Le sarkozysme est-il véritablement un authentique hélitreuillisme ? (zaz)
9 avril 2011, 13:18
On se demande pourquoi, oui, Gbagbo s’entête encore et ne veut plus décrocher, alors que la raison internationale lui enjoint de le faire selon une nécessité impérative validée par un max de bons points listés certains. De même, la France s’emploie-t-elle en ce sens, mais basta ! la France en elle-même c’est encore un autre cas.
–Oui Laurent c’est pas compliqué, ce serait en outre fairplay illico de te tirer.
–Laurent, pas fairplay, se tape de l’argument.
Il faut dire que le "tire-toi gentiment voyons Gbagbo", se double du cri de fond au moins de la juste populace et du peuple souverain : à savoir qu’il faut le faire partir de force le salaud, le galeux, le juger, l’immoler, l’écorcher vif s’il le faut, lui couper les couilles au minimum.
La France toujours d’une tête en avance dans la politique morale a jugé opportun de lui couper d’abord les vivres, lui geler les comptes en banque, pour s’illustrer en exemple aux yeux du monde entier.
Gbagbo dans ces conditions tire des roquettes sur notre ambassade, ça sert à rien mais ça le délasse énormément. C’est que Gbagbo a in se dans sa musettes d’intéressants contre-exemples. Est-ce que Mouammar se range lui à l’évidence ? Mouammar ne consent rien, il reste toujours en place. Moubarak qu’on veut juger maintenant sévèrement sur place, se demande s’il ne s’est pas faire avoir par excès d’humanisme en quittant un peu trop rapidement sa place.
Bon, bref, posons le dilemme, car c’est un dilemme et un cas de conscience ! : Dictateurs quittez la place on vous offre en contrepartie l’impunité totale !
–Mais c’est choquant, scandaleux, infect ! : On ne peut cautionner de facto par simple stratégie de pure commodité des assassins par ailleurs complètement prévaricateurs.
–Oui c’est embêtant, on le reconnaît. Mais dites-nous alors ce qu’il faut faire pour hâter les choses dans le bon sens ?
On se demande pourquoi, oui, Gbagbo s’entête encore et ne veut plus décrocher, alors que la raison internationale lui enjoint de le faire selon une nécessité impérative validée par un max de bons points listés certains. De même, la France s’emploie-t-elle en ce sens, mais basta ! la France en elle-même c’est encore un autre cas.
– Oui Laurent c’est pas compliqué, ce serait en outre fairplay illico de te tirer.
– Laurent, pas fairplay, se tape de l’argument.
Il faut dire que le "tire-toi gentiment voyons Gbagbo", se double du cri de fond au moins de la juste populace et du peuple souverain : à savoir qu’il faut le faire partir de force le salaud, le galeux, le juger, l’immoler, l’écorcher vif s’il le faut, lui couper les couilles au minimum.
La France toujours d’une tête en avance dans la politique morale a jugé opportun de lui couper d’abord les vivres, lui geler les comptes en banque, pour s’illustrer en exemple aux yeux du monde entier.
Gbagbo dans ces conditions tire des roquettes sur notre ambassade, ça sert à rien mais ça le délasse énormément. C’est que Gbagbo a in se dans sa musettes d’intéressants contre-exemples. Est-ce que Mouammar se range lui à l’évidence ? Mouammar ne consent rien, il reste toujours en place. Moubarak qu’on veut juger maintenant sévèrement sur place, se demande s’il ne s’est pas faire avoir par excès d’humanisme en quittant un peu trop rapidement sa place.
Bon, bref, posons le dilemme, car c’est un dilemme et un cas de conscience ! : Dictateurs quittez la place on vous offre en contrepartie l’impunité totale !
– Mais c’est choquant, scandaleux, infect ! : On ne peut cautionner de facto par simple stratégie de pure commodité des assassins par ailleurs complètement prévaricateurs.
– Oui c’est embêtant, on le reconnaît. Mais dites-nous alors ce qu’il faut faire pour hâter les choses dans le bon sens ?