Aff. BETTENCOURT : Où l’on peut se souvenir que Liliane est la fille d’Eugène SCHUELLER
21 juillet 2010, 07:02, par Cop
les choses méritent toujours d’être répétées car si nous en avons entendements à certains moments de notre vie, l’essentiel de la classe est sous le pilonnage idéologique de la bourgeoisie.
Se saisir de cas devenu médiatique de mélange entre l’état, ses serviteurs et une faiseuse de "rois" de la bourgeoisie est une bonne chose pour l’entendement des masses.
Sans oublier de continuer le tir bien sur
Le circuit du pognon est édifiant et participe à l’éducation populaire, il convient donc de démontrer que cet argent manquant est celui qu’on retirera à la classe populaire et aux systèmes d’aide sociale, aux services publics.
Et cet argent c’est le travail, la production de richesses par les travailleurs qui est détournée.
Un système, le système capitaliste, est en cause, mais exprimé ainsi c’est insuffisant car c’est une classe qui est en cause, et ses individus.
La dénonciation du scandale permanent de la corruption bourgeoise, licite ou illicite, n’a de sens qu’en montrant que cet argent n’est pas une abstraction mais qu’il manque ailleurs.
Et c’est souvent ce lien qui manque. Une grande partie des gens trouve scandaleux le trop plein de fric mais ne font pas la relation avec la main qui plonge dans leur poche leur piquer le pognon.
Ce lien doit être établi qui pille les ressources sociales, les salaires, les retraites, les hôpitaux, les écoles, etc.
Le pognon pris manque là.
le personnel politique de la droite et d’une partie de la gauche participe activement à la lutte des classes du côté de la bourgeoisie. Ce personnel n’en fait pas une abstraction mais un travail réel et concret.
Au gouvernement ils accomplissent benoitement leurs tâches concrètes (transfert des richesses créées, des poches populaires vers les poches bourgeoises).
Ils font simplement les choses et s’offusquent qu’on trouve cela anormal. Ils sont là pour cela.
Mettre un coup de projecteur là dessus, sur la crudité des processus, permet d’aider à la comprehension des choses au plus grand nombre, de montrer que c’est bien là, comme un parrainage , mais à l’envers, qu’on ferme leur bureau de poste, leur hôpital de proximité (des dizaines de bureaux de poste ou quelques petits hôpitaux locaux au niveau subventions d’équilibre pour les 30 millions de bouclier fiscal d’une personne).
les choses méritent toujours d’être répétées car si nous en avons entendements à certains moments de notre vie, l’essentiel de la classe est sous le pilonnage idéologique de la bourgeoisie.
Se saisir de cas devenu médiatique de mélange entre l’état, ses serviteurs et une faiseuse de "rois" de la bourgeoisie est une bonne chose pour l’entendement des masses.
Sans oublier de continuer le tir bien sur
Le circuit du pognon est édifiant et participe à l’éducation populaire, il convient donc de démontrer que cet argent manquant est celui qu’on retirera à la classe populaire et aux systèmes d’aide sociale, aux services publics.
Et cet argent c’est le travail, la production de richesses par les travailleurs qui est détournée.
Un système, le système capitaliste, est en cause, mais exprimé ainsi c’est insuffisant car c’est une classe qui est en cause, et ses individus.
La dénonciation du scandale permanent de la corruption bourgeoise, licite ou illicite, n’a de sens qu’en montrant que cet argent n’est pas une abstraction mais qu’il manque ailleurs.
Et c’est souvent ce lien qui manque. Une grande partie des gens trouve scandaleux le trop plein de fric mais ne font pas la relation avec la main qui plonge dans leur poche leur piquer le pognon.
Ce lien doit être établi qui pille les ressources sociales, les salaires, les retraites, les hôpitaux, les écoles, etc.
Le pognon pris manque là.
le personnel politique de la droite et d’une partie de la gauche participe activement à la lutte des classes du côté de la bourgeoisie. Ce personnel n’en fait pas une abstraction mais un travail réel et concret.
Au gouvernement ils accomplissent benoitement leurs tâches concrètes (transfert des richesses créées, des poches populaires vers les poches bourgeoises).
Ils font simplement les choses et s’offusquent qu’on trouve cela anormal. Ils sont là pour cela.
Mettre un coup de projecteur là dessus, sur la crudité des processus, permet d’aider à la comprehension des choses au plus grand nombre, de montrer que c’est bien là, comme un parrainage , mais à l’envers, qu’on ferme leur bureau de poste, leur hôpital de proximité (des dizaines de bureaux de poste ou quelques petits hôpitaux locaux au niveau subventions d’équilibre pour les 30 millions de bouclier fiscal d’une personne).