DSK (Nafi aussi) 20 06 2011. 38e jour de détention aux USA : Comme une odeur de forfaiture (zaz)
20 juin 2011, 14:11
L’ancien maire de New York, Rudolph Giuliani : "S’il est condamné, DSK risque de longues années de prison" (Le Post 19 juin 2011)
"Sur le traitement particulier réservé à DSK :"
"Il a été traité comme n’importe quel justiciable américain. (...) Un prétendant à la présidence italienne, un futur Premier ministre britannique ou un chancelier allemand auraient subi le même sort"...
******
– ¤ Allons bon ces Américains sont des fondus d’automythologie antique. C’est tout à fait sympathique ! l’Italie, la GB et l’Allemagne apprécieront. Cest très bon en outre le truc de la justice dans les relations internationales !
En plus ça se complique avec les Français : Non, ils ne seront pas fachés si DSK est condamné lourdement, non, ils ne seront pas fachés si DSK est condamné à tort, ils seront fachés à mort si DSK est condamné à juste raison, mais ça c’est sans doute très difficile à bien expliquer à des Yankees.
Vindiou ! parti comme c’est parti cette affaire on en a pour deux siècles.
L’ancien maire de New York, Rudolph Giuliani : "S’il est condamné, DSK risque de longues années de prison" (Le Post 19 juin 2011)
"Sur le traitement particulier réservé à DSK :"
"Il a été traité comme n’importe quel justiciable américain. (...) Un prétendant à la présidence italienne, un futur Premier ministre britannique ou un chancelier allemand auraient subi le même sort"...
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– ¤ Allons bon ces Américains sont des fondus d’automythologie antique. C’est tout à fait sympathique ! l’Italie, la GB et l’Allemagne apprécieront. Cest très bon en outre le truc de la justice dans les relations internationales !
En plus ça se complique avec les Français : Non, ils ne seront pas fachés si DSK est condamné lourdement, non, ils ne seront pas fachés si DSK est condamné à tort, ils seront fachés à mort si DSK est condamné à juste raison, mais ça c’est sans doute très difficile à bien expliquer à des Yankees.
Vindiou ! parti comme c’est parti cette affaire on en a pour deux siècles.