.16.***
    RICHARD PALAO - 86.***.179.**

    NOCTURNE - 88.***.196.***

    90.**.141.***

    francois - 84.**.142.***

    90.*.8.***

    PierreP - 109.**.232.*

    • De toute évidence aucun intervenant n’a développé des idées "rouge-brun" sur ce fil. Ce terme n’a rien à faire ici.

      De même que je ne suis pas (complètement) con alors que tu m’as récemment traité de con (à propos de la définition et de l’utilisation du terme prolétaire... dans le transport aérien ; il y avait eu incompréhension).

      Il est vrai que très (trop) souvent le débat dérape, et c’est un travers extrêmement partagé ici ;-)

      Moi-même j’ai eu donné, dans le dérapage, mais la trouille m’a saisi en voyant la désintégration de la pensée progressiste et la branlée qu’on se prend face au capital, et maintenant je trouve que ces comportements, cette incapacité à débattre avec vigueur mais respect, sont totalement suicidaires dans la situation actuelle.

    • Sans en rajouter une louche

      tu écris :

      il y avait eu incompréhension).

      Il est vrai que très (trop) souvent le débat dérape, et c’est un travers extrêmement partagé ici ;-)

      Exact.

      Sauf que le quiproquo qui m’avait conduit à t’insulter étant levé, je me suis excusé.

      Le net conduit forcèmentà ce type de risque , surtout quand des mecs comme moi adorent (je l’avoue) en "méditerannéen , "pimenter les plats".....T’as pas la personne en face de toi, c’est du "virtuel" , on peut passer de la facilité du"’bon mot"au "gros mot"

      A Bordeaux, presqu’autant qu’ à TOULOUSE,on est en phase avec le regretté Nougaro qui chantait

      Ici, si tu cognes, tu cagnes
      Ici, même les mémés aiment la castagne

      O moun païs, ô Toulouse

      Un torrent de cailloux roule dans ton accent
      Ta violence bouillone jusque dans tes violettes
      On se traite de con à peine qu’on se traite

       :)

      Mais entre dire à quelqu’un "tu me gonfles avec tes conneries, relis Marx plutôt que de regarder "le bonheur est dans le pré"..et traiter de facho (car les rouges-bruns sont des fachos pour moi) des commentateurs d’un article, il y a une putain de sacré marge !

      Moi-même j’ai eu donné, dans le dérapage, mais la trouille m’a saisi en voyant la désintégration de la pensée progressiste et la branlée qu’on se prend face au capital, et maintenant je trouve que ces comportements, cette incapacité à débattre avec vigueur mais respect, sont totalement suicidaires dans la situation actuelle.

      Je tire une autre conclusion que j’exposerai demain à tête reposée, en prenant le temps aujpourd’hui de "préparer" sur Word mon article

      (Chose que je ne fais jamais vu que je "cause" sur le net comme je parle dans la "vrai vie"-y compris avec mes très proches- : en préférant le risque de "clash" que la retenue pour ne pas"froisser"....voire le haussement d’épaules à la place de la baffe en retour de la beigne)

      Ton commentaire m’y incite, et certains avis de camarades me font réfléchir(ce qui ne sera pas compris de ceux qui me croient insensibles aux sincères critiques)

      Il ya lieu d’essayer de mieux chercher à comprendre...le pourquoi de cette varifiable détérioration généralisée sur le NET, de ce qui pourrait être un lien d’en commun" de la pensée communiste (au sens marxiste du terme, sans référence bien sur à ce que certains font de cette qualification)

      S’en tenir aux dérapages, aux "violences" de ton, voire à cibler X ou Y pour son "style- repoussoir" (oui, je sais que certains fins"limiers" ont"logé" les responsables, comme on dit chezles flics)
       :)
      ..............afin d’expliquer pourquoi B.C n’échappe pas à une objective désaffection des"forums" , serait, je pense , passer à côté d’une question de FOND plus importante :

      " POUVONS NOUS ENCORE dépasser nos passés, échanger sans coups de"rétroviseurs" , nous faire"violence "pour briser la violence !

