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Francis PARNY : BATTONS SARKOZY

Publie le vendredi 27 avril 2007 par Open-Publishing
12 commentaires

Une déclaration de Francis Parny, Vice Président du Conseil Régional d’Ile de France

"Dimanche 6 Mai, je voterai Ségolène Royal pour battre Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy est dangereux. Depuis 5 ans, avec les gouvernements Raffarin et De Villepin la précarité de l’emploi c’est lui, les privatisations c’est lui, les attaques constantes contre les services publics c’est lui, le démantèlement de la protection sociale c’est lui, le renforcement des inégalités dans l’éducation c’est lui.

Les lois qu’il a fait voter privilégient la répression et les expulsions inhumaines, y compris d’enfants scolarisés.

Au pouvoir, il aggraverait encore cette politique. Son projet c’est celui du Medef. Les dirigeants ultralibéraux de l’Union européenne attendent son élection pour renforcer la mise en concurrence "libre et non faussée" des travailleurs et des peuples.

Il représente une droite "décomplexée" qui n’hésite plus à emprunter ses thèmes à Le Pen.

Au delà de son programme, son projet s’appuie sur des valeurs inacceptables : sa proposition d’un ministère de l’immigration fait penser à la politique de Vichy pendant la guerre, sa foi dans un déterminisme des personnes par leurs gènes aussi.

Pour battre Nicolas Sarkozy j’appelle à voter pour Ségolène Royal tout en étant lucide sur les ambiguïtés de son programme et de sa campagne. Les communistes ne soutiennent pas son pacte présidentiel, mais ils savent reconnaître leur gauche de leur droite.

J’appelle toutes les électrices et tous les électeurs de gauche, quel que soit leur vote du premier tour à voter Ségolène Royal et à faire connaître leurs exigences d’engagements clairs à gauche.

Les élections Législatives qui suivront seront l’occasion d’un nouveau débat avec vous toutes et vous tous sur le contenu d’une politique véritablement à gauche permettant de résoudre les problèmes auxquels sont confrontés nos concitoyennes, nos concitoyens et notre pays.

En attendant, tous unis pour battre Sarkozy."

Messages

  • Que faire au deuxième tour ?
    Tout d’abord, ne pas voter Sarkozy est essentiel : c’est un individu dangereux, qui drague les suffrages lepénistes, qui nous fait plonger dans une formidable régression sociale. Là, les choses sont très claires.

    Mais voter Royal, est-ce vraiment un moindre mal ? Pas si sûr…

    Son programme, qui n’est pas vraiment à gauche, va encore se droitiser avec son ouverture au « centre » qui n’est ni de gauche, ni … de gauche, et faire perdre de nouvelles voix à la gauche qui n’avait pas besoin de cela !
    Elle a soutenu le projet de traité libéral européen, elle veut arrêter le programme EPR dont nous avons besoin, elle navigue à vue au gré des sondages, elle nous entraîne dans le camp des perdants. Elle n’est pas « moins pire » (sic) comme dit Marie-George, mais elle est pire d’une autre façon, plus sournoise, mais aussi efficace que la droite classique.

    Mais surtout, ce qui est grave, elle pérennise la notion de vote utile qui nous a fait, et nous fait encore, tant de mal : à quoi bon être nous-mêmes, si nous apportons automatiquement au PS nos voix, que ce soit au premier ou au deuxième tour ?
    Nos électeurs vont au plus court, on ne saurait le leur reprocher. Quant aux militants, beaucoup voteront Ségo par devoir, ce qui n’est pas enthousiasmant, et d’autres seront culpabilisés parce qu’ils voteront blanc ou nul.

    Je pense qu’il aurait fallu appeler nos électeurs à voter selon leur conscience, et je pense aussi qu’il faudra bien, un jour, donner toute sa valeur au vote blanc, qui n’est pas un vote d’indécision, comme il est dit trop souvent, mais d’une décision au contraire mûrement réfléchie, quand on ne veut ni de l’un, ni de l’autre. Rappelons-nous blanc bonnet et bonnet blanc, du regretté Jacques Duclos.

