13 et 14 novembre, migration de Vincennes en Languedoc-Roussillon
6 novembre 2014, 17:01
Le Languedoc-Roussillon c’est aussi la convergence, des saloperies, organisée par le bureau confédéral et ses larbins du comité régional et l’UD du Gard, pour se débarrasser de l’UL CGT du bassin alésien, allant jusqu’à mettre en doute la probité et l’honnêteté des camarades, bafouant les orientations de la CGT et ses statuts.
Leur tentative d’organiser un congrès sur la ligne réformiste de la direction confédérale a échoué.
Depuis, le maitre d’œuvre de cette magouille politique, Philippe LATTAUD, secrétaire confédéral en charge "des règles de vie dans la CGT" (un comble) a disparu du paysage cévenol.
N’en déplaise au secrétaire général de la CGT, c’est "ça la ligne LEPAON " : se débarrasser des structures résolument sur des positions de classe, au profit d’un syndicalisme d’accompagnement du capitalisme .
Les 13 et 14 novembre Lepaon sera dans son jus avec les membres du CESER du groupe CGT, dont le président " trouvait anormal que la CGT soient en phase avec le MEDEF " cela faussant la réalité auprès des élus au conseil régional.
Est-ce que les 2 membres à la CE confédérale de l’UD du Gard ont fait un compte-rendu objectif du congrès de l’UD ?
A savoir des syndicats et mandats fantômes soit disant présents au congrès.
Ont-ils informé le congrès sur l’encaissement (illégal) de 3700 euros lors de la dévolution des biens du CE de Call Expert ?
Mais bon, comme pour lepaon, tout cela se passe à " l’insu de leur plein gré ".
Dans le cadre de la campagne électorale des élections dans la fonction publique les syndicats CGT du Grand Lyon n’ont pas souhaité la présence de Lepaon à l’hôtel communautaire de la communauté urbaine de Lyon. Et ils ont eu raison, car le président socialiste de la communauté aurait, comme son ami Valls au MEDEF, saisi cette occasion de reprendre les propos de Lepaon au" nouvel économiste".
Aujourd’hui à 13h30, les salariés du Grand Lyon étaient plus de 1000 devant l’hôtel communautaire, et ce n’est pas les lacrymos des CRS qui les ont fait reculer. Ce n’est pas les circonvolutions bureaucratiques de la direction confédérale qui vont freiner leurs luttes.
Le Languedoc-Roussillon c’est aussi la convergence, des saloperies, organisée par le bureau confédéral et ses larbins du comité régional et l’UD du Gard, pour se débarrasser de l’UL CGT du bassin alésien, allant jusqu’à mettre en doute la probité et l’honnêteté des camarades, bafouant les orientations de la CGT et ses statuts.
Leur tentative d’organiser un congrès sur la ligne réformiste de la direction confédérale a échoué.
Depuis, le maitre d’œuvre de cette magouille politique, Philippe LATTAUD, secrétaire confédéral en charge "des règles de vie dans la CGT" (un comble) a disparu du paysage cévenol.
N’en déplaise au secrétaire général de la CGT, c’est "ça la ligne LEPAON " : se débarrasser des structures résolument sur des positions de classe, au profit d’un syndicalisme d’accompagnement du capitalisme .
Les 13 et 14 novembre Lepaon sera dans son jus avec les membres du CESER du groupe CGT, dont le président " trouvait anormal que la CGT soient en phase avec le MEDEF " cela faussant la réalité auprès des élus au conseil régional.
Est-ce que les 2 membres à la CE confédérale de l’UD du Gard ont fait un compte-rendu objectif du congrès de l’UD ?
A savoir des syndicats et mandats fantômes soit disant présents au congrès.
Ont-ils informé le congrès sur l’encaissement (illégal) de 3700 euros lors de la dévolution des biens du CE de Call Expert ?
Mais bon, comme pour lepaon, tout cela se passe à " l’insu de leur plein gré ".
Dans le cadre de la campagne électorale des élections dans la fonction publique les syndicats CGT du Grand Lyon n’ont pas souhaité la présence de Lepaon à l’hôtel communautaire de la communauté urbaine de Lyon. Et ils ont eu raison, car le président socialiste de la communauté aurait, comme son ami Valls au MEDEF, saisi cette occasion de reprendre les propos de Lepaon au" nouvel économiste".
Aujourd’hui à 13h30, les salariés du Grand Lyon étaient plus de 1000 devant l’hôtel communautaire, et ce n’est pas les lacrymos des CRS qui les ont fait reculer. Ce n’est pas les circonvolutions bureaucratiques de la direction confédérale qui vont freiner leurs luttes.
LR