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figures africaines

par hdm

Publie le lundi 22 décembre 2014 par hdm - Open-Publishing

CES MERCREDIS 24 ET 31 DECEMBRE 2014

A 18H30

C’EST « L’HEURE DE L’METTRE »

Sur RADIO CAMPUS Lille 106,6

En direct et en archives sur www.campuslille.com

Désolés. On est désolés, mais dans la situation où nous sommes, pas question de festoyer. On réveillonnera le jour du grand réveil. On repousse le champ’ au grand soir, les petits fours au grand jour.

Dans l’état où se termine cette année, on peut pas la laisser livrée à elle-même. Aux commandes de notre studio, nous tenons ferme. Vous pouvez débrancher, vous oublier, faire bombance, chanter, rire et danser, nous, on tient bon. Le cap.

Le sentimentalisme de fin de cycle, les bonnes résolutions des recommencements, on s’assoit dessus ! Et que je te souhaite une bonne guerre, et une joyeuse crise, très peu pour nous !

Alors que d’aucuns, nombreux, se livreront à des agapes incongrues, nous surveillerons nos niveaux, nous réglerons nos volumes, nous calerons nos morceaux, nous veillerons à nos fondus. Nous ferons de la radio.

Ne nous plaignez pas, non. Ne nous admirez pas. Enfin pas trop. Si nous nous sacrifions ainsi, ce n’est pas pour vous. Non, ça, on s’en fout. A fond.

Si nous serons présents sur antenne ces mercredis, c’est tout simplement parce que ce sera l’heure de l’mettre. Et que c’est une raison qui dépasse toutes les autres. Vous ne comprenez pas ? On sait…

Pour fêter ça, nous diffuserons deux documents : le premier, c’est la conférence donnée par Saïd Bouamama, le 22 février 2014, à la librairie Résistance (Paris), à propos de son dernier ouvrage : Figures de la Révolution Africaine. Un livre qui démontre qu’on a toujours su, par une lutte organisée, modifier le cours des choses, y compris en Afrique.

Le second document, c’est l’enregistrement, mis en forme par nous, de Françafrique, la Famille recomposée animée par Thomas Noirot et Thomas Deltombe, le 15 octobre dernier à Lille (à l’invitation des Amis du Monde Diplomatique).

C’est bon. Pour maintenant, vous nous direz merci en 2015. Bon reste, comme on dit chez nous. Pfff…