    Quant aux législatives, si nous y faisons meilleure figure, nous n’y avons réalisé nationalement que 4,9% en 2002, comme le rappelle opportunément le rapport d’Olivier Dartigolles.
    Dans beaucoup de cas, il nous faudra de nouveau voter « utile » pour le candidat PS arrivé avant nous, il faudra aussi affronter l’extrême gauche qui ne manquera pas de s’aligner contre nous, tout en faisant semblant d’être pour l’union des forces antilibérales…

    Alors ? La seule consigne qui aurait été bonne, à mon avis, était le vote blanc. Elle aurait également le mérite, si ce vote était assez fort, de casser ce bipolarisme à l’américaine qui semble maintenant, hélas ! bien installé en France…

    • Je respecte bien sur votre position. La seule chose à laquelle je tiens c’est de vous dire que pour moi le vote Ségolène Royal n’est pas un "moindre mal". J’y tiens.

      Mais c’est le vote obligé pour battre Sarkozy.Je me prononce pour mes idées au premier tour, au second j’élimine celui que je ne veux pas.C’est pourquoi je suis pour la proportionnelle et contre le système présidentiel actuel.

      F Parny

    • Le vote blanc d’une partie des cocos, dont je te rappelle le score de moins de 2%, sera complètement dilué parmis les votes blancs des centristes qui ont fait plus de 18% des voix et parmi les votes blancs Front National qui a fait plus de 10% des voix.De plus les candidats antilibéraux ainsi qu’une partie des syndicats ayant appellé à battre Sarkozy, ton vote blanc j’ai bien peur que tu soit le seul capable de lui trouver une signification.A part que t’es énervé et que tu déteste plus le PS que l’UMP.Parce que que le 6 mai si l’on est de gauche on fait tout pour battre Sarko, le reste c’est des chimères ou alors la poursuite d’une marginalisation de la vie politique que les électeurs sanctionneront à chaque occasion comme ils viennent de le faire.

  • IL me semble que sur ce site tu as un échantillon de ce que pense les communistes.
    Un petit mot, qui a voulu associer les deux élection ??? je n’ai pas envie de votez pour un parti qui a voulu tuer le PC. Je ne suis pas ignorant de la stratégie !!!. Alors devant les électeurs puisque c’est la mode du moment, nous voulons aussi des garanties en sièges avant le 2è tour j’attends la réponse pour prendre ma décision VF

  • Salut Francis !

    Voyons voir... Le "nous" s’entend anti-Sarko - ;) N’étant pas social démocrate, je ne suis donc pas socialiste...

    Pourquoi il faut y croire et pourquoi nous gagnerons le 6 mai
    A l’heure où beaucoup d’éditorialistes estiment que tout est joué, je voudrais vous inviter à regarder de plus près ces résultats et à vous mobiliser pour le second tour :

    Quelques enseignements de ce premier tour :

    1) Nous sommes en tête

    Oui cela paraît un peu exagérer, et pourtant, rien n’est plus vrai car Ségolène Royal a un réservoir de voix à gauche plus important que Nicolas Sarkozy :

    Ségolène Royal 9 405 055
    Besancenot 1 494 721
    Buffet 705 830
    Voynet 570 324
    Laguiller 486 577
    Bové 479 222
    Schivardi 123 318
    Total gauche 13 265 047
    Sarkozy 11 324 741
    De Villiers 818 851
    Nihous 420 112
    Total droite 12 563 704

    2) Les reports restants pourraient nous être favorables

    Pourquoi je n’y ai pas mis ni Le Pen, ni Bayrou ?

     Parce que les électeurs de Le Pen ont un report complexe : on dit généralement 1/3, 1/3, 1/3 : 1/3 d’abstentionnistes, 1/3 de vote à droite, 1/3 de vote à gauche.

