GRECE :"M.MELENCHON, pourquoi mentir ? Vous avez armé le bras des étrangleurs !"
22 juillet 2011, 14:27, par richard PALAO
L.O s’est abstenu lors du traité de MAASTRICHT et aujourdhui le NPA déclare que la "bonne echelle" pour régler la crise , c’est l’europe ...il s’agit d’un constante chez les trotskystes qui continuent d’opposer internationalisme et les mouvements n ationaux , alors que les deux sont complémentaires .
Il n’existe pas en europe d’organisation capable de fédérer les luttes des travailleurs sur des bases de classe : la CES est réformiste et le PGE social-démocrate, les deux acceptent et évoluent à l’intérieur des structures et de des institutions de l’europe capitaliste .
Alors faut-il attendre l’arme au pied qu’une organisation révolutionnaire européenne existe pour engager des luttes en FRANCE contre la crise ?
La FRANCE a toujours été à l’avant garde et a souvent servi d’exemple aux autres peuples : 1789 ; la commune ; 1936, la résistance, mai 68 ...et même avec un mouvement ouvrier amoindri nous avons la possibilité de réaliser des avancées dans notre pays sans attendre que les travailleurs européens soient au même niveau de combativité , je citerais pour l’exemple : la défense de la sécu( retraite et maladie) le partage des richesses , la défense des services publics le chomage , autant de problèmes pour que des luttes puissent être engagées en FRANCE et obtenir des succès sans attendre le feu vert de l europe ...
Dans les faits attendre des solutions à la crise " à l échelle européenne" revient à laisser faire en FRANCE et donc "tirer" toute l europe vers le bas .
Alors je veux bien être traité de nationaliste , si celà veut dire lutter dès à présent partout ou cela est possible sans attendre le grand soir des travailleurs européens .
L.O s’est abstenu lors du traité de MAASTRICHT et aujourdhui le NPA déclare que la "bonne echelle" pour régler la crise , c’est l’europe ...il s’agit d’un constante chez les trotskystes qui continuent d’opposer internationalisme et les mouvements n ationaux , alors que les deux sont complémentaires .
Il n’existe pas en europe d’organisation capable de fédérer les luttes des travailleurs sur des bases de classe : la CES est réformiste et le PGE social-démocrate, les deux acceptent et évoluent à l’intérieur des structures et de des institutions de l’europe capitaliste .
Alors faut-il attendre l’arme au pied qu’une organisation révolutionnaire européenne existe pour engager des luttes en FRANCE contre la crise ?
La FRANCE a toujours été à l’avant garde et a souvent servi d’exemple aux autres peuples : 1789 ; la commune ; 1936, la résistance, mai 68 ...et même avec un mouvement ouvrier amoindri nous avons la possibilité de réaliser des avancées dans notre pays sans attendre que les travailleurs européens soient au même niveau de combativité , je citerais pour l’exemple : la défense de la sécu( retraite et maladie) le partage des richesses , la défense des services publics le chomage , autant de problèmes pour que des luttes puissent être engagées en FRANCE et obtenir des succès sans attendre le feu vert de l europe ...
Dans les faits attendre des solutions à la crise " à l échelle européenne" revient à laisser faire en FRANCE et donc "tirer" toute l europe vers le bas .
Alors je veux bien être traité de nationaliste , si celà veut dire lutter dès à présent partout ou cela est possible sans attendre le grand soir des travailleurs européens .