Et les questions posées, bien que je pense qu’elles ne grattent pas au fond, touchent une petite couche sociale assez incestueuse, à tu et à toi, alors qu’elle est violente et expédiée par ailleurs sur la relation hierarchiste qu’elle entretient avec des simples militants ou personnes qui sont rudoyées quand elles n’obeissent pas, ne se couchent pas avec célérité devant les chefs.
De ce point de vue parcellaire qui ne saurait discerner l’ensemble de la réalité des choix et des actes des personnes, il y a un continum commun dans une grande partie des politiciens qui a des relations aimables, voir très aimables entre eux, et d’un autre côté une brutalité confirmée de nombreuses fois et même su ce site.
Il y a là quelque chose qui interpelle.
Et qui ne peut être écarté au motif qu’il ne faut pas tomber dans la critique facile du "tous pourris".
On a là quand même quelques problèmes de la transition et du socialisme qui se posent.
Comme diraient le meilleur des anars la pensée autoritaire domine une partie de la gauche, et de ce point de vue JLM en est un des représentants. Mais cela ne vient pas de nulle part mais de vieilles habitudes, longuement construites, avec le huilage d’avantages matériels et le copinage, qui font qu’une couche sociale spécifique émerge.
Cette couche vit des relations entre les institutions de l’état bourgeois et la classe populaire.
Hummmm,
Ben non.
Personne ne pense que JLM c’est Guaino.
Et les questions posées, bien que je pense qu’elles ne grattent pas au fond, touchent une petite couche sociale assez incestueuse, à tu et à toi, alors qu’elle est violente et expédiée par ailleurs sur la relation hierarchiste qu’elle entretient avec des simples militants ou personnes qui sont rudoyées quand elles n’obeissent pas, ne se couchent pas avec célérité devant les chefs.
De ce point de vue parcellaire qui ne saurait discerner l’ensemble de la réalité des choix et des actes des personnes, il y a un continum commun dans une grande partie des politiciens qui a des relations aimables, voir très aimables entre eux, et d’un autre côté une brutalité confirmée de nombreuses fois et même su ce site.
Il y a là quelque chose qui interpelle.
Et qui ne peut être écarté au motif qu’il ne faut pas tomber dans la critique facile du "tous pourris".
On a là quand même quelques problèmes de la transition et du socialisme qui se posent.
Comme diraient le meilleur des anars la pensée autoritaire domine une partie de la gauche, et de ce point de vue JLM en est un des représentants. Mais cela ne vient pas de nulle part mais de vieilles habitudes, longuement construites, avec le huilage d’avantages matériels et le copinage, qui font qu’une couche sociale spécifique émerge.
Cette couche vit des relations entre les institutions de l’état bourgeois et la classe populaire.