On ne peut pas gommer tout ce qu’à fait le PS quand il était au pouvoir et au pouvoir sans partage, ni ce qu’ont fait tous les PS d’Europe dans le même cas. La défiance est légitime. Aujourd’hui, Fabius ne propose pas de rompre avec le néo-libéralisme. Il veut revenir sur la nationalisation de la SNCM, mais toutes les autres ? Le service bancaire par exemple qui serait si utile à un grand service public dégagé de toute spéculation boursière et bénéficiant de prêts à taux zéro, tout le Telecom, etc. Non Fabius, ce n’est pas assez, il n’est pas porteur de ce qu’on peut espérer, de ce qui est nécessaire aujourd’hui. La question n’est pas qui, mais quoi. Là il ne fait pas le poids. Pour une poignée de voix, ce serait payer très cher la cata. La PS a TOUJOURS trahi ses engagements et ses promesses. Pourquoi le croire aujour’hui alors que le 29 mai, on a prouvé qu’on pouvait se passer de lui ?
On ne peut pas gommer tout ce qu’à fait le PS quand il était au pouvoir et au pouvoir sans partage, ni ce qu’ont fait tous les PS d’Europe dans le même cas. La défiance est légitime. Aujourd’hui, Fabius ne propose pas de rompre avec le néo-libéralisme. Il veut revenir sur la nationalisation de la SNCM, mais toutes les autres ? Le service bancaire par exemple qui serait si utile à un grand service public dégagé de toute spéculation boursière et bénéficiant de prêts à taux zéro, tout le Telecom, etc. Non Fabius, ce n’est pas assez, il n’est pas porteur de ce qu’on peut espérer, de ce qui est nécessaire aujourd’hui. La question n’est pas qui, mais quoi. Là il ne fait pas le poids. Pour une poignée de voix, ce serait payer très cher la cata. La PS a TOUJOURS trahi ses engagements et ses promesses. Pourquoi le croire aujour’hui alors que le 29 mai, on a prouvé qu’on pouvait se passer de lui ?
Helge