Si le terme liquidateur déplait à certains, personne ne les accuse du terme liquidités (financières ?) ils le font gratuitement, je l’affirme, j’en suis certain !
Alors que le terme le plus approprié me semble liquéfaction, désignant à la fois le groupe constitué et la perte de substance : le changement d’état de la matière.
Quant-au terme liquidateur 5 octobre 2007 - 16h59 - Posté par
Il s’agit encore d’un soit disant "identitaire" qui ne veut pas que l’on se fasse enterrer en catimini par des renovateurs alchimistes qui souhaitent pour des raisons non avouées franchement , transformer le trésor du parti (ses militants) en soldats de plomb du ps ou en un groupuscule d’agités du bocal ! Le saturnisme ne nous convenant pas, on fait de la prévention typographique !
Quant-au terme liquidateur 5 octobre 2007 - 18h58 - Posté par
Dans le débat sur l’avenir du PCF, certains placés en position d’élus, évoquent l’idée d’une disparition programmée du parti ou sa dissolution dans un rassemblement de gauche, certains évoquent même d’en finir avec le nom de communiste !!
Or, ce sont les mêmes qui depuis 25 ans, en position de pouvoir, nous ont conduit , de renoncement en renoncement, d’accord électoral en accord électoral, de compromis en compromissions, à une chute électorale du PCF, ce sont encore les mêmes qui au mépris de la démocratie interne ont fait disparaître le symbole des deux outils des travailleurs humbles qui marquait notre drapeau, sans vote. Leur résignation ne les a même pas conduit à en faire adopter un autre par congrès, notre parti n’a comme logo que ses trois initiales, pauvre communication . Aujourd’hui, ils diagnostiquent notre fin comme inéluctable......
Nous voulons faire le pari inverse à la résignation, celui d’une réaffirmation de notre idéal, parce que c’est ce dont les travailleurs, du privé comme du public, ont besoin, hier comme aujourd’hui.
Nous voulons réaffirmer notre identité de communistes, nous voulons en finir avec les renoncements, nous voulons réaffirmer notre engagement dans la lutte des classes, son explicitation, et la défense systématique des classes opprimées, la résistance à la classe dominante dont l’unique but est l’accumulation des biens dans une minorité de mains.
Nous aspirons à une société sans classe, le socialisme, en rupture avec le capitalisme, nous luttons pour le dépassement de cette société d’exploitation qui met les travailleurs en concurrence en délocalisant les entreprises, cassant sans pudeur l’outil de travail, les droits sociaux, les services publics, notre patrimoine commun.
Nous ne voulons pas nous dissoudre dans un rassemblement où on utiliserait nos forces pour nous voir condamnés à être les porteurs d’eau de tous les arrivismes, de tous les carriérismes.
Après l’expérience du programme commun et ses désillusions, les sanctions successives infligées par le peuple dans les scrutins qui ont suivi, puis l’expérience toute aussi décevante du rassemblement antilibéral, où tous les égos de quelques personnalités imbues de pouvoir auraient voulu au mépris des votes s’imposer à ceux qui n’auraient été que colleurs d’affiches, distributeurs de tracts, manne financière de nos contributions, mais interdits d’expression, en fait, la piétaille qui obéit aux ordres, interdits de parole parce que communistes.
Alors, si nous savons bien que des accords électoraux sont nécessaires, nous pensons qu’il est temps de nous affirmer, qu’on ne négocie bien qu’en position de force, et non en exhibant nos faiblesses et nos renoncements, que le parti ne doit pas se contenter d’observer l’élection suivante sans une visée plus longue.
Il est temps de réaffirmer ce que d’autres partis communistes dans le monde ont fait avec les récentes remontées électorales : réaffirmer leur identité de communistes et leur engagement à œuvrer à la rupture d’avec le système mafieux de l’exploitation capitaliste.
Les communistes, depuis plusieurs dizaines d’années, ont critiqué sévèrement leur passé et ce qui a été fait ou est encore fait de manière abusive en leur nom : l’horreur du stalinisme, le détournement du pouvoir vers des égoïsmes familiaux, des oligarchies, des systèmes policiers avec surveillance de la population, avec incitation à la délation, la monstruosité de l’enfermement des opposants notamment des communistes eux-mêmes ; mais aussi, ici, les dérives de pratique d’organisation avec l’utilisation de l’intimidation, verbale ou physique afin de réduire au silence les gêneurs !!!
Cette dénonciation de tout ce qui s’est fait de mal au nom du socialisme ou du communisme est toute à l’honneur des communistes, car aucun autre parti n’a fait ce devoir de mémoire pour examiner chacun les horreurs faites en leurs noms réciproques.
