Afghanistan : la mort des soldats français est une réponse aux bombardements...
16 juillet 2011, 07:58
Hélas c’est toujours comme toujours dans toutes les guerres. N’ayant vécu que celle d’Afrique du Nord et encore, bien qu’étant dans un régiment d’infanterie du contingent ce genre d’action était limitée car, enfants du peuple français, ils savaient que nous n’étions pas indifférends aux "abus de guerre" et que nous allions tous jouer tôt ou tard les journalistes.
Mais les horreurs étaient tellement fortes qu’en 2011 nous sommes encore incapables de regarder dans le rétroviseur ce que Nous avons réellement fait !
Aussi grave encore, avons nous digéré tout ce qu’il s’est passé pendant la dernière guerre ? Dans quelques villages encore les blessures restent fortes ! Ainsi ce petit village Landais dans lequel une enseignante venant d’une autre région découvre des faits de résistances méconnus et des morts pour ces faits. Elle pousse ses recherches et demande aux autorités de mettre en place un moyen de reconnaître ces gens de l’ombre morts pour défendre leur pays. Qu’arriva-t’ il ? Une levée de boucliers telle que les autorités du village ont du rengainer cette situation. Trop de blessures ravivées et pas forcément celles qu’on pourrait croire ...
Dans une guerre les horreurs pleuvent de partout mais les plus graves ne peuvent être jamais de la part de ceux qui n’ont rien pour se battre. Un petit séjour au Viet-Nam et la visite de quelques lieux soigneusement conservés est édifiant de ce point de vue !
Le coco 40
Hélas c’est toujours comme toujours dans toutes les guerres. N’ayant vécu que celle d’Afrique du Nord et encore, bien qu’étant dans un régiment d’infanterie du contingent ce genre d’action était limitée car, enfants du peuple français, ils savaient que nous n’étions pas indifférends aux "abus de guerre" et que nous allions tous jouer tôt ou tard les journalistes.
Mais les horreurs étaient tellement fortes qu’en 2011 nous sommes encore incapables de regarder dans le rétroviseur ce que Nous avons réellement fait !
Aussi grave encore, avons nous digéré tout ce qu’il s’est passé pendant la dernière guerre ? Dans quelques villages encore les blessures restent fortes ! Ainsi ce petit village Landais dans lequel une enseignante venant d’une autre région découvre des faits de résistances méconnus et des morts pour ces faits. Elle pousse ses recherches et demande aux autorités de mettre en place un moyen de reconnaître ces gens de l’ombre morts pour défendre leur pays. Qu’arriva-t’ il ? Une levée de boucliers telle que les autorités du village ont du rengainer cette situation. Trop de blessures ravivées et pas forcément celles qu’on pourrait croire ...
Dans une guerre les horreurs pleuvent de partout mais les plus graves ne peuvent être jamais de la part de ceux qui n’ont rien pour se battre. Un petit séjour au Viet-Nam et la visite de quelques lieux soigneusement conservés est édifiant de ce point de vue !
Le coco 40