EMMAÜS après les grèves : Les "Compagnons" abandonnés par le Monde du Travail...
4 avril 2010, 00:29, par François Pellarin
Tout à fait d’accord avec toi 86 51,mais cela ne donne en rien le droit aux responsables d’Emaüs de les traiter comme des chiens.Et,crois-moi,ils ne s’en privent pas.
Tout à fait d’accord avec toi 86 51,mais cela ne donne en rien le droit aux responsables d’Emaüs de les traiter comme des chiens.Et,crois-moi,ils ne s’en privent pas.