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DETTE, TOUT EST QUESTION D’INTERPRÉTATION !

14 février 2015, 18:21, par Alain Chancogne

Je pense que ce serait une erreur de se diviser là-dessus

Je ne crois pas que ce débat DIVISE

Il permet, de mieux approfondir la notion de"RUPTURE"

Car vois tu, toujours selon moi, le Capital SAIT que d toutes façons, les"DETTES" ne seront pas réglées.

C’est IMPOSSIBLE !

sur ce coup, je partage donc le point de vue qu’exposait POUTOU en 2012

les dettes publiques sont illégitimes ! Rien ne justifie le remboursement de dettes dues à une politique fiscale aboutissant à des recettes moindres, à des dépenses élevées ayant le caractère de cadeau fait au capital.
Sans les mesures de baisse des impôts, notamment pour les plus riches , la dette serait bien moindre. Sans les cadeaux fiscaux, le budget aurait connu un léger excédent en 2006, 2007 et 2008 et, du fait de la crise, le déficit n’aurait été que de 3,3 % du PIB au lieu de 7,5 % en 2009.
Des milliards ont été offerts aux plus riches et aux banques ces dernières années : le taux le plus élevé de l’impôt sur le revenu est passé de 65 % en 1982 à 41 % en 2011, l’impôt sur les sociétés a vu son taux de droit commun passer de 50 % à 33,3 %, et le taux effectif d’imposition des entreprises est de 8 % pour les entreprises du CAC 40, de 22 % pour les PME et de 28 % pour les très petites entreprises, les exonérations de cotisations patronales de Sécurité sociale pèsent sur les finances de la Sécurité sociale et de l’État . Il faut y ajouter diverses niches fiscales qui bénéficient avant tout aux plus riches comme les mesures en faveur des personnes qui investissent dans les DOM-TOM.
La quasi-totalité de la dette publique a donc vocation à être annulée. Ce serait une des premières tâches d’un gouvernement des travailleurs afin de pouvoir mettre en œuvre une politique au service de la population sans avoir à subir le coût de l’héritage du passé.

Il ajoutait

Les banques devraient être saisies et socialisées, devenir propriété publique, et placées sous le contrôle de la population. Les intérêts des petits déposants seraient bien sûr intégralement garantis, tout comme les économies, en produits d’assurance-vie par exemple, des simples salariés, des travailleurs indépendants et des retraités.
Il faudrait constituer un service public financier, qui serait un monopole, et assurerait les fonctions de crédit et de collecte de l’épargne, les investissements, pour développer l’économie et améliorer la vie sociale.

J’ai par contre expliqué selon moi, lee non sens de cette mesure d’audit !

faut donc soumettre la dette publique à un « audit », un examen populaire, pour porter un jugement sur son origine et dans le même temps, se battre pour que soit décrétée une suspension immédiate des paiements de la dette existante »

Car dire qu’il y aurait là un moyen avec cet"audit".. "pour porter un jugement sur son origine "....alors que dix lignes avant, il argumente fort justement sur les raisons de non remboursement, cela n’est pas très cohérent

A mon humble avis