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La violence à l’ecole

Publie le vendredi 26 mai 2006 par Open-Publishing
4 commentaires

Messages

  • NUL , MINABLE , IMBECILE , BON A RIEN ,
    Ces mots datent d’un temps que les moins de quarante ans ne peuvent pas connaitre , aujourd’hui ce serait trop traumatisant pour tous les petits loupiots !
    Les angelots de nos cours d’ecole traitent plutot leurs enseignantes de petasses ou de salopes !
    mais c’est de la faute de l’ecole , puisque tout est de la faute de l’ecole !
    Et gare au maitre qui mettrait un petit agité au coin , la famille vengeresse demanderait réparation sur le champs !
    Traité de""NUL , MINABLE , IMBECILE , BON A RIEN ,"" et toujours vivant ,

    Claude de Toulouse .

    • Absolument d’accord avec Claude de Toulouse !

      Ce dessin et ce texte, qui se veulent subservifs, sont aujourd’hui, un outil de propagande pour dénigrer le service public. Aujourd’hui, ce sont bien les personnels de l’Education Nationale qui sont insultés et agressés par des élèves et non le contraire.

      Un exemple :

      Après avoir été exclu de son collège, un élève s’est introduit dans son établissement et a agressé un surveillant, en lui prodiguant force crachats.

       Plusieurs départs d’incendies ont également été relevés.

      LES ENSEIGNANTS ONT FAIT VALOIR LEUR DROIT DE RETRAIT

      Observation d’un Pédagogue d’Etat :

      L’apprenant a manifestement sa place au collège : son insistance a revenir sur son lieu de vie prouve à l’évidence son refus de son exclusion, violente et illégitime.

      La solution réside dans la guidance de son projet personnalisé, dans le cadre du projet d’établissement :
      Mise en place d’un tutorat par un agent de la Protection Civile afin que l’élève prenne conscience qu’ une salve de crachats, même nourrie, reste insuffisante face à un départ d’incendie

      Source : La dépèche du Midi 25 mai 2006

    • D’ailleurs le dessin lui-même évoque l’école des années 1950.

      le monde a changé..."Chimulus" ne s’en est pas rendu compte.

    • D’accord avec claude de Toulouse. La réalité VECUE, pas celle fantasmée, est qu’aujourd’hui, au mieux les enseignants marchent sur de oeufs, au pire sont morts de trouille ou dépressifs. J’en connais plusieurs qui vont probablement démissionner bientôt...