    Dans cette configuration, son report est quasi sans effet pour le second tour, puisqu’il profiterait autant à Sarkozy qu’à Royal.

    Que feront-ils cette fois-ci ? Vraie question, surtout que la structure de cet électorat a pu être modifiée depuis 2002, Le Pen ayant perdu un million d’électeurs : ne resterait que les irréductibles, bien à droite ? Toutefois, on peut faire l’hypothèse que cet électorat s’est perdu en grande partie au profit de Nicolas Sarkozy… donc peut-être un électorat moins clairement à droite qu’on le penserait à première vue. Je propose de rester sur le report classique 1/3, 1/3, 1/3…

     Parce que les électeurs de Bayrou sont difficiles à classer aujourd’hui. La progression de François Bayrou s’est faite clairement sur sa gauche et sa campagne au nom du centre. Aussi peut-on imaginer un report complexe. Pour l’évaluer, je propose de décomposer cet électorat en 2 sous-catégories : les anciens électeurs UDF de 2002 et les nouveaux séduits par Bayrou en 2007

    Bayrou 2007 6 750 869
    Bayrou 2002 1 939 124
    Nouveaux électeurs Bayrou en 2007 4 811 745
    On peut estimer que les 1 939 124 (électeurs fidèles depuis 2002) se reporteront majoritairement sur Nicolas Sarkozy.
    Pour les électeurs conquis en 2007, soit 4 811 745, il est clair qu’une grande partie vient de gauche, disons 3/4 (75%) soit aux alentours de 3 608 808 électeurs dont on peut espérer le report sur Royal.

    Reste 1/4 des nouveaux électeurs Bayrou qui se reporteraient sur Nicolas Sarkozy : 1 202 936.

    Vous trouvez l’hypothèse optimiste ? Sachez que ça marche encore si on fait les calculs avec 2/3 seulement à gauche et 1/3 à droite.

    Refaisons donc les comptes en prenant en compte ces reports de Bayrou :

    Total droite 1er tour + électeurs Bayrou « de droite » 12 563 704 + 1 939 124 + 1 202 936 15 705 764
    Total gauche 1er tour + électeurs Bayrou « de gauche » 13 265 047 + 3 608 808 16 873 856

    La gauche reste donc en tête…

    3) Il n’y a pas que le centre qu’il faut courtiser : continuer à mobiliser les classes populaires

    Bien sûr, il faudra donc essayer de récupérer une large partie de l’électorat centriste mais plutôt que de faire la course au centre, qui devrait finalement se reporter logiquement, il ne faut pas oublier que nous n’avons pas fait le plein de toutes les voix dans les quartiers populaires.
    Malgré une très forte mobilisation, la participation y est encore plus basse que la moyenne nationale entre 7 et 15 points. Ainsi la participation s’élève nationalement à 83.77% mais seulement :

     76% à Lille Sud

     68% à Roubaix Nord

     78% à Maubeuge

    Certes les scores de Ségolène Royal sont très élevés dans ces villes et quartiers (de 28,97% à Maubeuge à 41% à Lille Sud), mais ils peuvent très largement progresser. N’oublions pas qu’en 1981, François Mitterrand a été choisi au second tour par ¾ des ouvriers !

    Plus généralement nationalement, il reste encore 6,5 millions de personnes qui n’ont pas voté et qui pourraient se déplacer ! A nous de jouer !

    Et puis n’oublions pas, en 1974, 1981, 1995, c’est toujours celui qui arrive second au premier tour qui l’emporte… Un bon présage pour 2007.

    Alain GUILLO

    http://deslivresetmoi.blog.20minutes.fr/

  • A ceux qui sont tentés de ne pas voter le 6 mai et se veulent se réserver pour les législatives, on peut rappeler que TOUTES les législatives couplées à des présidentielles ont été gagnées par le parti du président : 81, 88, 02.

