En effet, ce n’est pas en Grande Bretagne qu’on trouve le plus de policiers « fous-de-la-gâchette ». Beaucoup d’entre eux ne portent pas d’arme à feu sur eux et cela évite bien des bavures irréversibles comme on en connaît par ici.
D’autre part, au Royaume Uni, la peine de mort pour homicide a été abolie le 18 décembre 1969 et les dernières exécutions remontent au 13 août 1964, lorsque deux hommes ont été exécutés pour homicide.
En France, comme chacun le sait, la peine de mort a été abolie en 1981 (c’est-à-dire 12 ans plus tard) et la dernière personne à avoir été guillotinée en France l’a été le 10 septembre 1977 (=13 ans plus tard).
Alors il est injuste de montrer du doigt l’ensemble de la Grande Bretagne quand nous n’avons pas un palmarès plus glorieux.
Certes, le cas du jeune brésilien exécuté par un groupe de policiers est scandaleux en soi mais on ne peut généraliser à partir de là.
En revanche, cette chasse aux « terroristes islamiques » risque fort de générer dans tous les pays occidentaux un regain de violences sur la base du faciès qui n’augure rien de bon pour la paix entre les peuples, intra et extra muros.
Et cela veut dire : dénonciations, harcèlement, arrestations arbitraires, incarcérations, enfermement dans des camps, expulsions, voire autres exécutions sommaires.
La France, hélas, ne sera pas en reste.
A qui profite le crime ?
Et si tous les humanistes sur cette terre s’unissaient pour faire cesser ces manoeuvres arbitraires et liberticides orchestrées par les gouvernements pour justifier d’exactions envers des populations entières et détourner l’attention des citoyens sur leur propre misère et leur aliénation à l’idéologie ultra-libérale ?
En effet, ce n’est pas en Grande Bretagne qu’on trouve le plus de policiers « fous-de-la-gâchette ». Beaucoup d’entre eux ne portent pas d’arme à feu sur eux et cela évite bien des bavures irréversibles comme on en connaît par ici.
D’autre part, au Royaume Uni, la peine de mort pour homicide a été abolie le 18 décembre 1969 et les dernières exécutions remontent au 13 août 1964, lorsque deux hommes ont été exécutés pour homicide.
En France, comme chacun le sait, la peine de mort a été abolie en 1981 (c’est-à-dire 12 ans plus tard) et la dernière personne à avoir été guillotinée en France l’a été le 10 septembre 1977 (=13 ans plus tard).
Alors il est injuste de montrer du doigt l’ensemble de la Grande Bretagne quand nous n’avons pas un palmarès plus glorieux.
Certes, le cas du jeune brésilien exécuté par un groupe de policiers est scandaleux en soi mais on ne peut généraliser à partir de là.
En revanche, cette chasse aux « terroristes islamiques » risque fort de générer dans tous les pays occidentaux un regain de violences sur la base du faciès qui n’augure rien de bon pour la paix entre les peuples, intra et extra muros.
Et cela veut dire : dénonciations, harcèlement, arrestations arbitraires, incarcérations, enfermement dans des camps, expulsions, voire autres exécutions sommaires.
La France, hélas, ne sera pas en reste.
A qui profite le crime ?
Et si tous les humanistes sur cette terre s’unissaient pour faire cesser ces manoeuvres arbitraires et liberticides orchestrées par les gouvernements pour justifier d’exactions envers des populations entières et détourner l’attention des citoyens sur leur propre misère et leur aliénation à l’idéologie ultra-libérale ?
Emcee