Pyrénées Atlantiques/ Picardie : Même erreur, même punition ? Dartigolles n’aurait pas de mandat
24 mars 2010, 18:41, par marc
Les affaires se corsent pour Dartigolles aujourd’hui. C’est la presse locale qui en fait l’écho, et particulièrement La République des Pyrénées.
Le secrétaire départemental du PS a été visiblement agacé par Dartigolles et ses "fidèles" qui tentaient hier à la manif de collecter des signatures d’élus et de militants du PS pour demander la démission d’un élu PS afin de lui prendre la place.
Aujourd’hui le secrétaire du PS dénonce "la mauvaise foi" de Dartigolles et dévoile un scoop : "le PS a proposé la 10ème place sur la liste fusionnée à la tête de liste du Front de Gauche 64 - une place qui était à coup sûr éligible .
"Cette proposition a été refusé par Dartigolles", précise le représentant du PS !
Et d’ajouter : "Pourquoi ? La mauvaise foi et les intérêts personnels n’ont pas de place dans le combat mené pour préserver les acquis sociaux, etc..."
Dartigolles se prend une leçon par le secrétaire départemental du PS. Que croyez-vous qu’il répond ? "Les négociations se sont mal passées. Dès le départ j’ai trouvé que c’était compliqué". Il affirme ne pas savoir si, à un moment donné, une 10ème place a été proposée à sa liste. Et d’ajouter : "On ne va pas refaire le match. L’important, c’est maintenant de sortir de cette affaire par le haut" ???
Ainsi, Dartigolles souffrirait d’amnésie. Aidons-le à comprendre ce qui s’est probablement passé en coulisses :
Le PS propose la 10ème place à la tête de liste du Front de Gauche, qui s’était engagée à démissionner et à le laisser siéger à sa place. C’est là le hic ! La 10ème place avait été proposée à la tête de liste mais la 11ème n’était pas réservée à Dartigolles. Ce qui veut dire que si elle laissait sa place, c’est un socialiste qui la prenait. Dartigolles se trouvait donc évincé.
Conclusion : Plutôt que de se réjouir d’avoir une élue communiste qui siège au conseil régional et faire une croix sur ses ambitions personnelles, Dartigolles a préféré deux places un peu plus hasardeuses (en 12ème et 13ème positions) pour s’assurer qu’après la démission de sa collègue, il atteindrait son but : siéger au Conseil Régional et pourquoi pas ? décrocher une vice-présidence.
Pas de chance pour lui, au second tour, la liste PS,EE,FDG a fait un score très en-deçà de ce qui était attendu. Lassalle et son Modem étaient en embuscade : micro-climat du département.
Les affaires se corsent pour Dartigolles aujourd’hui. C’est la presse locale qui en fait l’écho, et particulièrement La République des Pyrénées.
Le secrétaire départemental du PS a été visiblement agacé par Dartigolles et ses "fidèles" qui tentaient hier à la manif de collecter des signatures d’élus et de militants du PS pour demander la démission d’un élu PS afin de lui prendre la place.
Aujourd’hui le secrétaire du PS dénonce "la mauvaise foi" de Dartigolles et dévoile un scoop : "le PS a proposé la 10ème place sur la liste fusionnée à la tête de liste du Front de Gauche 64 - une place qui était à coup sûr éligible .
"Cette proposition a été refusé par Dartigolles", précise le représentant du PS !
Et d’ajouter : "Pourquoi ? La mauvaise foi et les intérêts personnels n’ont pas de place dans le combat mené pour préserver les acquis sociaux, etc..."
Dartigolles se prend une leçon par le secrétaire départemental du PS. Que croyez-vous qu’il répond ? "Les négociations se sont mal passées. Dès le départ j’ai trouvé que c’était compliqué". Il affirme ne pas savoir si, à un moment donné, une 10ème place a été proposée à sa liste. Et d’ajouter : "On ne va pas refaire le match. L’important, c’est maintenant de sortir de cette affaire par le haut" ???
Ainsi, Dartigolles souffrirait d’amnésie. Aidons-le à comprendre ce qui s’est probablement passé en coulisses :
Le PS propose la 10ème place à la tête de liste du Front de Gauche, qui s’était engagée à démissionner et à le laisser siéger à sa place. C’est là le hic ! La 10ème place avait été proposée à la tête de liste mais la 11ème n’était pas réservée à Dartigolles. Ce qui veut dire que si elle laissait sa place, c’est un socialiste qui la prenait. Dartigolles se trouvait donc évincé.
Conclusion : Plutôt que de se réjouir d’avoir une élue communiste qui siège au conseil régional et faire une croix sur ses ambitions personnelles, Dartigolles a préféré deux places un peu plus hasardeuses (en 12ème et 13ème positions) pour s’assurer qu’après la démission de sa collègue, il atteindrait son but : siéger au Conseil Régional et pourquoi pas ? décrocher une vice-présidence.
Pas de chance pour lui, au second tour, la liste PS,EE,FDG a fait un score très en-deçà de ce qui était attendu. Lassalle et son Modem étaient en embuscade : micro-climat du département.