    Un Sarko vainqueur le 6 mai a de bonnes chances d’avoir avec lui une dynamique "donner au président les moyens de gouverner, éviter le blocage etc." Et d’autant plus si sa majorité aura été forte le 6 mai.

    • Si par malheur, le 6 mai Sarko passe à cause d’un fort taux de bulletins blancs ou d’abstentions, je n’irai pas voter aux législatives et ma voix que je souhaite donner au PCF restera à la maison ! C’est clair, non ?

    • Là franchement, c’est nul ! Le PCF fait tout pour battre Sarko... et si on n’y arrive pas, vous sanctionnez le PCF !!!

      C’est à n’y rien comprendre

      Jean-Claude

      Militant PCf qui fera tout pour éviter que SArko soit élu

    • Attention çà bouge au parti socialiste, il parait que Emmanuèli se rapproche de la gauche antilibéral ???
      Je souhaite que le PCF soit plus précis sur ses mots d’ordre, il faut rassembler les communistes et les démocrates. Donc pas Bercy mais la Place de la République.
      On ne vote pas pour ségolène, on vote pour la démocratie les libertés, contre les racisme, contre les idées de Lepen et contre un pouvoir dangereux etc etc... je pense que de cette façon nous pouvons rester nous même. j’attends la réponse de Parny.

    • C’est clair, au contraire ! Je lis par endroits, que certains dont des communistes rechignent à aller voter pour SR ! Je reprécise que si le taux d’abstention ou de votes blancs est supérieur à celui du premier tour, faisant passer Sarkozy, je ne me donnerai pas la peine de voter pour les législatives ! Faut savoir ce que l’on veut !

      Mon idée, c’est de mettre en place Royal, parce qu’elle est un moindre mal, pour la classe populaire, et de renforcer les législatives à gauche : PCF, LCR, etc, ça donnera du poids à la politique, que de faciliter l’implantation de Sarkozy avec des législatives bancales à droite, laissant peu d’espoir à la gauche de faire contrepoids à la politique de Sarkozy, qui serait terriblement dure et agressive contre les travailleurs !

      S’il se dégage une volonté républicaine, de sauver ce qui peut l’être, alors, oui, j’aurai du baume au coeur, et l’envie de donner ma voix à gauche, parce que je sais que cette voix, cette petite goutte, fera pencher la balance du bon côté ! Nous sommes en état de guerre, n’ayons pas peur des mots, et il m’est insupportable de penser qu’on pourrait avoir à la présidence, un type qui ressemble à s’y méprendre à Bush ! Le président qu’on mérite n’est pas celui-là ! Les français méritent beaucoup mieux que ça ! Offrons-nous le luxe, d’avoir quelqu’un qui respecte les lois, et le dialogue avec les citoyens !

    • Parny te réponds volontiers, ou plutôt te donne son point de vue. A mon avis Emmanueli propose une impasse. Il souhaite un parti unique de toute la gauche. Ce n’est pas un rapprochement de la gauche antilibérale. C’est une solution "travailliste" à l’anglaise ou "démocrate" à l’américaine.

      Elle gomme les différences qui éxistent au sein de la gauche.
      Pour moi il n’y a qu’une seulre gauche avec des militants et des électrices/électeurs de tout parti qui hésitent sur bien des questions : peut on encore changer le monde ? ne faut-il pas "réguler" le capitalisme pour "tempérer" ses effets les plus nocifs ? Quand des jeunes de 20 ans disent que les entreprises seraient en péril si on augmentait trop les salaires, on voit bien qu’il y a un sacré glissement des conscience sur la pente libérale. Toutes les formations de gauche ont leur responsabilité sur cette question.

