L’axe de la droite professionnelle

Bonjour, ici jean-yves, journaliste amateur. ce n’est pas un article informatif, juste une série d’impressions.

En ce moment en France.

les débats en ce moment concernent des gens de droite qui parlent aux gens de droite.
Il faut a nouveau allumer sa télé et lire les journaux : partout on parle de débat, alors que le débat n’a lieu dans les médias accessibles au plus grand nombre qu’à des personnes liées au pouvoir de droite.

Cette affirmation peut eventuellemet être contredite par ceux qui s’affirment n’être ni de droite ni de gauche, mais dans les faits on entend des choses de plus en plus consternantes.

Mon obsession anti-sarko n’est pas un débat : c’est la description d’une situation actuelle.

les amateurs maladroits qui tentent sans espoir d’expliquer que le peuple c’est pas LE PEN ni SARKO ni ROYALE ne pourront que buter contre un mur d’incompréhension.

La haine anti-sécuritaire, n’est ni de droite ni de gauche, c’est sans appel.
mais la preuve que la gauche est toujours du mauvais côté selon la droite n’est plus à faire.

Le terme "révolution" n’appartient à personne.
surtout pas à des commentateurs de droite qui viennent en discuter sur des chaines cablées.

La rue qui gouverne, c’est un discours de gauche, car l’insurrection c’est un concept de gauche.
l’ordre, la discipline, la stabilité, l’identité, l’origine ce sont des thèmes de droite.
des thèmes de pouvoir.

Qui a dit que le pouvoir était maudit ?

Considérer que c’est napoléonien d’aimer sarkosy est une idée juste.

Aimer l’ordre, l’autorité, la sécurité, la stabilité, c’est exactement le concept de révolution nationale.

c’est le contraire de la gauche.

insurrections incompréhensibles ou expliquées par l’origine ethnique de ceux qui sont nommés comme des fauteurs de trouble, c’est fondamentalement de droite.

la gauche, c’est plus complexe car c’est pas hierarchisé.
c’est informel, cela rend perplexe ceux qui veulent expliquer l’avenir.

La gauche, c’est toujours des amateurs, mais pationnés et maladroits, et fautifs et toujours coupables à priori.
La gauche, c’est nous, c’est le contraire d’un homme providentiel.

le "vécu" , le "quotidien", est utilé sans aucune pitié par des candidats au pouvoir qui tentent de nous faire croire une nouvelle fois à cette éternelle légende : un sauveur arrive.

Mais la réalité est bornée et resistante : résultat la droite devient violente, et la gauche devient triste.

Elle voulait la liberté, elle a eu le libéralisme.

Elle voulait l’unité, elle a des discours concernant l’unité, et plein de bonnes intention.

Elle voulait l’harmonie, elle reçoit dans son visage le commerce mondial.

Elle voulait l’égalité, elle prend dans son ventre la grande distribution

Elle voulait la fraternité, elle entend des ricanements de personnes importantes.

Pour finir , au niveau du "vécu" :
Quand on entend que la rame est stoppée en raison d’un "incident voyageur" , est-ce qu’on est de gauche si on a plus envie de pleurer que de s’énerver ? . Encore un débat.
Pour moi, gauche , je pleure et hurle , car se jeter sous une rame de RER, c’est trop triste.
c’est définitif et inexplicable, c’est du quotidien gris.
Ceux qui ne pensent qu’à l’heure à laquelle ils vont arriver, ils ne provoquent aucune enervation chez toi ?
Obligé d’être insensible, mais obligé d’entendre des voix calme au sujet des incidents voyageurs.
rester calme ?
c’est la raison pour laquelle je suis un enervé de gauche.
Hurlement solitaire mais solidaire, c’est ridicule mais il n’y a pas le choix pour moi.

voilà, fini, c’était un article "people". Intuition personnelle.
une union de gauche, c’est pour quand, SVP ???

JYD.