Ton article part d’un bon sentiment, honnête s’il faut le qualifier.
Malheureusement, comme tant d’autres, il s’exprime dans l’absolu.
En l’état (de nos sociétés ou de notre personne), le mensonge est, pour moi, un symptôme, un révélateur : une partie visible du mal.
La difficulté, me semble-t-il à cerner ce mal, c’est que nous sommes en même temps entité individuelle et élément d’un groupe.
Si individuellement, on garde un regard critique du monde qui nous environne, nous faisons parti intégrante de cette société et contribuons malgré nous à son évolution (dans le mensonge aussi).
Nous pensons avec notre tête mais nous avons besoin de notre corps pour nous mouvoir.
Nous pouvons repérer certains de ces symptômes comme le mensonge, l’orgueil ou la cupidité mais nous n’avons pas le pouvoir de nous y opposer.
Ces symptômes révèlent que nos sociétés ont des problèmes, qu’elles ne sont pas parfaites.
Jean, je pourrais développer plus encore mon approche mais je préfère aller directement au résultat de mes réflexions que je te soumets.
Pour moi, la nature de ce mal s’appelle "l’ignorance".
Ceux que tu accuses entretiennent au maximum cet état dans l’esprit des gens (voir ces émissions dites de "télé-réalité).
Ce que nous tentons de faire par nos réflexions, c’est échanger un savoir.
D’un côté, plus les gens savent, plus ils se battent.
Le savoir évolue de plus en plus (pas assez vite à notre goût)
Malheureusement, les champs de connaissances s’étendent aussi de plus en plus, du microcosme à l’univers, en passant par les interactions.
Maintenant, je pose une autre question :
Le problème est-il le mal que nous voyons ?
Ou bien :
Est-ce notre façon de nous voir et le monde qui nous entoure ?
Ton article part d’un bon sentiment, honnête s’il faut le qualifier.
Malheureusement, comme tant d’autres, il s’exprime dans l’absolu.
En l’état (de nos sociétés ou de notre personne), le mensonge est, pour moi, un symptôme, un révélateur : une partie visible du mal.
La difficulté, me semble-t-il à cerner ce mal, c’est que nous sommes en même temps entité individuelle et élément d’un groupe.
Si individuellement, on garde un regard critique du monde qui nous environne, nous faisons parti intégrante de cette société et contribuons malgré nous à son évolution (dans le mensonge aussi).
Nous pensons avec notre tête mais nous avons besoin de notre corps pour nous mouvoir.
Nous pouvons repérer certains de ces symptômes comme le mensonge, l’orgueil ou la cupidité mais nous n’avons pas le pouvoir de nous y opposer.
Ces symptômes révèlent que nos sociétés ont des problèmes, qu’elles ne sont pas parfaites.
Jean, je pourrais développer plus encore mon approche mais je préfère aller directement au résultat de mes réflexions que je te soumets.
Pour moi, la nature de ce mal s’appelle "l’ignorance".
Ceux que tu accuses entretiennent au maximum cet état dans l’esprit des gens (voir ces émissions dites de "télé-réalité).
Ce que nous tentons de faire par nos réflexions, c’est échanger un savoir.
D’un côté, plus les gens savent, plus ils se battent.
Le savoir évolue de plus en plus (pas assez vite à notre goût)
Malheureusement, les champs de connaissances s’étendent aussi de plus en plus, du microcosme à l’univers, en passant par les interactions.
Maintenant, je pose une autre question :
Le problème est-il le mal que nous voyons ?
Ou bien :
Est-ce notre façon de nous voir et le monde qui nous entoure ?
geabel