Cette partie sombre cache à tant de gens la part de gloire et d’héroïsme de tant de nombreuses luttes des communistes, leur part magnifique à l’édification de ce qu’il y a de meilleur dans notre pays.
Reproche-t-on aux catholiques d’aujourd’hui, l’inquisition, les guerres de religion, la Saint Barthélémy, les prêtres bénissant les chars de chaque côté d’une frontière ? Nombreux sont ceux, parmi nous communistes, qui n’étaient pas nés lorsque ce qui est négatif a été commis, leurs vies n’ont été que luttes au service de tous, que volonté du bien commun, qu’actes de résistance aux mauvais coups.
Alors, il est temps d’en finir avec la psychanalyse permanente et temps de réaffirmer la force de nos idéaux, ceux de Gracchus Babeuf et sa conspiration des égaux, ceux de Marx et Engels et leur si beau manifeste : Nous sommes communistes et nous en sommes fiers.
Profitant de la nouvelle déroute électorale du printemps, une trentaine de cadres du PCF, dont Bègles, Blotin, Cicera, Cohen, Magnon et Zoughebi, proposent de fonder " un autre parti politique ". Partant du principe que " le déclin du PCF s’ est poursuivi " malgré le virage droitier et antisoviétique des années 70 ( alors qu’ en réalité c’ est là que ce déclin a commencé ! ), et constatant l’échec de la mutation, ils en déduisent, non pas que ces processus étaient négatifs, mais qu’ ils ne sont pas allés assez loin, ce qui les amène a remettre en question les " conceptions fondatrices du PCF ".
Refusant de critiquer les désastreuses participations aux gouvernements socialistes des années 80 et 90, ce texte souhaite que le nouveau parti sache participer " les cas échéant au gouvernement ". Il prend la défense de la déplorable S. Royal ( " les résultats qu’elle a obtenus.............d’ autres candidats socialistes ne les auraient pas obtenus " ), lui reprochant seulement de ne pas avoir " réussi à convaincre " ! Il ne voit pas dans le vote du 29 mai 2005 un refus de l’ europe supranationale du capital, mais " une exaspération poussant à dire "non" au système politique appelant à voter oui " - analyse typique des " ouistes " du PS !
Quels seraient le nom et la forme de ce " nouveau parti " ? Les liquidateurs laissent ici la porte ouverte à la négociation avec les mutants : " On ne peut visiblement résoudre cette question aujourd’ hui " mais " la référence au communisme nous parait indispensable ". Son objectif ? " Contester concrètement le capitalisme ", non pour le renverser ( c’ est une conception soviétique " ! ), mais pour conquérir " des droits et des pouvoirs nouveaux pour les salariés........, pour les citoyens ". Voilà une hauteur d’ ambition qui donne le vertige !
Nous nous adressons plus particulièrement aux communistes membres du PCF.
Nous les invitons à écouter le message que Jean-Luc Mélenchon leur a adressé et à se faire leur opinion.
Nous connaissons les différends qui ont pu exister mais nous pensons que la gravité du moment que nous vivons mérite de porter attention à ce message
Ce message argumente autour d’une idée simple et pourtant éminemment révolutionnaire : l’enjeu de la présidentielle c’est de faire gagner le « (...)
À la direction d’Info’Com-CGT
Nous avons appris dernièrement les discriminations, les harcèlements dont sont victimes les camarades Roberto Ferrario et Sidi Boussetta.
Le camarade Roberto Ferrario est un militant qui contribue à diffuser de vraies informations, à diffuser pour le peuple et non contre le peuple, à diffuser des communiqués grâce à son site internet bellaciao.org
Sidi Boussetta, secrétaire-adjoint de l’UL CGT de Blois est un militant reconnu. Ce camarade (...)
Je pas seulement le mème deuxième prénom "Ernesto" mais je partage aussi pas mal de ces idées. Dédicace spécial à la direction de Info’Com-CGT qui discrimine et harcèle les camarades militants...
Roberto Giordano Ernesto Ferrario
"Sobre todo, sean siempre capaces de sentir en lo más hondo cualquier injusticia cometida contra cualquiera en cualquier parte del mundo. Es la cualidad más linda de un revolucionario."
Che Guevara
Traduction :
"Surtout, soyez toujours capables de (...)
Bonjour,
A l’attention
de : Romain Atlman
de : David Jordan
de : Julien Gicquel
de : Marianne Ravaud
Nous suivons toujours avec intérêt la situation dans laquelle se trouve notre camarade Sidi. Situation dont vous êtes à l’origine.
Sidi est un militant convaincu, honnête, qui donne tout de sa personne aux autres. C’est d’ailleurs notamment pour ces raisons que vous êtes venus le chercher.
