Les romanciers ont toujours été fascinés par l’invincibilité des riches élites dirigeantes du capitalisme
23 juin 2010, 11:31
Le salariat, c’est entre 85 et 90% de la population. Or, ceux qui veulent mener la politique des 5% les plus riches font 90% des voix aux élections. Et dans les 10% qui restent, une majorité joue la comédie pour occuper le terrain.
Au point que ceux qui auraient à la fois l’envie et la capacité de faire autre chose sont à 2% et lâchent la rampe, baissent la culotte, voire retournent la veste. Je parle de bientôt feu le pcf.
Il ne faut pas se faire d’illusions : à tout casser 10% de la population comprennent vraiment le film économique et social, dont 8% qui le dirigent et n’ont surtout pas intérêt à changer le scénario.
Les peuples sont cons, et ceux qui les gouvernent auraient tort de se gêner.
Je sais que c’est très mal vu de dire cela, pourtant, si on le disait plus souvent et plus fort, les peuples en question commenceraient peut-être à réfléchir (même si la probabilité est faible).
Le salariat, c’est entre 85 et 90% de la population. Or, ceux qui veulent mener la politique des 5% les plus riches font 90% des voix aux élections. Et dans les 10% qui restent, une majorité joue la comédie pour occuper le terrain.
Au point que ceux qui auraient à la fois l’envie et la capacité de faire autre chose sont à 2% et lâchent la rampe, baissent la culotte, voire retournent la veste. Je parle de bientôt feu le pcf.
Il ne faut pas se faire d’illusions : à tout casser 10% de la population comprennent vraiment le film économique et social, dont 8% qui le dirigent et n’ont surtout pas intérêt à changer le scénario.
Les peuples sont cons, et ceux qui les gouvernent auraient tort de se gêner.
Je sais que c’est très mal vu de dire cela, pourtant, si on le disait plus souvent et plus fort, les peuples en question commenceraient peut-être à réfléchir (même si la probabilité est faible).