Ils ont raté Castro des centaines de fois, donc, c’est pas eux.
Il faudrait quand même comptabiliser les bavures anti-journalistes depuis le début de la guerre et les rapprocher des avertissement d’un porte-parole US qui promettait le fer et le feu aux journalistes travaillant sans l’Armée en martelant : "je pèse mes mots".
Les tireurs "étaient des soldats novices et effrayés" (sic). Mais alors, que faisaient-ils là ? Pourquoi les patrouilles trouillardes ne tirent-elles jamais par erreur sur les voitures des hommes d’affaires, diplomates, industriels, financiers, politiciens ? Par quel mystère les journalistes non embedded attirent-ils régulièrement les balles ?
Elle est vivante, donc ils sont innocents ! Sauf que la balle qui aurait dû atteindre sa tête a été interceptée par une autre tête et que, après des centaines de balles tirées, elle aurait dû être morte. Elle a été simplement touché. Pas au bon endroit. Donc, c’est un accident ?
Faire disparaître les traces ? Mais la tentative de liquidation a été suivie en direct de Rome via les téléphones cellulaires. C’était impossible.
Restait la fable de l’erreur, toujours la même, toujours ressortie. Toujours gobée ?
Reste le recours au mensonge impudent : "la voiture roulait trop vite, elle n’a pas répondu aux sommations..."
Reste que tous les journalistes du monde (sauf les porte-plumes de Bush) ont compris la leçon : l’information sur l’Irak est chasse gardée.
Maxime Vivas
PS. Je vous invite aussi à voir comment l’otage Al Joundi (compagnon de Chesnot et Malbrunot), retrouvé par l’Armée US dans une maison abandonnée de Falloujah a été arrêté, torturé . Alors que l’Ambassade de France le réclamait, ils l’ont relâché au bout d’une semaine dans une rue, à moitié vêtu, sans papiers et après le couvre-feu. Y voir, comme je le fais, quelque machiavélisme relève de l’anti-américanisme primaire.
Elle est vivante, donc ils sont innocents !
Ils ont raté Castro des centaines de fois, donc, c’est pas eux.
Il faudrait quand même comptabiliser les bavures anti-journalistes depuis le début de la guerre et les rapprocher des avertissement d’un porte-parole US qui promettait le fer et le feu aux journalistes travaillant sans l’Armée en martelant : "je pèse mes mots".
Les tireurs "étaient des soldats novices et effrayés" (sic). Mais alors, que faisaient-ils là ? Pourquoi les patrouilles trouillardes ne tirent-elles jamais par erreur sur les voitures des hommes d’affaires, diplomates, industriels, financiers, politiciens ? Par quel mystère les journalistes non embedded attirent-ils régulièrement les balles ?
Elle est vivante, donc ils sont innocents ! Sauf que la balle qui aurait dû atteindre sa tête a été interceptée par une autre tête et que, après des centaines de balles tirées, elle aurait dû être morte. Elle a été simplement touché. Pas au bon endroit. Donc, c’est un accident ?
Faire disparaître les traces ? Mais la tentative de liquidation a été suivie en direct de Rome via les téléphones cellulaires. C’était impossible.
Restait la fable de l’erreur, toujours la même, toujours ressortie. Toujours gobée ?
Reste le recours au mensonge impudent : "la voiture roulait trop vite, elle n’a pas répondu aux sommations..."
Reste que tous les journalistes du monde (sauf les porte-plumes de Bush) ont compris la leçon : l’information sur l’Irak est chasse gardée.
Maxime Vivas
PS. Je vous invite aussi à voir comment l’otage Al Joundi (compagnon de Chesnot et Malbrunot), retrouvé par l’Armée US dans une maison abandonnée de Falloujah a été arrêté, torturé . Alors que l’Ambassade de France le réclamait, ils l’ont relâché au bout d’une semaine dans une rue, à moitié vêtu, sans papiers et après le couvre-feu. Y voir, comme je le fais, quelque machiavélisme relève de l’anti-américanisme primaire.