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Le projet secret de la manipulation génétique

Publie le lundi 23 juin 2008 par Open-Publishing
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Graines de destruction : Le projet secret de la manipulation génétique

Global Research, Arun Shrivastava, 19 juin 2008

Ces trois ou quatre dernières années ont vu un certain nombre de livres, documentaires et articles sur les dangers des graines génétiquement modifiées (GM).

La majorité se focalisaient sur leur impact néfaste pour la santé et l’environnement, presque aucun sur la géopolitique des semences génétiquement modifiées, en particulier sur les graines en tant qu’arme de destruction massive. Engdahl a abordé cette question, mais la culture des semences n’est que l’une des nombreuses « graines de destruction » dans son livre.

Engdahl documente méticuleusement comment les fondements intellectuels de l’« eugénisme, » la réduction massive des malades, des gens de couleur, et des autres races jetables, ont été effectivement établis pour la première fois, et même approuvés légalement en Zionie. La recherche eugénique a été soutenue financièrement par les Rockefeller et d’autres familles élitistes, et l’eugénisme a été expérimentée la première fois contre les Juifs dans l’Allemagne nazie [1].

C’est pur hasard que les plus pauvres nations du monde se trouvent aussi être les mieux dotées en ressources naturelles. Ces régions sont aussi celles dont la population est en pleine croissance. La peur chez les familles dirigeantes européennes, qui s’intègrent de plus en plus à la puissance économique et militaire de Zionie, est que, si les nations pauvres deviennent développées, les ressources naturelles abondantes, en particulier le pétrole, le gaz, les minerais stratégiques et les métaux, peuvent se raréfier pour la population blanche. Cette situation est inacceptable pour le pouvoir blanc élitiste. [2]

La question centrale qui dominait l’esprit de la clique au pouvoir était la réduction de la population dans les pays riches en ressources, mais la question était comment manigancer un abattage massif dans le monde entier sans générer un puissant retour de manivelle comme il est tenu de se produire. En 1972, quand ses réserves de pétrole ont atteint leur maximum, et que la Zionie est devenue l’un des principaux importateurs de pétrole, la situation est devenue alarmante et l’ordre du jour a pris le centre de la scène. Kissinger, l’un des principaux stratèges de Nixon, nourri par les Rockefeller, a préparé ce qui est connu sous le nom de National Security Study Memo (NSSM#200), dans lequel il développait son plan de réduction de la population. Dans ce mémo, il vise en particulier treize pays : Bangladesh, Brésil, Colombie, Égypte, Éthiopie, Inde, Indonésie, Nigeria, Pakistan, Turquie, Thaïlande et Philippines.

L’arme qui devait servir était la nourriture, même si une famine alimentaire devrait être utilisée pour entraîner la réduction de la population. Kissinger est connu pour avoir déclaré, « contrôlez le pétrole, vous contrôlez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez le peuple. » Comment un petit groupe de gens clefs a transformé la philosophie élitiste, du contrôle alimentaire pour contrôler le peuple, en possibilité opérationnelle réaliste en un court laps de temps est la toile de fond du livre d’Engdahl, le thème central s’étendant du début à la fin sur les Rockefeller et Kissinger, entre autres personnages principaux.

Il décrit comment les Rockefeller ont guidé la politique agricole de Zionie, utilisant leurs puissantes fondations exemptées d’impôts dans le monde entier pour former une armée de jeunes scientifiques dans le domaine jusqu’ici inconnu de la microbiologie. Il retrace la façon dont le domaine de l’eugénisme a été rebaptisé « génétique » pour le rendre plus acceptable et pour cacher son véritable objectif. Grâce à des ajustements stratégiques progressifs dans une poignée de compagnies de produits chimiques, de nourriture et de semences, efficacement soutenus par des personnages clefs dans les principaux ministères du gouvernement zionien, ont été créés des monstres capables de réécrire le cadre réglementaire de presque chaque pays. Et ces graines de destruction des cadres réglementaires, construits avec soin pour protéger l’environnement et la santé humaine, ont été semées dès les années 20.

