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Sur le principe aujourd’hui de la liberté de la presse

par Ocséna, contre le système-ENA

Publie le vendredi 9 janvier 2015 par Ocséna, contre le système-ENA - Open-Publishing

Zaz – 166, Sur le principe aujourd’hui de la liberté de la presse

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La liberté de la presse est certainement partagée beaucoup en deux entre un “sacré-sacré de principe” et une réalité-réalité banale, triviale ou tragique. .

Il est peu de dire que nous sommes actuellement dans l’émotion en France pour les raisons que vous savez, il est peu de dire qu’on entend du coup partout et sans compter affirmation et réaffirmation de la liberté d’expression.

En tant que citoyen, notons que celle-ci nous est garantie déjà individuellement parlant, en tant qu’étendue collectivement à la presse et aux médias (qui supposément de facto nous “représentent”), elle est même garantie un poil de plus sérieusement du fait qu’elle est en soi bien évidemment perçue comme institution institutionnellement essentielle à notre système politique défini en gros comme démocratique.

Il est commun d’entendre “par le moment qui court” un peu facilement que la liberté d’expression doit être totale et absolue. Cela est immédiatement interrogatif.

Car ce qui est garanti bien sûr c’est le dû principe, la validité, la rationalité de la raison principielle.

La raison principielle clairement posée comme nous venons de le rappeler, arrive tout de suite après (par la force des choses) la question bêtement pratique des applications à quoi il est difficile d’échapper,à savoir champ, limites éventuelles, car on ne connaît guère de principe sans bornes et trivialement sans décret d’application.

De la raison pratique parlons au plus simple. Pour parler à ce titre du plus simple, personne n’ignore qu’un principe rencontre en société trois limites incontournables au moins : la limite juridique, la morale et la concrète bien réelle.

Vous êtes libres d’expression sous réserve de ne pas être criminel, injurieux, diffamatoire, etc. etc. Bref de ne pas marcher sur la loi et sa sagesse.

Vous être libres d’expression, sous réserve peut-être moins féroce et rigoureuse mais pas simple de ne pas être clairement contraire à la raison et au sentiment moral (ce matin Le Point réagissez à des expressions libres d’internautes qui paraissaient odieuses et à exclure des blogs).

Vous êtres libres d’expression enfin bien sûr sous réserve de toutes les criminalités existantes qui en jugent autrement et vous réservent de façon meurtrière éventuelle pour vous ou pour d’autres un chien de leur chienne vachard ou carrément abominable.

Cela étant dit nous allons examiner à présent, si vous le permettez, le cas peut être plus spécifique de la liberté d’expression humoristique.

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Les très inoxydables philosophes de l’Ocséna et Alain Serge Clary vous saluent bien, Best Regards

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Ocséna