Nafi-DSK, la face hors du tunnel mais pas encore la casquette (zaz)
14 juin 2011, 13:51
L’affaire DSK vue par le gros bout de l’inattendu tromblon américain a en réalité des vertus inestimées, que notre regard hexagonal était incapable spontanément de voir.
Nous devons énormément, il faut le dire, dans la finesse de notre nouvelle perception, à Ken Thompson le nouveau tenor-lawyer recruté par Nafissatou. Ce n’est pas pour rien qu’il est reconnu comme un tout premier ténor !
On a cru au début, mais cela lui a été reproché là-bas, que Ken allait faire de Dominique le vivant grand symbole de l’abomination que vivent les femmes depuis des milliers d’années : DSK était avant tout à punir fortement, lapider, crucifier, enfermer vivant longtemps, même eût-il été utile de lui cryogéniser les deux couilles comme beaucoup le demandent partout unanimement si justement.
On le lui a reproché. De ce côté, Ken a donc un peu modéré et peaufiné son intention directrice première. Sa version désormais plus banalisée est qu’il représente le preu chavalier du barreau et le faible-humble contre le fort, le riche ou le puissant et que tous les infâmes salauds qui ont du blé vont en entendre parler et en chier du ventricule.
Cet aspect nous avait échappé juridiquement, on ne savait pas que c’était ça la justice active à NY. Nous n’aurions jamais osé le dire nous, même en recevant le fouet ou même le knout. Mais politiquement en revanche tu penses si ça nous plait l’idée de l’écrasement du fort par la masse des petits, la justice prolétarienne quoi. Nous on ne vit que pour ça ! alors tu imagines. Dans le mouvement donc c’est tout à fait communiste, hourra ! hourra ! nous n’aurions jamais cru les Américains comme ça, ils cachent terriblement leur jeu ces foutus yankees.
Zdravstvuitye ! tovaritch Ken. Nous, tu penses, camarade, on boit du petit lait et même abondamment de la vodka, ça ne peut pas nous déplaire. Nous aimons donc beaucoup la justice américaine, de toute façon qu’est-ce qu’on peut déjà se marrer avec elle !
L’affaire DSK vue par le gros bout de l’inattendu tromblon américain a en réalité des vertus inestimées, que notre regard hexagonal était incapable spontanément de voir.
Nous devons énormément, il faut le dire, dans la finesse de notre nouvelle perception, à Ken Thompson le nouveau tenor-lawyer recruté par Nafissatou. Ce n’est pas pour rien qu’il est reconnu comme un tout premier ténor !
On a cru au début, mais cela lui a été reproché là-bas, que Ken allait faire de Dominique le vivant grand symbole de l’abomination que vivent les femmes depuis des milliers d’années : DSK était avant tout à punir fortement, lapider, crucifier, enfermer vivant longtemps, même eût-il été utile de lui cryogéniser les deux couilles comme beaucoup le demandent partout unanimement si justement.
On le lui a reproché. De ce côté, Ken a donc un peu modéré et peaufiné son intention directrice première. Sa version désormais plus banalisée est qu’il représente le preu chavalier du barreau et le faible-humble contre le fort, le riche ou le puissant et que tous les infâmes salauds qui ont du blé vont en entendre parler et en chier du ventricule.
Cet aspect nous avait échappé juridiquement, on ne savait pas que c’était ça la justice active à NY. Nous n’aurions jamais osé le dire nous, même en recevant le fouet ou même le knout. Mais politiquement en revanche tu penses si ça nous plait l’idée de l’écrasement du fort par la masse des petits, la justice prolétarienne quoi. Nous on ne vit que pour ça ! alors tu imagines. Dans le mouvement donc c’est tout à fait communiste, hourra ! hourra ! nous n’aurions jamais cru les Américains comme ça, ils cachent terriblement leur jeu ces foutus yankees.
Zdravstvuitye ! tovaritch Ken. Nous, tu penses, camarade, on boit du petit lait et même abondamment de la vodka, ça ne peut pas nous déplaire. Nous aimons donc beaucoup la justice américaine, de toute façon qu’est-ce qu’on peut déjà se marrer avec elle !