Nafi : 2e jour de semi-liberté pour DSK, joie ! Et un champ de cadavres (zaz)
3 juillet 2011, 10:01
NB : ce sera sans doute notre nouveau thème. Quelle que soit la cause, l’urgence et la passion, il n’est pas forcément bon de dire n’importe quoi !
En ce moment ce qui se passe au PS illustre les défaillances du parler individuel à tout prix.
La question est la suivante : si demain DSK revient en France pourra-t-il participer aux primaires socialistes ? La liste sera close en effet le 13 juillet, faut-il repousser l’ouverture de quelques jours ?
Eh bien, il y a déjà un ou deux énergumènes, qui ont pourtant notre estime habituelle, pour être allé sortir qu’ils ne voyaient pas pour leur part pourquoi quelque chose serait changée dans le calendrier.
Whao, whao, whao ! Ca fait fort !
Ségolène répond plus justement qu’elle ne voit aucun empêchement dans un aménagement répondant au cas DSK. Mais parce la parole est redondante et remplissante, elle éprouve le besoin pas compliqué d’ajouter : si DSK évidemment se porte bien candidat.
La presse n’a retenu que ça pour le répéter en boucle. Le propos de solide bon sens de Ségolène devient dans cet usage un propos dès lors presque idiot. Avec la presse on est toujours sûr d’en dire beaucoup de trop.
NB : ce sera sans doute notre nouveau thème. Quelle que soit la cause, l’urgence et la passion, il n’est pas forcément bon de dire n’importe quoi !
En ce moment ce qui se passe au PS illustre les défaillances du parler individuel à tout prix.
La question est la suivante : si demain DSK revient en France pourra-t-il participer aux primaires socialistes ? La liste sera close en effet le 13 juillet, faut-il repousser l’ouverture de quelques jours ?
Eh bien, il y a déjà un ou deux énergumènes, qui ont pourtant notre estime habituelle, pour être allé sortir qu’ils ne voyaient pas pour leur part pourquoi quelque chose serait changée dans le calendrier.
Whao, whao, whao ! Ca fait fort !
Ségolène répond plus justement qu’elle ne voit aucun empêchement dans un aménagement répondant au cas DSK. Mais parce la parole est redondante et remplissante, elle éprouve le besoin pas compliqué d’ajouter : si DSK évidemment se porte bien candidat.
La presse n’a retenu que ça pour le répéter en boucle. Le propos de solide bon sens de Ségolène devient dans cet usage un propos dès lors presque idiot. Avec la presse on est toujours sûr d’en dire beaucoup de trop.