non ! Il ne s’agit pas de stigmatiser unel ou untel... Ce serait simpliste et en diagonale. Le régime Chirac est une poubelle issue de la mairie de Paris, et le malheur veut que tous partis confondus on ait aimé fouiller dans ladite poubelle.
Personne (et je dis bien personne) ne peut se poser en donneur de leçons, et pas même monsieur Denis ici parlant. Comme c’est facile de répandre sa haine ! Il vaut sans doute mieux laisser le champ libre à Nicolas qui, l’été dernier, sirotait le château Yquem à Bazas pour arroser le mariage de la fille de son grand ami Arnauld. La cathédrale était squattée pour l’occase et un autre couple avait dû différer son mariage. Le Berlusconi français, Bouygues, était aussi présent, avec Bernie . Au fait... Il n’y avait pas Ségolène.
Quant à Jean-Marie et ses thèses négationnistes, c’est à vomir mais la mayonnaise prend, puisque des andouilles tirent à boulets rouges sur la gauche, prétendant sans doute refaire le monde en sacro saintes paroles. Alors que proposez vous, monsieur Denis ? Une prise d’armes ?
non ! Il ne s’agit pas de stigmatiser unel ou untel... Ce serait simpliste et en diagonale. Le régime Chirac est une poubelle issue de la mairie de Paris, et le malheur veut que tous partis confondus on ait aimé fouiller dans ladite poubelle.
Personne (et je dis bien personne) ne peut se poser en donneur de leçons, et pas même monsieur Denis ici parlant. Comme c’est facile de répandre sa haine ! Il vaut sans doute mieux laisser le champ libre à Nicolas qui, l’été dernier, sirotait le château Yquem à Bazas pour arroser le mariage de la fille de son grand ami Arnauld. La cathédrale était squattée pour l’occase et un autre couple avait dû différer son mariage. Le Berlusconi français, Bouygues, était aussi présent, avec Bernie . Au fait... Il n’y avait pas Ségolène.
Quant à Jean-Marie et ses thèses négationnistes, c’est à vomir mais la mayonnaise prend, puisque des andouilles tirent à boulets rouges sur la gauche, prétendant sans doute refaire le monde en sacro saintes paroles. Alors que proposez vous, monsieur Denis ? Une prise d’armes ?
Léo de Limoges