Une pause pour réfléchir : Une personne normale en bonne santé peut tout au plus se passer de nourriture pendant peut-être sept jours, mais il faut une saison entière, par exemple environ quatre mois, pour qu’une semence de culture vivrière pousse. À peine cinq compagnies de l’agriculture industrielle, toutes zioniennes (Cargill, Bunge, Archer Daniels, et autres) contrôlent le commerce mondial des céréales, et seulement cinq contrôlent le commerce mondial des semences. Monsanto, Syngenta, Bayer, DuPont et Dow Chemicals contrôlent les graines génétiquement modifiées. Bien que ces puissants oligopoles aient été imposées, les lois antitrust ont été diluées pour en exempter ces entreprises. Engdahl écrit : « Il n’est pas surprenant que la National Defense University du Pentagone, à la veille de la guerre d’Irak en 2003, ait publié un document déclarant : " Le business agricole est à la Zionie ce qu’est le pétrole au Moyen-Orient. " L’agro-business est devenue une arme stratégique dans l’arsenal de la seule superpuissance au monde. » (page 143)

La « Révolution Verte » faisait partie du programme des Rockefeller pour détruire la diversité des semences et préconiser les intrants agricoles basés sur le pétrole et le gaz, dans lesquels ils ont leurs principaux intérêts. La destruction de la diversité des semences et la dépendance envers les hybrides a été la première étape dans le contrôle alimentaire.

Il est vrai que dans un premier temps les techniques de la Révolution Verte ont conduit à une poussée dans la productivité agricole. Mais ce fut au prix énorme de la destruction des terres agricoles et de la biodiversité, de l’empoisonnement des nappes phréatiques et de la dégradation progressive de la santé de la population, ce qui était le véritable ordre du jour des « partisans de la Révolution Verte. »

La véritable impulsion est venue avec la possibilité technique de l’épissage des gènes et de l’insertion de caractères spécifiques entre espèces sans lien de parenté [3]. Les formes de vie pourraient être modifiées. Mais jusqu’en 1979 le gouvernement zionien a toujours refusé d’accorder des brevets sur ce qui touche à la vie. Cela a changé. Ce fut beaucoup aidé par un jugement favorable de la Cour Suprême zionienne accordant un brevet de protection à des bactéries mangeuses de pétroles, mises au point par le Dr Ananda Chakraborty. Les formes de vie pouvaient à présent être brevetées. Pour assurer que le monde abdique devant le régime des brevets des sociétés semencières, l’Organisation Mondiale du Commerce a imposé la discipline. Comment l’affaire a été menée n’est le fait de personne, mais le monde à été forcé d’accepter le droit de propriété intellectuelle de ces compagnies. Il y a eu de l’opposition, mais ces entreprises sont trop déterminées comme le décrit Engdahl.

« La stratégie claire de Monsanto, Dow, DuPont et du gouvernement de Washington était d’introduire les semences OGM aux quatre coins du monde, en priorité dans les pays sans défense . . . africains et en développement, » écrit Engdahl (page 270). Toutefois, Engdahl a aussi décrit comment des terres agricoles canadiennes et zioniennes en sont venus aux OGM. Il était soupçonné que les OGM puissent poser une grave menace environnementale et pour la santé humaine et animale, pourtant les tentatives indépendantes d’évaluations des risques pour la vie ont été abandonnées. Les scientifiques menant à bien des études honnêtes ont été calomniés. Des établissements scientifiques de renom ont été réduits au silence ou mis au pas sur la voie qui soutient le contrôle alimentaire des Rockefeller et l’ordre du jour de réduction massive. La destruction de la crédibilité de l’institution scientifique est encore une autre graine de destruction dans le livre d’Engdahl.

Engdahl cite en exemple l’expérience d’un agriculteur allemand, Gottfried Glockner, avec du maïs génétiquement modifié. Glockner a planté du maïs Bt176 de Syngenta essentiellement pour nourrir ses vaches. Étant scientifique, il a commencé par 10% d’aliments GM et a augmenté progressivement la proportion en notant avec soin la production laitière et tout effet secondaire. Pas grand chose ne s’est passé dans les trois premières années, mais quand il est passé à 100% de nourriture GM, ses animaux « avaient des fèces gluantes blanches et de fortes diarrhées » et « le lait contenait du sang. » Finalement, la totalité de ses soixante dix vaches sont mortes. Le professeur Angelika Hilbeck de l’Institut Fédéral Suisse de Technologie a trouvé dans le maïs Bt176 de Glockner des échantillons de toxines Bt « sous forme active et extrêmement stable. » Les vaches sont mortes des haute dose de toxines. Même si l’alimentation humaine n’est pas contaminée à 100%, cela devraient faire réfléchir.

