On doit ajouter un autre non : celui à l’Union européenne, dont l’application des directives a conduit —entre autres régressions sociales—un parlement français dominé par une majorité de gôôôche a abolir l’interdiction du travail de nuit des femmes dans l’industrie.
Devinez au nom de quoi s’est imposé cette "modernisation", soutenue par la CFDT et la gauche plurielle, qui a détruit une loi protectrice qui datait de 1892, année de la fondation de l’inspection du Travail : au nom de l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, pardi !
On doit ajouter un autre non : celui à l’Union européenne, dont l’application des directives a conduit —entre autres régressions sociales—un parlement français dominé par une majorité de gôôôche a abolir l’interdiction du travail de nuit des femmes dans l’industrie.
Devinez au nom de quoi s’est imposé cette "modernisation", soutenue par la CFDT et la gauche plurielle, qui a détruit une loi protectrice qui datait de 1892, année de la fondation de l’inspection du Travail : au nom de l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, pardi !
DESTRUCTION DE L’EUROPE PATRONALE ET CLERICALE