Le Service du Pouvoir, c’est à chaque instant dans cette télé pourrie dite publique, dont les ministres et autres perroquets de Sarkozy parasitent chaque émission autrefois intéressante, sans le moindre pluralisme bien sûr. Ils ont tellement la trouille qu’ils réduisent le direct au maximum au cas où. Tout est préparé pour nous manipuler comme des VRP vendeurs de casseroles. Pour la peur, un polar chaque soir, pour se distraire sainement se laver le cerveau des idées noires de la crise, les mêmes chansons débiles, individualistes comme le cinéma français actuel , les mêmes animateurs, les mêmes fantaisistes toute l’année, les mêmes conneries sirupeuses et pour finir toujours les mêmes grands sorciers, les Madame Irma déchiffrant avec le sourire et leur compétence de profs d’économie libérale leur boule de cristal,des guignols contredits chaque jour par la réalité, des chiens de garde aboyant au service de leur maître. C’est plus que l’ORTF, c’est la voix du grand inquisiteur, du grand communicateur, c’est la voix de nos libertés qui s’en vont.
Le Service du Pouvoir, c’est à chaque instant dans cette télé pourrie dite publique, dont les ministres et autres perroquets de Sarkozy parasitent chaque émission autrefois intéressante, sans le moindre pluralisme bien sûr. Ils ont tellement la trouille qu’ils réduisent le direct au maximum au cas où. Tout est préparé pour nous manipuler comme des VRP vendeurs de casseroles. Pour la peur, un polar chaque soir, pour se distraire sainement se laver le cerveau des idées noires de la crise, les mêmes chansons débiles, individualistes comme le cinéma français actuel , les mêmes animateurs, les mêmes fantaisistes toute l’année, les mêmes conneries sirupeuses et pour finir toujours les mêmes grands sorciers, les Madame Irma déchiffrant avec le sourire et leur compétence de profs d’économie libérale leur boule de cristal,des guignols contredits chaque jour par la réalité, des chiens de garde aboyant au service de leur maître. C’est plus que l’ORTF, c’est la voix du grand inquisiteur, du grand communicateur, c’est la voix de nos libertés qui s’en vont.