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de Roberto Ferrario
A Ciudad Juarez depuis 1993, plus de 500 cadavres ont été retrouvés dans des décharges et dans les zones désertes, la plupart des femmes jeunes voire adolescentes, étudiantes, ouvrières de nuit dans les usines, femmes de chambres, petites employées.
Beaucoup vivent dans des conditions très précaires avec parfois des enfants à élever. Elles ont été enlevées, détenues en captivité, victimes de tortures et de graves violences sexuelles avant d’être assassinées à (...)
jeudi 9 avril 2009
Le meurtre perpétré par les fascistes de Sergio Argada le 20 octobre 1974 a Lamezia Terme
de Bellaciao
Avertissement -
Comme vous le savez peut-être, nous sommes un collectif Franco-Italien.
Nous avons toujours un œil sur la vie politique italienne et l’autre sur la vie politique française.
Dernièrement, nous sommes souvent troublés par les nombreuses coïncidences, par les échos, que l’on trouve d’une ou de l’autre chez le voisin (...)
de Stéphane Paturey et Olivier Blandin (anciens secrétaires du syndicat)
Lettre ouverte à #RomainAltmann, secrétaire général d’#Info’Com-CGT
Directement, sans contour, permets-nous de trouver ton commentaire hallucinant ! Comme à l’accoutumée, des généralités mais jamais de fond. Ce sens perpétuel du raccourci passe peut-être devant une commission exécutive (CE)… beaucoup moins lorsque des camarades apprennent les méthodes, les mensonges et les calomnies que tu couvres dans notre syndicat. Ce n’est pas digne d’une direction (...)
5 octobre 2007 - 12h45
de quoi s’agit-il ?
5 octobre 2007 - 16h59 - Posté par
Il s’agit encore d’un soit disant "identitaire" qui ne veut pas que l’on se fasse enterrer en catimini par des renovateurs alchimistes qui souhaitent pour des raisons non avouées franchement , transformer le trésor du parti (ses militants) en soldats de plomb du ps ou en un groupuscule d’agités du bocal ! Le saturnisme ne nous convenant pas, on fait de la prévention typographique !
boris
5 octobre 2007 - 18h58 - Posté par
Dans le débat sur l’avenir du PCF, certains placés en position d’élus, évoquent l’idée d’une disparition programmée du parti ou sa dissolution dans un rassemblement de gauche, certains évoquent même d’en finir avec le nom de communiste !!
Or, ce sont les mêmes qui depuis 25 ans, en position de pouvoir, nous ont conduit , de renoncement en renoncement, d’accord électoral en accord électoral, de compromis en compromissions, à une chute électorale du PCF, ce sont encore les mêmes qui au mépris de la démocratie interne ont fait disparaître le symbole des deux outils des travailleurs humbles qui marquait notre drapeau, sans vote. Leur résignation ne les a même pas conduit à en faire adopter un autre par congrès, notre parti n’a comme logo que ses trois initiales, pauvre communication . Aujourd’hui, ils diagnostiquent notre fin comme inéluctable......
Nous voulons faire le pari inverse à la résignation, celui d’une réaffirmation de notre idéal, parce que c’est ce dont les travailleurs, du privé comme du public, ont besoin, hier comme aujourd’hui.
Nous voulons réaffirmer notre identité de communistes, nous voulons en finir avec les renoncements, nous voulons réaffirmer notre engagement dans la lutte des classes, son explicitation, et la défense systématique des classes opprimées, la résistance à la classe dominante dont l’unique but est l’accumulation des biens dans une minorité de mains.
Nous aspirons à une société sans classe, le socialisme, en rupture avec le capitalisme, nous luttons pour le dépassement de cette société d’exploitation qui met les travailleurs en concurrence en délocalisant les entreprises, cassant sans pudeur l’outil de travail, les droits sociaux, les services publics, notre patrimoine commun.
Nous ne voulons pas nous dissoudre dans un rassemblement où on utiliserait nos forces pour nous voir condamnés à être les porteurs d’eau de tous les arrivismes, de tous les carriérismes.
Après l’expérience du programme commun et ses désillusions, les sanctions successives infligées par le peuple dans les scrutins qui ont suivi, puis l’expérience toute aussi décevante du rassemblement antilibéral, où tous les égos de quelques personnalités imbues de pouvoir auraient voulu au mépris des votes s’imposer à ceux qui n’auraient été que colleurs d’affiches, distributeurs de tracts, manne financière de nos contributions, mais interdits d’expression, en fait, la piétaille qui obéit aux ordres, interdits de parole parce que communistes.