      San vouloir être"grandiloquent",... penser à la façon dont nos enfants nous jugeront..

      Quand ils apprendront qu’en 2014, du’un côté de la barricade(qui n’en a que deux,) quelques"anciens combattants" des guerres fratricides, fatiguaient leurs doigts plein d’arthrose à refaire le procès de Trotski, voire de Staline , en en restant à la "colorisation" du vieux film, plutôt qu’à travaillersur l’ADN de cette tragédie !.

      .Alors qu’en "face" on fonçait vers eux, nos"petits", nos"minots", pour les embarquer vers la Barbarie !

      Quitte à trop "personnaliser" mon propos, , je pense aussi que l’échange -s’il a lieu-évitera que certains s’imaginent des ruptures d’amitié et de respect avec tel ou tel, du fait que je choisisse désormais d’autres formes de"communication" avec la "force comunniste éclatée etdivisée" etque donc, pourne pas trop me "disperser" dans ce que j’entreprends, je ne "commente "plus ici,et que je n’avance pas non plus mes idées personnelles.

      Sauf dans ce dernier article demain.


      Sans pour cela "boycotter" B.C, sans me priver de sa lecture quotidienne.

      Mais en me contentant à relayer un texte, une info de lutte, qui me sera transmise et que je penserai utile d’êtres connues des militants , pour s’unir, lutter et GAGNER !

      Cordialement

      A.C

    • """ POUVONS NOUS ENCORE dépasser nos passés, échanger sans coups de"rétroviseurs" , nous faire"violence "pour briser la violence !""

      ce n’est pas seulement le passé distant de 50 ou 60 ans,et ce n’est pas que des différences d’opinions,ce fut aussi des actes horribles ,programmés,et executés froidement d’un coté et de l’autre.
      C’est aussi le passé recent et ce qu’il impliqua d’actes réels et concrets qui sont pour moi aussi insupportables et que je ne pardonne pas.
      je veux parler de tous ceux qui approuvèrent une participation communiste dans un gouvernement qui bloque les salaires ,qui augmenta la chomage en 81/83 et qui remirent ça entre 97 et 2002 ,politique qui poussera des milliers de gens dans la misére !
      je ne supporte pas ces militants défendant et restant dans un parti qui est de fait un ennemi car ménageant le capital ,pire qui a accru sa puissance de destruction
      de nos acquis.
      chercher à s’allier avec un tel parti , et je dis quoi aux retraités qui font les poubelles ? aux jeunes qui ne peuvent pas se soigner ? etc ???
      ha oubliez ces 5 années,on le refera plus c ’est juré,Sarton l’affirme ,lui qui finançait ceux qui vous ont poussé dans cette misére.
      alors oui oublier le passé ce sera dur et surtout le passé récent.

    • Je reviens de congés et je reprends donc le fil de ces échanges "musclés" , ce qui ne me dérange pas , par contre il y une insulte d un courageux qui utilise un pseudo pour qualifier certains intervenants de ROUGE BRUN , alors , de deux choses l’une ou NEMO connait personnellement certains intervenants et il doit préciser à qui il s’adresse ou son insulte est collective et dans ce cas je me sens visé puisque j ai participé au débat .

      Comme mon camarade AC j ’exige des excuses , car me faire passer pour un facho est inqualifiable , sur BC je me suis fais traiter successivement dans le désordre et contradictoirement , de stalinien de gauchistes , d ’anarchistes , etc et celà ne me fait ni chaud ni froid... mais je n ’admets pas que l’on remette en cause gratuitement par pure méchanceté ce qui est le sens de toute ma vie : le combat CONTRE LE FASCISME quelque soit sa couleur , rouge ; brune ou verte , et cet engagement je le dois à mon pére , combattant de la république espagnole dès l’âge de 18 ans puis engagé volontaire dans l’armée française et enfin résistant . Mon père était anarchiste et membre de la CNT son frère était communiste et commissaire politique , j ’ ai souvent discuter avec eux des dissensions entre les communistes et les anarchistes , et tous deux convenaient que les torts étaient partagés , que la vérité qui est toujours révolutionnaire n ’était pas dans un seul camp ...