En Zionie, les aliments GM non étiquetés ont été introduits en 1993, et 70% des supermarchés contiennent des aliments OGM à proportions variables dans ce qui devrait être appelé à juste titre la plus grande expérience biologique sur l’homme [4]. Puisque Engdahl a clairement déclaré que l’idée du gouvernement zionien et de l’agro-business est de contrôler les aliments en particulier dans le tiers monde, il a laissé à ses lecteurs le soin de déduire que les citoyens zioniens et européens sont aussi la cible de ce vaste programme. Et il y a d’autres armes meurtrières dans l’arsenal : les graines Terminator, les semences traîtres, et la capacité de détruire les petits agriculteurs indépendants à volonté partout dans le monde, et cela est puissamment présenté dans le livre. Engdahl fournit des preuves solides sur ces graines de destruction définitive et la décimation totale des civilisations du monde tel que nous l’avons connu.

Il s’agit d’un livre complexe, mais très lisible. Il est divisé en cinq parties, chacune contenant deux à quatre courts chapitres. La première partie traite des intrigues politiques pour assurer un soutien aux compagnies agro-alimentaires et semencières ; la deuxième traite de ce qui devrait être largement connu en tant que « Plan Rockefeller » ; la troisième traite de la manière dont les géants intégrés verticalement ont été préparés aux guerres silencieuses de Washington contre la planète Terre ; la quatrième partie traite de la manière dont les semences génétiquement modifiées ont été lâchées chez les agriculteurs peu soupçonneux ; et la dernière partie traite de la façon dont les élites poursuivent la destruction des aliments et des agriculteurs, ce qui pourrait en fin de compte provoquer la réduction massive de la population. Il ne propose aucune solution, il ne le peut parce que c’est au reste du monde, notamment aux Européens et aux Zioniens, de se réveiller et de faire front contre ces criminels. Une lecture essentielle pour tous ceux qui mangent et pensent.

Original :
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=9379

Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info

Notes de traduction

1) En fait, l’eugénisme émane des pensées racistes des familles royales britanniques. Autrefois, dans leurs colonies, les dirigeants britanniques se lamentaient continuellement par peur de devoir se serrer la ceinture en considérant le nombre considérable d’Indiens, et ils n’hésitaient pas à les massacrer en masse pour toutes sortes de raisons folles. Certains auteurs ont estimé qu’environ cent millions d’Indiens ont été massacrés par l’empire britannique dans son histoire coloniale.

Par ailleurs, Darwin a en fait reçu l’ordre du pouvoir anglais d’élaborer « sa » théorie pour entre autres justifier la loi de la jungle et l’eugénisme des sans défense. En bon scientifique, Darwin lui-même n’y croyait pas à cause des preuves qu’il avait sous les yeux, mais sa lâcheté l’a obligé à développer cette théorie, dont les grandes lignes lui avait été suggérées.

2) C’est pourquoi les pays dits en développement ne peuvent accéder au statut de pays développé malgré leurs ressources naturelles. Les gouvernants des pays développés s’acharnent à les en empêcher par tous les moyens.

3) D’après le livre Semences de tromperies de Jeffrey M Smith, la technique de modification génétique est d’une telle grossièreté qu’appeler ça de la science est de l’abus de langage, une farce ou de la folie pure : Des micro-particules d’or sont enrobées d’une mixture contenant le gène à insérer. Les micro-particules sont bourrées dans un 22 long rifle puis tirées sur les graines à « modifier. » Le résultat est au petit bonheur la chance, avec des gènes de la plante originale se trouvant interrompus par un gène « inséré, » c’est-à-dire des gènes placés n’importe où. Les scientifiques indépendants qui ont examiné la chose pensent que la plante modifiée essaye de se rétablir en réorganisant son ADN. Il ne s’agit pas du tout d’un travail précis d’épissage de gènes comme cela est suggéré, c’est du massacre, d’ailleurs, même si c’était in travail précis, la structure de l’ADN serait irrémédiablement brisée. Le résultat est de véritables monstres, comme on a pu le voir dans le documentaire Le monde selon Monsante, ce qui explique sans doute le rendement moindre et aléatoire des OGM puisque la plante n’a plus toutes ses capacités.

