Accueil > ... > Forum 479313

FRALIB "pas un boulon ne sortira de l’usine" ! C’est maintenant.

11 mai 2012, 17:12, par A.C

..Surtout que depuis...’il ya quelques semaines, Hollande a été des plus clairs..

C’est ce côté toujours" pressé" des salariés qui m’énerve !

il ya quelques semaines, Hollande a été des plus clairs..!!

http://videos.leparisien.fr/video/ce23f832e77s.html

Merde, il est même pas encore à l’ELYSEE, le Président du peuple de Gôôche,...et voilà que ça "s’agite" !

Attendez un peu,patience, patience.......

C’est quoi cette opération "commando" ?

Putain, et l’électorat de Bayrou, et les législatives, et les Agences DE notation, et le cours de l’EURO, vous les FRALIB vous vous en "tapez" ?
Remarquez, chacun voit midi à sa porte.
Mon grand père , pareil !
En 1936, l’a eu un coup de sang !!

Le coco était nerveux, alors..

et pof..on t’occupe icii, on t’occupe là,un lendemain d’élections DEMOCRATIQUES, Zet REPUBLICAINES, CITOYENNES !!

bref...
C’est pas parce qu’on est en mai pour qu’on profite du "Temps des Cerises" en oubliant de penser ...aux noyaux pour tripes fragiles de ceux qui pensaient picorer les"voix" ..avec du temps de grâce pour se mettre au turf !

Oui, François, ON a viré SARKO et tant mieux..

Alors, aux actes !

MAINTENANT..!!


rappel
article HUma

Les Fralib réoccupent l’usine de Gémenos
Mots clés : justice, marseille, lutte, front de gauche, syndicats, emplois, entreprise, fralib, unilever, gémenos,

Des salariés de Fralib (groupe Unilever) en lutte depuis 592 jours pour le maintien de l’usine de thé et d’infusions Elephant, à Gémenos (Bouches-du-Rhône), ont réoccupé le site vendredi matin.

"Ce matin on a mis dehors, de façon pacifique, l’entreprise de sécurité qui gardait les lieux et on a repris possession de l’usine", a déclaré Olivier Leberquier, délégué de la CGT, alors que les accès au site étaient contrôlés depuis plusieurs mois par des vigiles. La direction d’Unilever France a cependant dénoncé "un coup de force" contre lequel elle déposera plainte.

Cette action intervient au 592e jour du conflit, après que le tribunal de grande instance de Marseille a validé, en avril, le troisième plan de sauvegarde de l’emploi mis en place pour accompagner la fermeture de l’usine de Gémenos, la seule en France à produire les thés et infusions de la marque Elephant. La CGT a fait appel, les deux premiers PSE ayant été invalidés par la justice.

La direction a proposé un emploi dans une autre usine Unilever en France à chacun des 103 salariés qui luttent encore pour maintenir l’activité sur le site, sur les 182 employés initiaux. Pour ceux qui veulent rester en Provence, des mesures d’accompagnement sont proposées avec notamment 12 mois de congés de reclassement à 75% du salaire (15 mois pour les plus de 50 ans). Début mars, Unilever a aussi augmenté de 50% le budget de revitalisation économique du bassin d’emploi, portant ce montant à 1,5 million d’euros.

La CGT, qui fait valoir des engagements reçus de François Hollande (PS), avant son élection à la présidence de la République, pour mettre en oeuvre un projet alternatif de reprise du site, veut maintenir l’outil de travail et réclame une nouvelle table ronde avec les autorités locales sur l’avenir de l’usine. Mais environ 80 des 103 salariés concernés ont reçu leur lettre de licenciement. Et la direction a écrit à la CGT pour lui proposer de déménager son local à l’extérieur de l’entreprise, ou d’en organiser l’accès sous escorte, afin de pouvoir préparer le vidage des lieux en toute sécurité, ce qui a déclenché l’action du syndicat.

"Nous ne nous posons plus la question de savoir si la préfecture est intervenue auprès d’Unilever pour exiger des dirigeants qu’ils ne touchent pas aux machines. De toute évidence, la multinationale ne veut pas laisser au prochain gouvernement le temps de se saisir de ce dossier", a affirmé Olivier Leberquier.

Et si ce n’est déjà fait :

http://www.lapetition.be/en-ligne/Pour-le-maintien-de-l-emploi-industriel-et-de-l-activite-a-FRALIB-Gemenos-8938.html