Communiqué suite à la demande de soutien de M. Wamen, candidat communiste.
27 mai 2012, 13:26, par joël
En attendant, je trouve gonflé que l’Humanité-Dimanche ose écrire en couverture que les ouvriers (0%) et employés (1%) ne sont pas représentés à l’Assemblée Nationale : je serais curieux de savoir où en est notre désormais pseudo parti des travailleurs dans lequel j’ai malgré tout encore un pied jusqu’au prochain et dernier congrès, au niveau des candidatures du Front de Gauche dans ce domaine. Je préfère un ou une prof défendant une ligne de classe, qu’un ancien prolo embourgeoisé (tout le contraire d’un Gremetz viré) comme nos directions en ont produit pour dissimuler ses roses desseins.
A Bellaciao, on peut s’exprimer, dans l’Humanité, ce n’est pas la peine d’espérer un tant soit peu de pluralisme y compris dans l’expression journalistique : il n’y a plus de marxistes à la rédaction, et les vieux éditorialistes pseudo radicaux qu’on nous ressort sont et ont été parties prenantes de tous les renoncements de ce groupe de presse qui n’ose plus avouer son tournant idéologique.
Pour terminer, quand on voit les candidatures Front de Gauche en Seine-Saint Denis, on se demande où sont passés les Communistes : on y voit des bandits opportunistes élus avec de voix communistes, partir, puis revenir par un soupirail sous une autre étiquette.
Armons-nous de patience, les mauvais jours finiront par finir.
En attendant, je trouve gonflé que l’Humanité-Dimanche ose écrire en couverture que les ouvriers (0%) et employés (1%) ne sont pas représentés à l’Assemblée Nationale : je serais curieux de savoir où en est notre désormais pseudo parti des travailleurs dans lequel j’ai malgré tout encore un pied jusqu’au prochain et dernier congrès, au niveau des candidatures du Front de Gauche dans ce domaine. Je préfère un ou une prof défendant une ligne de classe, qu’un ancien prolo embourgeoisé (tout le contraire d’un Gremetz viré) comme nos directions en ont produit pour dissimuler ses roses desseins.
A Bellaciao, on peut s’exprimer, dans l’Humanité, ce n’est pas la peine d’espérer un tant soit peu de pluralisme y compris dans l’expression journalistique : il n’y a plus de marxistes à la rédaction, et les vieux éditorialistes pseudo radicaux qu’on nous ressort sont et ont été parties prenantes de tous les renoncements de ce groupe de presse qui n’ose plus avouer son tournant idéologique.
Pour terminer, quand on voit les candidatures Front de Gauche en Seine-Saint Denis, on se demande où sont passés les Communistes : on y voit des bandits opportunistes élus avec de voix communistes, partir, puis revenir par un soupirail sous une autre étiquette.
Armons-nous de patience, les mauvais jours finiront par finir.