Je ne suis pas Breton, mais je garde le souvenir des propos tenus à l’endroit de nos concitoyens.
"têtus, peu intelligents, buveurs invétérés occupant des professions subalternes femmes de ménage parlant un patois qui les rendait suspects à la France qu’ils n’honoraient pas dans notre si belle langue française. D’ailleurs, n’avaient-ils pas collaboré avec les Allemands ?".
Pourtant, rien n’y fit, j’ai toujours aimé ce pays, sa culture et plus tard mon frère se maria en Bretagne dans une famille traditionnelle (où l’on parlait encore chez soi le Breton) et où l’on pratiquait la religion. L’adoption se fit sans arrière pensée.
M. BERROYER ne me fait pas rire. Je ne dis pas qu’il est raciste mais qu’il en fait comme M.Jourdain faisait de la prose.
Savez-vous M.Berroyer que les Bretons payèrent l’un des plus lourds tributs au cours de la 1ère guerre mondiale. Leur combativité et leur sacrifice vous permettent aujourd hui de gagner confortablement votre vie en tournant en ridicule ces français qui n’ont qu’un tort, celui de ne pas avoir développé un groupe de pression qui vous eût obligé à plus de prudence.
Excusez-vous, c’est le moins qu’on puisse exiger.
Je ne suis pas Breton, mais je garde le souvenir des propos tenus à l’endroit de nos concitoyens.
"têtus, peu intelligents, buveurs invétérés occupant des professions subalternes femmes de ménage parlant un patois qui les rendait suspects à la France qu’ils n’honoraient pas dans notre si belle langue française. D’ailleurs, n’avaient-ils pas collaboré avec les Allemands ?".
Pourtant, rien n’y fit, j’ai toujours aimé ce pays, sa culture et plus tard mon frère se maria en Bretagne dans une famille traditionnelle (où l’on parlait encore chez soi le Breton) et où l’on pratiquait la religion. L’adoption se fit sans arrière pensée.
M. BERROYER ne me fait pas rire. Je ne dis pas qu’il est raciste mais qu’il en fait comme M.Jourdain faisait de la prose.
Savez-vous M.Berroyer que les Bretons payèrent l’un des plus lourds tributs au cours de la 1ère guerre mondiale. Leur combativité et leur sacrifice vous permettent aujourd hui de gagner confortablement votre vie en tournant en ridicule ces français qui n’ont qu’un tort, celui de ne pas avoir développé un groupe de pression qui vous eût obligé à plus de prudence.
Excusez-vous, c’est le moins qu’on puisse exiger.