Alors, si nous savons bien que des accords électoraux sont nécessaires, nous pensons qu’il est temps de nous affirmer, qu’on ne négocie bien qu’en position de force, et non en exhibant nos faiblesses et nos renoncements, que le parti ne doit pas se contenter d’observer l’élection suivante sans une visée plus longue.
Il est temps de réaffirmer ce que d’autres partis communistes dans le monde ont fait avec les récentes remontées électorales : réaffirmer leur identité de communistes et leur engagement à œuvrer à la rupture d’avec le système mafieux de l’exploitation capitaliste.
Les communistes, depuis plusieurs dizaines d’années, ont critiqué sévèrement leur passé et ce qui a été fait ou est encore fait de manière abusive en leur nom : l’horreur du stalinisme, le détournement du pouvoir vers des égoïsmes familiaux, des oligarchies, des systèmes policiers avec surveillance de la population, avec incitation à la délation, la monstruosité de l’enfermement des opposants notamment des communistes eux-mêmes ; mais aussi, ici, les dérives de pratique d’organisation avec l’utilisation de l’intimidation, verbale ou physique afin de réduire au silence les gêneurs !!!
Cette dénonciation de tout ce qui s’est fait de mal au nom du socialisme ou du communisme est toute à l’honneur des communistes, car aucun autre parti n’a fait ce devoir de mémoire pour examiner chacun les horreurs faites en leurs noms réciproques.
Cette partie sombre cache à tant de gens la part de gloire et d’héroïsme de tant de nombreuses luttes des communistes, leur part magnifique à l’édification de ce qu’il y a de meilleur dans notre pays.
Reproche-t-on aux catholiques d’aujourd’hui, l’inquisition, les guerres de religion, la Saint Barthélémy, les prêtres bénissant les chars de chaque côté d’une frontière ? Nombreux sont ceux, parmi nous communistes, qui n’étaient pas nés lorsque ce qui est négatif a été commis, leurs vies n’ont été que luttes au service de tous, que volonté du bien commun, qu’actes de résistance aux mauvais coups.
Alors, il est temps d’en finir avec la psychanalyse permanente et temps de réaffirmer la force de nos idéaux, ceux de Gracchus Babeuf et sa conspiration des égaux, ceux de Marx et Engels et leur si beau manifeste : Nous sommes communistes et nous en sommes fiers.
7 octobre 2007 - 16h46 - Posté par
Mon camarade le renard rouge, attention à toi.
Il a été dit que tout sera mis sur la table au prochain congrès, attention à ta peau, tu vas te retrouvé à poil.
Enfin on pourra pour te couvrir leur demandé la veste qu’il se son ramassée aux dernières élections, RIRES
Amitiés. Le militant mécontent
7 octobre 2007 - 19h20
PCF - LA LIQUIDATION A VISAGE DECOUVERT
Profitant de la nouvelle déroute électorale du printemps, une trentaine de cadres du PCF, dont Bègles, Blotin, Cicera, Cohen, Magnon et Zoughebi, proposent de fonder " un autre parti politique ". Partant du principe que " le déclin du PCF s’ est poursuivi " malgré le virage droitier et antisoviétique des années 70 ( alors qu’ en réalité c’ est là que ce déclin a commencé ! ), et constatant l’échec de la mutation, ils en déduisent, non pas que ces processus étaient négatifs, mais qu’ ils ne sont pas allés assez loin, ce qui les amène a remettre en question les " conceptions fondatrices du PCF ".
Refusant de critiquer les désastreuses participations aux gouvernements socialistes des années 80 et 90, ce texte souhaite que le nouveau parti sache participer " les cas échéant au gouvernement ". Il prend la défense de la déplorable S. Royal ( " les résultats qu’elle a obtenus.............d’ autres candidats socialistes ne les auraient pas obtenus " ), lui reprochant seulement de ne pas avoir " réussi à convaincre " ! Il ne voit pas dans le vote du 29 mai 2005 un refus de l’ europe supranationale du capital, mais " une exaspération poussant à dire "non" au système politique appelant à voter oui " - analyse typique des " ouistes " du PS !
Quels seraient le nom et la forme de ce " nouveau parti " ? Les liquidateurs laissent ici la porte ouverte à la négociation avec les mutants : " On ne peut visiblement résoudre cette question aujourd’ hui " mais " la référence au communisme nous parait indispensable ". Son objectif ? " Contester concrètement le capitalisme ", non pour le renverser ( c’ est une conception soviétique " ! ), mais pour conquérir " des droits et des pouvoirs nouveaux pour les salariés........, pour les citoyens ". Voilà une hauteur d’ ambition qui donne le vertige !
François ROBERT