      Lorsque l’on me traite de rouge brun , ce n ’est donc pas seulement ma personne que l’on m’insulte mas tous ceux qui m’ont éduqué politiquement , mon père , mes oncles , mon ami JACQUES DARQ , déporté à 17 ans à MATHAUSEN , mon camarade MARCEL FILLATRE , qui m’ a pris sous son aile lorsque j ai été embauché à la SECU et tous ceux dont j ai suivi le chemin des luttes contre le racisme , la xénophobie et pour la défense des libertés ...
      Alors NEMO j attends tes excuses , si elles ne viennent pas je serais contraint de constater que tu n ’es qu"une crapule et un lâche anonyme qui a de la chance de ne pas être devant moi , car j ’ai peut-être 67 balais mais je ne suis pas manchot et jamais je ne me laisserais traiter de facho quelqu’en soient les conséquences .

    • Qui se sent visé par le terme "rouges-bruns" ?
      Pour moi, dont une partie de ma famille a subi dans l’ex-Urss le régime stalinien, les partisans d’un tel système méritent bien ce qualificatif.
      Et donc aucune excuse à présenter à des falsificateurs patentés qui ont été depuis longtemps démasqués.
      Quant au prétendu courage - ou plutôt la lâcheté - qu’il y aurait à signer ou à ne pas signer d’un pseudo ses articles je vous laisse devant vos idoles Trotski ou Staline dont vous connaissez les vrais noms.

    • T’es vraiment un dégonflé, un troll bobo,

      Tu as écrit

      S AFFINITES ENTRE MARXISTES ET LIBERTAIRES
      7 octobre 2014 - 23h18 - Posté par Nemo3637 - 109.***.23.***
      L’analyse de l’article est-il de "première qualité" ? Evidemment ça se discute mais ça me fait quand même plaisir de susciter le délire et la rage des "rouges-bruns".


      Je t’ai demandé lequel d’entre nous tu visais ainsi..

      Tevoilà emmerdé..!!

      Tu jouesàla vierge outragée, tu tombes des nues !

      Qui se sent visé par le terme "rouges-bruns" ?

      NOUS TOUS , puisque t’as pas les c..es de répondre à ma question !!

      Mais tu te démasques, il était temps..

      Je vous laisse devant vos idoles Trotski ou Staline dont vous connaissez les vrais noms(...)

      J’ai compris....
      C’était pas la peine de nous préciser

      Pour moi, dont une partie de ma famille a subi dans l’ex-Urss le régime stalinien, les partisans d’un tel système méritent bien ce qualificatif. E

      On a pigé, rigolo !

      T’es un arrière petit fils de la vermine tsariste, tes aieux Russes blancs ont fui la Terreur rouge née de la Révolution d’Octobre ?

       :)

      Tu aurais du ^tre rassuré depuis 91...

      Mais t’as les jetons ?

      T’a appris que , malgré la fin de l’URSS, la Russie était terre maudite pour les Patrons ?

      Calme toi, c’est juste un jet privé et le PDG de chez Total..

      "Nous" ne sommes pas prêts de revenir manger les petis enfants, commel’a révélé ton journal, le FIGARO, dans les années 20..

      Bonne fin de soirée
      c’est l’heure de ta douche..

      Avale 50 gouttes de MOINCON500... et deux Xanax, recouche toi et dis à l’infirmière qui vous borde dans ton HP.ou tu as obtenu unnlégitime"droit..d’asile"....de te lire encore deux trois pages du Grand BHL, extraites de son fameux"La Barbarie à visage humain"

       :)

      A.C