Les romanciers ont toujours été fascinés par l’invincibilité des riches élites dirigeantes du capitalisme
23 juin 2010, 13:42
la conscience de classe, je l’ai, tu l’as, et combien sommes-nous à l’avoir ? Ce n’est pas une vraie question, desfois ? De celles auxquelles on ne peut pas répondre par des invocations en vase clos !
la conscience de classe, je l’ai, tu l’as, et combien sommes-nous à l’avoir ? Ce n’est pas une vraie question, desfois ? De celles auxquelles on ne peut pas répondre par des invocations en vase clos !