J’ai envie d’écrire, que la grande illusion continue pour ceux persuadés que l’on peut changer les hommes mais surtout pas le fondamental de l’ordre établi et ainsi se substituerait à la devise de nos aïeux au fronton de la République cette nouvelle donne depuis des dizaines d’années : On ne touche pas à mon fric !
J’ai envie d’écrire, que la grande illusion continue pour ceux persuadés que l’on peut changer les hommes mais surtout pas le fondamental de l’ordre établi et ainsi se substituerait à la devise de nos aïeux au fronton de la République cette nouvelle donne depuis des dizaines d’années : On ne touche pas à mon fric !