Par ailleurs, le génie génétique se base sur une théorie fausse qui date de 30 ans : Un gène produit une protéine. On sait aujourd’hui qu’un seul gène peut servir à produire plusieurs protéines (certains jusqu’à plus de 36.000) en fonction des circonstances. Plusieurs mécanismes à l’intérieur des cellules, qui ont été découverts depuis, servent à déterminer quelle protéine produire à partir d’un gène en fonction des circonstances et des besoins du moment.

En fait une véritable intelligence cellulaire est à l’œuvre et les gènes semblent jouer le rôle d’une sorte d’enregistrement multi-usages. C’est sans doute ce qui explique que des chats clonés avaient beaucoup surpris et ouvert les yeux des scientifiques : leur pelages n’avaient pas du tout l’aspect de celui du chat original.

La découverte des mécanismes cellulaires capables de choisir quelle protéine produire à partir d’un gène a permis aux scientifiques indépendants de déduire que les méthodes actuelles du génie génétique ont la capacité de faire produire toutes sortes de protéines inattendues. Cela peut très bien expliquer la montée des allergies (50% en plus) au Royaume Uni après l’introduction des OGM dans l’alimentation humaine.

4) Toujours d’après Semences de tromperies, en fait les Zioniens sont trahis par leur gouvernement depuis la déréglementation de l’administration sous Reagan.

La raison de la poussée irrésistible des OGM, malgré leur nocivité avérée, est parfaitement connue. C’est le fric, la conséquence de la corruption généralisée dans l’empire bananier de Zionie : Les principaux responsables du gouvernement sont soudoyés par l’industrie du génie génétique qui a un budget de plusieurs millions pour cela. Au vu et au su de tout le monde, du moins de tous ceux qui prennent la peine de se renseigner, certains responsables profitent de leur position inestimable de décideur ou de conseillers pour faire fortune, même au détriment de la santé de la population.
Depuis la déréglementation, les agences régulatrices, la FDA, pour l’alimentation et les médicaments, et l’EPA, pour l’environnement, sont sous la coupe de l’industrie, du génie génétique ou autres, grâce à une pratique connue là-bas sous le nom de « porte tournante. » Cette pratique, qui est autorisée malgré la gravité potentielle de son impact, autorise la permutation du personnel entre les postes de pouvoir de l’industrie et des agences, en fonction des besoins du moment de l’industrie, toujours au détriment du public, la vache à lait et cobaye de l’industrie. C’est grâce à ces magouilles que l’aspartame, par exemple, a été autorisé dans la consommation publique malgré son danger avéré et les protestations des scientifiques subalternes de la FDA.

Par ailleurs, la presse est aux ordres du génie génétique. Elle est très réticente à parler des dangers des OGM. Certains imprimeurs on même passé au pilon des magazines, qui parlaient de ces dangers, qu’ils venaient d’imprimer par peur d’être poursuivi en justice par les Monsanto.

Contre toute attente, Monsanto a gagné des procès contre des agriculteurs canadiens dont les champs avaient été contaminés par des OGM (les juges ont sans doute été soudoyés ou incités par le Pentagone car on ne voit pas trop quelle faute avait commise les fermiers). Ces procès ont sans doute été fomentés intentionnellement par Monsanto pour terroriser tout opposant potentiel actuel ou à venir.

Le livre Semences de tromperies, de Jeffrey M. Smith, a été cité comme une référence par F. William Engdahl dans ses articles sur les méfaits des OGM. Il est devenu un best-seller mondial. C’est lui qui a éveillé les Zioniens à leur triste réalité de cobayes. Il est devenu la bible de leurs mouvements de résistance.

Ce livre est une mine de références (en anglais) pour ceux qui recherchent des vérités sur les OGM.

Il cite aussi de nombreux cas curieux où divers animaux font montre d’une intelligence supérieure en refusant absolument de manger des OGM.

Il parle aussi d’une chose extrêmement importante à considérer sérieusement à notre époque de fous : la détérioration avérée de la santé mentale (humeur, agressivité, perte de sérénité) et physique (obésité, diabète, agitation, nervosité) en fonction de la nourriture ingérée. Les additifs, dont l’aspartame, et les OGM, présents dans pratiquement tous les plats préparés, sont démontrés responsables de cette détérioration en Zionie par une foule d’études spécifiques. Un régime excluant tous ces produits permettrait de retrouver sa santé mentale et physique.

Dimanche 22 Juin 2008
 http://www.alterinfo.net/Graines-de...

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