15 000 manifestants pour le rapprochement des prisonniers basques
12 novembre 2012, 22:55, par Paco NPA
Sachons raison garder... Face aux propos provocateurs d’un LBL...
Le combat contre la dictature fut l’oeuvre de tout le mouvement ouvrier et populaire, tous les militant(e)s qui ont participé à ce combat méritent le respect et la reconnaissance quelle que soit l’organisation à laquelle ils ont appartenu (PCE, ETA, LCR, PT, ORT, BR et tous les autres...)
Toutes à proportion de leurs forces ont payé un lourd tribu.
Disons que ce fut... La Estaca... On a tous tiré dans un sens... Et elle est tombée... pas assez bas, pas jusqu’au bout, malheureusement... Mais, elle est tombée quand même...
Maintenant, pour revenir à cette discussion, les comparaisons d’AC me semblent pertinentes (les tondues, les viols, les exécutions sommaires de quatrièmes couteaux voire d’innocents...).
Ce n’est pas une raison pour ne pas les dénoncer car ces actes sont inacceptables et salissent la cause au nom de laquelle ils ont été commis où de laquelle on s’est servi comme prétexte.
Le problème avec ETA, depuis de nombreuses années, c’est que ce ne sont pas des "bavures" mais que c’est devenu un système.
Qu’il y a eu une rupture qualitative dans la ligne politique et les actes (la socialisation de la douleur...).
Et qu’il est normal que ceux qui se réclament du mouvement ouvrier s’en mêlent (pour prendre une image, le stalinisme cela ne regardait pas que... les staliniens...).
L’on peut exiger la libération de tous les prisonniers basques (ce qui est ma position) et être sans complaisance envers ce que ETA est devenue.
C’est d’ailleurs peut-être une bonne façon (qui sait la seule) de rendre hommage a ce que fut l’ETA.
Et de briser le sinistre miroir que se renvoie ETA et les héritiers du franquisme sur la "continuité" de l’ETA.
Les fameux plus de 800 morts depuis sa création...
Et bien non. J’ai bu le champagne quand Carrero a volé, j’ai eu la nausée quand j’ai appris l’attentat d’hypercore et autres bombinettes placées a proximité de plages andalouses.
Parce que le socialisme de demain, il se construit aussi avec les méthodes d’aujourd’hui.
Sachons raison garder... Face aux propos provocateurs d’un LBL...
Le combat contre la dictature fut l’oeuvre de tout le mouvement ouvrier et populaire, tous les militant(e)s qui ont participé à ce combat méritent le respect et la reconnaissance quelle que soit l’organisation à laquelle ils ont appartenu (PCE, ETA, LCR, PT, ORT, BR et tous les autres...)
Toutes à proportion de leurs forces ont payé un lourd tribu.
Disons que ce fut... La Estaca... On a tous tiré dans un sens... Et elle est tombée... pas assez bas, pas jusqu’au bout, malheureusement... Mais, elle est tombée quand même...
Maintenant, pour revenir à cette discussion, les comparaisons d’AC me semblent pertinentes (les tondues, les viols, les exécutions sommaires de quatrièmes couteaux voire d’innocents...).
Ce n’est pas une raison pour ne pas les dénoncer car ces actes sont inacceptables et salissent la cause au nom de laquelle ils ont été commis où de laquelle on s’est servi comme prétexte.
Le problème avec ETA, depuis de nombreuses années, c’est que ce ne sont pas des "bavures" mais que c’est devenu un système.
Qu’il y a eu une rupture qualitative dans la ligne politique et les actes (la socialisation de la douleur...).
Et qu’il est normal que ceux qui se réclament du mouvement ouvrier s’en mêlent (pour prendre une image, le stalinisme cela ne regardait pas que... les staliniens...).
L’on peut exiger la libération de tous les prisonniers basques (ce qui est ma position) et être sans complaisance envers ce que ETA est devenue.
C’est d’ailleurs peut-être une bonne façon (qui sait la seule) de rendre hommage a ce que fut l’ETA.
Et de briser le sinistre miroir que se renvoie ETA et les héritiers du franquisme sur la "continuité" de l’ETA.
Les fameux plus de 800 morts depuis sa création...
Et bien non. J’ai bu le champagne quand Carrero a volé, j’ai eu la nausée quand j’ai appris l’attentat d’hypercore et autres bombinettes placées a proximité de plages andalouses.
Parce que le socialisme de demain, il se construit aussi avec les méthodes d’aujourd’hui.
paco