      Le référendum a été gagné parce que des représentants de toutes les sensibilités de gauche ont dit il faut une Europe non libérale. Si ce vote avait été ressenti comme un vote des extrèmes le "Non" aurait perdu.Emmanuelli propose une impasse parce que le ralliement de toute la gauche dans le PS ne se ferait pas sur une base de transformation du capitalisme. Toute l’expérience du PS montre que la gauche Socialiste se dissous progressivement dans les synthèses en faveur de "la ligne" majoritaire qui depuis deux congrès va même jusqu’à assumer publiquement son réformisme.Comparez les propos de Julien Dray il y a quelques années et maintenant. Seul Jean Luc Mélanchon essaye de résister mais construire un parti en pensant à des expériences européennes comme en Allemagne suppose de sortir des synthèses.

      Bien sur je constate également que fort de son "succès" Olivier Besancenot propose un parti anticapitaliste à la gauche de l’ex gauche plurielle. Il nous exclut j’imagine d’une telle hypothèse. On est dans la division de celles et ceux qui veulent dépasser le capitalisme et produire des politiques alternatives aux politiques libérales.

      Et on remet le changement à quand ? Cette stratégie qui consiste à préparer la prise de pouvoir dans la construction d’un meilleur rapport de force à l’intérieur d’une gauche divisée arbitriarement, par décret, alors qu’elle est diverse dans toutes ses composantes, ne renvoit pas seulement le changement à plus tard, c’est une démarche que l’on connait bien historiquement et qui par son mouvement même induirait ensuite un pouvoir par le haut qui a déjà échoué.

      Alors que faire ? (comme dirait l’autre) Un mouvement en bas se construit autour d’idées et de pratiques qui remettent en cause le capitalisme. Il n’est pas le fait principalement de citoyens des pays du Nord. L’alter mondialisme existe, des citoyens du monde entier en expérimentent les voies, des politiques d’états dans le sud cherchent à se dégager de l’emprise du nord même si ces politiques ne sont pas exemptes d’ambiguïtés et chez nous des partis et des citoyens investits dans le champ social font les mêmes recherches et les traduises dans des pratiques sociales et politiques.Le parti communiste français s’efforce d’être utile à ce rassemblement.

      Sans doute commet-il des erreurs, comme d’autres, mais ce qui s’est fait aux élections régionales de façon diverse, dans les européennes, au moment du référendum et dans le travail des comités antilibéraux constitue un changement de pratique correspondant à une réflexion critique sur son activité.Mais qu’on nous dise en quoi la disparition du PCF permettrait une amélioration de la situation révolutionnaire ? Cent trente mille militants, treize mille élus, huit cents maires, quatre cents conseillers généraux et régionaux, trois groupes dans les assemblées nationales françaises et européennes, c’est une force qui peut être utile non ?

      Et en quoi la création d’un nouveau parti empêcherait par exemple ce que certains ont appelés les logiques d’appareil ?Parcequ’il se construirait avec des femmes et des hommes nouveaux ?
      Je crois important de poursuivre le débat - c’est le sens de notre congrès de novembre prochain -je parle d’un débat où l’ensemble de nos concitoyens participe à l’enracinement de propositions alternatives au capitalisme.

      Pour moi, Marie-George Buffet dans sa campagne a été la seule à insister sur les conditions cohérentes nécessaires à un changement : l’utilisation différente de l’argent et des richesses produites pour un nouveau type de développement, de nouveaux droits pour les salariés et pour les citoyens, la construction parallèle d’une autre Europe. Ce débat, il faut le poursuivre avec toutes les forces anticapitalistes et antilibérales et trouver à chaque moment les formes de convergences que nous saurons définir qui respecterons chacune des composantes de ce mouvement.

      Je te confirme que je ne vote pas "pour" Ségolène Royal mais bien que je vote Ségolène Royal "pour" battre Sarkozy.Je ne connais pas d’autres moyens. Excuse aussi la longeur de mon propos précédent, il ne s’agît me concernant que de passion pour cette question comme pour d’autres. F Parny