DSK, Nafi, Anne, Camille et nous : La grande scène de la réconciliation. La descente des champs ensuite ici (zaz)
14 juin 2011, 08:43
"L’affaire DSK remue la France de fond en comble" (La Tribune de genève)
"JUSTICE | L’affaire DSK révèle une tendance de fond. L’Hexagone règle sa montre à l’heure américaine.
"
"Depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, le plus américanophile des présidents de la Ve République, Paris règle sa montre à l’heure de Washington...."
[.........]
"Les Françaises se rebiffent"
« Nous sommes toutes des soubrettes ! » Tel était l’un des slogans de la manifestation féministe du dimanche 22 mai à Paris. Il s’agissait pour ces militantes du mouvement La Barbe de protester contre les réactions des politiciens qui accordaient la présomption d’innocence à Dominique Strauss-Kahn mais pas à la femme de chambre qui l’accuse. Les gauloiseries de banquets républicains font encore partie des us et coutumes de maints élus mâles.
Aux Etats-Unis, un tel comportement signifierait la mort politique subite de ceux qui tomberaient dans ce travers. Et la ministre française Valérie Pécresse de soupirer au Journal du Dimanche : « En politique, le corps des femmes est passé au crible. Le plus simple, c’est d’être en pantalon. » Mais les temps évoluent rapidement. Après l’arrestation de DSK, le ministre Georges Tron a dû démissionner du gouvernement à la suite des plaintes portées contre lui par deux de ses ex-subordonnées.
« Je crois que les femmes parleront désormais plus facilement des dragues appuyées et des tentatives d’agressions dont elles ont pu être victimes dans les catégories moyennes et élevées », estime la sociologue et ancienne élue socialiste Françoise Gaspard dans un récent numéro du Figaro Madame.
***************************
– ¤ C’est peut-être le problème concrètement philosophique et délicat de la double vérité :
Les femmes ont évidemment absolument raison, mais dans l’affaire DSK les humoristes aussi, peut-être. On notera qu’on ne les entend toutefois que peu de manière pertinente, car l’humour n’est rien s’il fait seulement rire !
"L’affaire DSK remue la France de fond en comble" (La Tribune de genève)
"JUSTICE | L’affaire DSK révèle une tendance de fond. L’Hexagone règle sa montre à l’heure américaine.
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"Depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, le plus américanophile des présidents de la Ve République, Paris règle sa montre à l’heure de Washington...."
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"Les Françaises se rebiffent"
« Nous sommes toutes des soubrettes ! » Tel était l’un des slogans de la manifestation féministe du dimanche 22 mai à Paris. Il s’agissait pour ces militantes du mouvement La Barbe de protester contre les réactions des politiciens qui accordaient la présomption d’innocence à Dominique Strauss-Kahn mais pas à la femme de chambre qui l’accuse. Les gauloiseries de banquets républicains font encore partie des us et coutumes de maints élus mâles.
Aux Etats-Unis, un tel comportement signifierait la mort politique subite de ceux qui tomberaient dans ce travers. Et la ministre française Valérie Pécresse de soupirer au Journal du Dimanche : « En politique, le corps des femmes est passé au crible. Le plus simple, c’est d’être en pantalon. » Mais les temps évoluent rapidement. Après l’arrestation de DSK, le ministre Georges Tron a dû démissionner du gouvernement à la suite des plaintes portées contre lui par deux de ses ex-subordonnées.
« Je crois que les femmes parleront désormais plus facilement des dragues appuyées et des tentatives d’agressions dont elles ont pu être victimes dans les catégories moyennes et élevées », estime la sociologue et ancienne élue socialiste Françoise Gaspard dans un récent numéro du Figaro Madame.
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– ¤ C’est peut-être le problème concrètement philosophique et délicat de la double vérité :
Les femmes ont évidemment absolument raison, mais dans l’affaire DSK les humoristes aussi, peut-être. On notera qu’on ne les entend toutefois que peu de manière pertinente, car l’humour n’est rien s’il fait seulement rire !